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Syrie : la Russie découvre des fosses communes à Alep

Publié le par S. Sellami

Des civils enterrés dans une fosse commune à Alep. ©AFP

Des civils enterrés dans une fosse commune à Alep. ©AFP

À Alep, en Syrie des fosses communes ont été découvertes dans les zones occupées par les terroristes avant la libération totale.

Selon l’agence de presse iranienne Tasnim, le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov a annoncé ce lundi 26 décembre la découverte de fosses communes à Alep en Syrie affirmant que des traces de tortures étaient visibles sur les corps retirés de ces tranchées.

« Les corps amassés de Syriens dans les fosses découvertes, témoignent parfaitement que les victimes ont été sujettes à des tortures avant d’être assassinées, la plupart ayant été mutilées avant d'être visées à la tête», a-t-il ajouté.

Le porte-parole du ministère russe de la Défense a poursuivi que ces scènes avaient été filmées et seraient bientôt rendues publiques. Ceci, afin que les sponsors européens du terrorisme, qui s'affirmaient comme étant opposés au gouvernement syrien, se rendent compte de qui ils soutenaient précisément.

Il a également affirmé que les soi-disant « rebelles modérés » avaient déposé des mines partout à Alep. Tout est visé : rues, entrées, bâtiments et même les voitures.

http://presstv.com/

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Benjamin Netanyahou convoque dix ambassadeurs après le vote de la résolution de l'ONU

Publié le par S. Sellami

 
La convocation des ambassadeurs un dimanche, férié dans de nombreux pays qui plus est, un est un signe fort de la colère du gouvernement israélien suite à l'adoption controversée d'une résolution à l'ONU condamnant la colonisation israélienne.
 
rt.com
Lundi 26 Décembre 2016
Benjamin Netanyahou convoque dix ambassadeurs après le vote de la résolution de l'ONU
Le gouvernement israélien ne décolère pas après l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU d'une résolution condamnant la «violation du droit international» que constitue, selon lui, la colonisation israélienne des territoires cisjordaniens. Benjamin Netanyahou a décidé de convoquer ce 25 décembre les ambassadeurs de dix pays ayant voté en faveur de la résolution, à savoir la France, le Royaume-Uni, la Chine, la Russie, l'Egypte, le Japon, l'Uruguay, l'Espagne, l'Ukraine et la Nouvelle-Zélande, ainsi que celui des Etats-Unis, dont l'abstention a permis l'adoption du texte. 
Le Premier ministre israélien s'est dit convaincu que l'administration Obama était à l'origine de cette résolution, l'avait promue, en avait dirigé la rédaction et exigé son passage. Ces allégations ont été démenties par la diplomatie américaine, mais cela ne semble pas avoir calmé le jeu, comme en témoigne la convocation des ambassadeurs un dimanche de fête - un fait extrêmement rare et hautement symbolique. 

Plus tôt dans la semaine, d'après le Premier ministre israélien, une première résolution devait être déposée par l'Egypte, ce dont Benjamin Netanyahou et John Kerry, chef de la diplomatie américaine, étaient parvenus à dissuader l'Etat égyptien. Dès le lendemain, un texte similaire avait toutefois été de nouveau proposé au vote par la Nouvelle-Zélande, le Sénégal, le Venzuela et la Malaisie - ces deux derniers Etats n'entretiennent d'ailleurs plus de relations diplomatiques avec Israël. 

Immédiatement après l'annonce du vote, Benjamin Netanyahou avait dénoncé la résolution comme le produit d'une «coalition anti-israélienne», mettant un point d'honneur à en rejeter les conclusions tout en promettant des sanctions, notamment financières, contre l'ONU. Aux Etats-Unis, la décision de ne pas opposer de veto lors du vote a également créé la controverse dans la classe politique, une partie des Républicains s'en prenant à ce qu'ils estiment être un «acte de trahison» de l'administration Obama envers l'Etat israélien, voire un acte «antisémite». 

La passation de pouvoir entre Barack Obama et Donald Trump attendue pour la fin du mois de janvier 2017 laisse espérer à la diplomatie israélienne une amélioration des relations israélo-américaines, qui se sont considérablement dégradées sous la présidence du président démocrate. Donald Trump, qui est entouré de fervents pro-israéliens du parti républicain, a également condamné la résolution de l'ONU, estimant qu'elle «compliquait les négociations de paix». 

 

https://francais.rt.com/international/31283-benyamin-netanyahou-convoque-10-ambassadeurs-apres-vote-resolution-onu https://francais.rt.com/international/31283-benyamin-netanyahou-convoque-10-ambassadeurs-apres-vote-resolution-onu 

http://www.alterinfo.net/
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Arrêtons avec l'illusion du « droit international »

Publié le par S. Sellami

Vendredi 23 décembre 2016, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté une résolution contre la colonisation des territoires palestiniens conquis après la défaite de juin 1967. Indéfectible soutien de l'entité sioniste, les États-Unis se sont contentés de s'abstenir et non de bloquer, comme à leur habitude, le vote de la résolution en y opposant leur veto.                                                                                                                                                                                                                                                                        Youssef Girard

Arrêtons avec l'illusion du « droit international »

Un premier texte devait être présenté par l’Égypte, avec le soutien de la Ligue arabe, mais Abdel Fattah al-Sissi a reculé suite aux pressions de l'entité sioniste et du nouveau président états-unien, Donald Trump. Finalement, malgré la volte-face du docile maréchal égyptien, le texte de la résolution a été repris par la Nouvelle-Zélande, le Venezuela, la Malaisie et le Sénégal qui ont permis son adoption. La résolution, qui reprend les grandes lignes d'une précédente résolution votée en 1979, exige l’« arrêt immédiat et complet des activités israéliennes de colonisation dans les territoires palestiniens occupés », y compris la partie est d'al-Quds. 

Immédiatement, les médias mainstream ont parlé de « revers » ou de « camouflet » pour l'entité sioniste et son Premier ministre, Benyamin Netanyahou. Le numéro deux de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Saëb Erakat, a même affirmé qu'il s'agissait « d'un jour historique » et d'une « victoire (...) du droit international ». Certains analystes sont allés jusqu'à évoquer de possibles « sanctions » politiques et économiques si la colonisation « des territoires palestiniens » se poursuivait. 

Mais nous savons que cette résolution a été votée uniquement parce que l'administration Obama en fin de course souhaitait présenter un visage un peu plus équilibré de sa politique « moyen-orientale ». Elle espérait peut-être faire oublier la conclusion, au mois de septembre dernier, d'un accord d'assistance militaire en faveur de l'entité sioniste d'un montant de 38 milliards de dollars pour les années 2019-2028. Nous savons également que Donald Trump est hostile au vote de cette résolution et que son administration s'opposera au vote de la moindre sanction conte ses fidèles alliés sionistes. 

N'ignorant pas cette réalité, l'entité sioniste a annoncé qu'elle « attend avec impatience de travailler avec le président élu Donald Trump et avec tous nos amis au Congrès, Républicains comme Démocrates, pour neutraliser les effets néfastes de cette résolution absurde ». Comme un pied de nez à ce vote, l'entité a déjà averti qu'elle « rejette cette résolution anti-israélienne honteuse des Nations unies et ne s'y conformera pas ». 

De fait, cette résolution, comme toutes les résolutions précédentes qui égratignaient l'entité sioniste, restera lettre morte, et tous les analystes sérieux le savent pertinemment. Car, en raison de sa composition et de ses modalités de fonctionnement, le Conseil de sécurité de l'ONU n'a jamais été, et ne sera jamais, un instrument de libération des peuples colonisés. Il est, et il restera, un instrument de légitimation des politiques des puissances dominantes. 

Alors au lieu de reprendre le discours dominant et de se féliciter de cette résolution ou d'appeler au respect du « droit international », les véritables soutiens de la Palestine devraient se souvenir que ce soi-disant « droit » n’est qu’un instrument de domination inventé par l’Occident impérialiste pour asservir les peuples non-occidentaux. 

Ainsi, c'est le « droit international » qui a légalisé la colonisation de la Palestine et la création de l'entité sioniste, le 29 novembre 1947. Ce jour là, dans le plus grand respect du « droit international », l’Assemblée générale de l’ONU a adopté la résolution 181 c’est-à-dire un plan de partage de la Palestine entre les Palestiniens et les colons juifs alors que les villes d’al-Quds et de Bethléem devaient passer sous statut international. 

Lorsque nous connaissons le rôle de l'ONU et du soi-disant « droit international » dans la colonisation de la Palestine, comment peut-on avoir la moindre confiance en cette institution ? Comment l'organisation qui a voté la spoliation de la terre du peuple palestinien pour la réalisation du projet sioniste de création d’un État juif pourrait-elle être l'instrument de son émancipation ? 

Critiquant les contradictions du discours légaliste se référant exclusivement au « droit international », le juriste égyptien Tariq al-Bishri concluait que « nous ne pouvons réclamer nos droits que dans le cadre « légal » esquissé par nos agresseurs. C'est pire qu'une défaite, c'est une reddition humiliante pour l'esprit et une honte pour l'âme (1)». 

Critiquant les contradictions du discours légaliste se référant exclusivement au « droit international », le juriste égyptien Tariq al-Bishri concluait que « nous ne pouvons réclamer nos droits que dans le cadre « légal » esquissé par nos agresseurs. C'est pire qu'une défaite, c'est une reddition humiliante pour l'esprit et une honte pour l'âme (1)». 

La réalité est que, de la révolte du cheikh Izz ad-Din al-Qassam dans les années 1930 à l'intifadha al-Quds depuis l'automne 2015, ce n'est pas le « droit international » mais la résistance palestinienne et arabe qui a fait reculer l'entité sioniste. Car la libération de la Palestine se fera uniquement en dehors de la légalité coloniale. 


( ) Tarek El-Bechry, Les Arabes face à l'agression, Beyrouth, Ed. Albouraq, 2009, page 80. 

http://www.ism-france.org/analyses/Arretons-avec-l-illusion-du-droit-international--article-20171 http://www.ism-france.org/analyses/Arretons-avec-l-illusion-du-droit-international--article-20171                                                                                                                                                                                                                               

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BHL: “La situation des juifs aux Etats-Unis n’est pas moins inquiétante qu’en Europe”

Publié le par S. Sellami

Le dernier livre de Bernard-Henri Lévy sort aux Etats-Unis le 10 janvier sous le titre The genius of judaism. A cette occasion, Bernard-Henri Lévy a accordé un entretien au French Morning Etats-Unis sur la situation des Juifs aux Etats-Unis et en France.

 

French Morning: Vous consacrez la première partie de votre livre à l’antisémitisme contemporain, ce que vous appelez cette “nouvelle religion planétaire”, mais le contexte n’est-il pas différent ici, aux Etats-Unis, de ce qu’il est en France?

Bernard-Henri Lévy: Non je ne crois pas. C’est même, de plus en plus, le même contexte. Dans le livre, j’identifie les trois piliers de l’antisémitisme nouveau. 1/L’antisionisme (les juifs seraient les amis d’un «Etat assassin»). 2/ Le négationnisme (les juifs seraient des «trafiquants de mémoire», ils se serviraient de leurs martyrs pour «intimider» le monde). 3/ La compétition victimaire (les juifs monopoliseraient le capital mondial de compassion en empêchant de s’émouvoir sur le sort d’autres victimes). Or, c’est aux Etats-Unis que ces trois piliers sont le plus solidement bétonnés. La Mecque du négationnisme, c’est là, dans les soi-disant «Instituts scientifiques» de la côte Ouest, qu’elle se trouve ; la concurrence victimaire, c’est là qu’elle s’exprime avec le plus de véhémence (cf. Nation of Islam, Louis Farrakhan, etc.); quant à l’antisionisme, c’est sur les campus américains que le mouvement BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions) connaît la plus grande ferveur. Bref, la situation aux Etats-Unis ne me paraît pas moins inquiétante pour les juifs qu’en Europe.

Mais ce sont les juifs de France qui parlent de quitter le pays. Aux Etats-Unis il y a une façon de vivre en communauté, décomplexée d’une certaine manière, qui rassure beaucoup de juifs…

Oui, mais la façon de vivre l’antisémitisme y est tout aussi décomplexée. Voyez le discours de Trump devant la Coalition Juive républicaine, en décembre 2015 : “Vous ne voterez pas pour moi, car je ne veux pas de votre argent”. Ce genre de propos aurait été totalement impossible en France!

N’y-a-t’il pas tout même l’idée qu’il est plus facile de vivre son judaïsme plus pleinement avec le communautarisme à l’américaine ?

C’est tout aussi possible en France de vivre “en communauté”. Mais ce n’est pas ça qui m’intéresse. Le judaïsme, ce sera le cœur de mon intervention au «92th Y», n’est pas un communautarisme. Ce n’est pas un «entre soi», c’est le contraire! Le judaïsme est chez lui dans son rapport à l’autre. Prenez Jonas et sa baleine. C’est quand il va à Ninive que Jonas est au plus près de son message. C’est dans les lieux de l’altérité qu’il assume sa mission prophétique. Le Talmud ne dit rien d’autre avec sa métaphore des tribus d’Israël quittant l’Egypte, non pas délestées de leurs richesses antérieures, mais les emportant avec elles. Cela signifie qu’on entre dans le judaïsme avec son histoire. Être juif c’est conserver le monde d’avant et le recréer en lui donnant un sens encore plus riche.

Des trois piliers de l’antisémitisme que vous décrivez, celui de la concurrence victimaire est le plus nouveau et peut-être le plus efficace parce qu’il oppose les victimes, leur légitimité…

Il est surtout débile et mensonger. Je démontre dans le livre, et je le répéterai au 92th Y, que l’on se mobilise d’autant mieux contre le tort fait aux hommes et femmes d’aujourd’hui que l’on a en tête et dans le coeur le souvenir du tort qui leur a été fait hier. Ce sont ceux qui avaient la Shoah au coeur qui ont dénoncé les premiers Sarajevo, le Darfour, le Rwanda… A l’inverse, il n’y a pas un exemple, ces quarante dernières années, où l’on n’observe pas ceci : les négationnistes de la Shoah sont toujours les premiers à pratiquer le négationnisme des crimes nouveaux.

Si vous décrivez longuement l’antisémitisme du monde, vous assurez aussi, et cela en surprendra plus d’un, que la France est “une des raisons de ne pas désespérer”. Est-ce que vous pensez que ce discours finalement positif sur la France et les juifs est audible aux Etats-Unis?

Je m’en fiche! Ce que je dis c’est que, oui, la culture française est imprégnée d’antisémitisme. Mais j’ajoute qu’il y a deux différences avec autrefois. Premièrement, les élites ont appris : il n’y a plus d’antisémitisme d’Etat. Deuxièmement, jadis les juifs rasaient les murs : aujourd’hui, ils relèvent la tête ; ils font front ; ils ont enfin compris que c’est en se cachant qu’on se désarme et en s’affirmant qu’on se renforce.

Mais est-ce qu’on n’est pas là dans le repli identitaire, tant décrié en France? Peut-on célébrer le port de la kippa et déplorer d’autres signes ostensibles d’autres religions?

D’abord, la kippa n’est pas essentielle au judaïsme : il est bien plus important, essentiel, d’étudier, de travailler, que de porter ou non une kippa. Deuxio : la kippa n’a rien à voir avec un signe «ostentatoire» et il serait absolument scandaleux de la comparer avec, par exemple, le voile intégral imposé aux femmes par l’islamisme radical. Et puis, enfin, je vous le répète : le judaïsme ce n’est pas une «identité», c’est une «altérité» et un rapport à l’universel.

Il y aurait donc une différence de nature entre l’affirmation de la religion juive et l’affirmation d’autres religions?

Ma thèse est, en effet, que le judaïsme n’est pas une religion.

La laïcité est-elle une spécialité française, inconnue aux Etats-Unis ?

Pas du tout. Il y a, aussi, une laïcité américaine. Sauf qu’elle dit l’inverse de la laïcité française. Aux Etats-Unis, elle protège les églises des empiètements de l’Etat. En France, elle protège l’Etat, qui ne doit pas être touché par le religieux.

En tout cas, pour vous, il n’y a pas d’impossibilité majeure à être Juif et Français ?

Je sais qu’un certain nombre de mes concitoyens se demandent s’ils ne doivent pas quitter la France. Ma conviction c’est que ce n’est pas à eux, mais aux antisémites, ces «crânes rasés de la pensée», de la quitter.

http://laregledujeu.org

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SYRIE – VIDÉO. Alep: Moi, Rose Morad, chrétienne, soldate de l’Armée arabe syrienne

Publié le par S. Sellami

MamAfrika TV | Par Allain Jules

ALEP, Syrie (07h21) – La chaîne de télévision chinoise CCTV a suivi l’une des femmes qui combat au sein de l’Armée arabe syrienne sur le Front d’Alep. Il s’agit de Rose Morad.

Originaire de Lattaquié, elle est, avec plusieurs autres femmes syriennes à travers le pays, celles qui ont rejoint les forces de la Garde républicaine de l’Armée arabe syrienne en raison de leur induction de soldats féminins et la volonté de les laisser combattre les combattants djihadistes.

Rose Morad travaillait au zoo d’Alep avant de rejoindre l’armée.

Regardez:

Sole female soldier fights in brutal Aleppo conflict The Syrian Army has announced it has taken full control of Aleppo city, ending a four-year siege. On the front lines of the old city that a Syrian soldier named Rose Morad. CCTV's Xu Dezhi meets with the only female soldier and asked her why she fought in such a brutal conflict.

http://www.mamafrika.tv/
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(Vidéos) Les horreurs des « rebelles » dévoilées à Alep-Est : des charniers, des mines, un arsenal énorme

Publié le par S. Sellami

L’armée syrienne a trouvé des quantités énormes d’armes et de munitions le 26 décembre dans les derniers quartiers libérés d’Alep-Est 

 

La découverte d’importants stocks d’armes et de munitions à Alep-Est met en question la version des faits largement répandue qui devait conduire à tromper le public sur la vraie nature de la « rébellion ». Pendant que l’ONU, Amnesty international, MSF,… multipliaient les campagnes, de concert avec la diplomatie française, accusant le « régime » d’affamer et assiéger Alep-Est, les opposants rebelles » terrifiaient et tuaient les civils vivant à Alep-Ouest en les frappant avec des armes de guerre. Nous avons inlassablement reproché à ces instances humanitaires de ne pas se préoccuper du sort des civils frappés par les terroristes. Carla del Ponte elle-même, membre de la Commission d’observation de l’ONU pour la Syrie, contribuait encore récemment à accréditer l’idée que seuls les civils d’Alep-Est étaient victimes (les russes et l’armée syrienne étant bien évidemment les seuls coupables). Lors de de l’émission Infrarouge /RTS, du 12.10.2016 elle affirmait que, dans la partie Ouest d’Alep « c’était tranquille »; autrement dit, qu’il n’y avait pas de problèmes pour les civils (alors que ce jour même des dizaines de civils avaient été tués par les obus « rebelles »). Ce qui en disait long sur la partialité et la nullité de cette commission (composée de 22 personnes) qui a dès le début de la guerre mis le« régime » Assad au pilori. [ASI]

Un soldat de l’armée syrienne lève le drapeau de l’Etat syrien en regardant les cars transportant les terroristes et leurs familles quitter Alep. DR                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Vidéos réalisées le 26 déc. 2016

كمية هائلة من الأسلحة ضبطها الجيش السوري كانت بحوزة المسلحين شرق حلب ضبط الجيش السوري كميات كبيرة من الأسلحة والذخيرة كانت بحوزة المسلحين في الأحياء الشرقية لمدينة حلب. وقدر خبراء عسكريون قيمة ما تم ضبطه بمئات ملايين الدولارات فيما تابع الجيش السوري شحن المخازن التي تم ضبطها إلى مستودعات خاصة. وتظهر مشاهد للأسلحة التي ضبطت التنوع في الاستخدام حيث وجد بينها أسلحة مضادة للأفراد والدروع والدبابات إضافة إلى قناصات ليلية وبنادق آلي

عثرت قوات الجيش السوري على مخازن تحوي كميات كبيرة من الأسلحة والذخائر تركتها الجماعات المسلحة خلفها بعد خروجها من مدينة حلب. وتظهر هذه المشاهد كميات كبيرة من الذخائر والقاذفات والصواريخ بالإضافة إلى كمامات للأسلحة تركها المسلحون خلفهم في أحياء حلب.

Après le départ des « rebelles » des quartiers d’Alep-Est, les horreurs qu’ils ont commises sont révélées au grand jour

« Des charniers contenant des dizaines de Syriens ayant été exécutés sommairement et ayant subi des actes sauvages de torture ont été découverts », a indiqué lundi le porte-parole du ministère de la Défense, le général Igor Konachenkov, selon lequel « la plupart ont été tués d’une balle dans la tête, beaucoup de corps ne sont pas entiers ».

L’un de ces charniers contenant 21 corps a été retrouvé dans les prisons administrées par les groupes terroristes dans les quartiers de Soukkari et Al-Kallassé.

Les « civils (ont été) exécutés par les groupes terroristes avant leur sortie des quartiers est de la ville d’Alep », a indiqué Sana dimanche soir.
Cité par l’agence, le chef du département des médecins légistes à Alep, Zaher Hajjo, a affirmé que « cinq enfants et cinq femmes » figuraient parmi les victimes. Ils ont été trouvés et ont été exécutés par balles à bout portant », a-t-il précisé.

Selon des sources syriennes, ces 10 victimes appartenaient à une même famille et voulaient sortir des quartiers-Est.

Durant la dernière phase de la libération des quartiers Est d’Alep, accompagnée par l’évacuation massive des civils, les miliciens ont liquidé de nombreux civils qui voulaient sortir et se rendre vers les quartiers loyalistes.

Au lendemain de la libération totale d’Alep, l’armée arabe syrienne avait retrouvé les cadavres de 100 hommes également fraîchement abattus: il s’est avéré que ces hommes sont des militaires syriens faits prisonniers qui ont été liquidés, soit par balle dans la tête soit par égorgement, quelques heures avant le départ des miliciens. Pourtant il était convenu selon l’accord conclu qu’ils les livrent à l’armée arabe syrienne.

Ces exactions seront dûment prouvées « pour que les protecteurs européens à Londres et à Paris des soi-disant « opposants » prennent conscience de qui sont leurs protégés et qu’ils reconnaissent leur responsabilité dans la cruauté » des « rebelles ».

Selon l’AFP qui relaie la version de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH), cette instance médiatique de l’opposition syrienne soutenue par les Occidentaux, a rapporté que des corps avaient été trouvés dimanche dans les rues de la partie Est d’Alep, mais sans être en mesure de préciser comment les victimes avaient été tuées.

« Sur ce petit territoire de la zone urbaine d’Alep, on a retrouvé trois chars, deux canons, deux lance-roquettes multiples, d’innombrables mortiers artisanaux et des systèmes de fusée. On a également trouvé sept immenses entrepôts avec des munitions qui seraient suffisantes pour armer plusieurs bataillons d’infanterie ainsi qu’un grand nombre de documents », a dit M. Konachenkov, selon lequel les munitions seraient suffisantes pour armer plusieurs bataillons d’infanterie.

Certains de ces entrepôts se trouvaient dans des hôpitaux et dans des écoles transformés en quartier général, comme le montrent les images prises par le correspondant sur place de la chaîne de télévision iranienne arabophone al-Alam.

Autre signe de l’horreur de ces « rebelles » : ils ont miné tous les quartiers avant de les quitter.

« L’opposition modérée a quasiment tout miné avant la libération d’Alep-Est », a déploré le ministre russe.

Des engins piégés ont été retrouvés dans les rues, dans les entrées des immeubles résidentiels, dans des jeux d’enfants, dans les voitures et les motos.

Plusieurs explosions ont eu lieu dans les quartiers Soukkari et Salaheddine. Dans le premier, qui a eu lieu dimanche dans un entrepôt de munitions, plusieurs bâtiments ont été détruits et 2 civils ont été tués.

Un véhicule contenant deux tonnes d’explosifs lié à une mine terrestre a également été retrouvé dans ce quartier.

Lundi, deux civils ont été tués dans l’explosion de mines, l’une dans le vieux marché de Coriandre (al-Hal), et l’autre dans la région jeb al-Jalbi.

Des correspondants sur place ont constaté en outre que la plupart des voitures qui se trouvaient dans les anciens quartiers rebelles ont aussi été incendiées.

De la nourriture bien cachée

De plus de nombreux dépôts contenant d’importantes quantités de produits alimentaires et de nourriture ont été retrouvés.

Alors que la plupart des civils évacués qui avaient été interrogés par les médias s’étaient plaints qu’ils étaient privés de tous les besoins de première nécessité.

Le directeur de l’observatoire syrien des droits de l’homme [qui a durant toute la guerre menti en propageant la propagande des groupes armes, ndlr] a lui aussi évoqué la découverte d’importantes quantités de nourriture, accusant les rebelles d’avoir interdit aux civils assiégés de les utiliser, par crainte que le siège ne se prolonge et qu’ils en ont besoin plus que les civils.

Source: http://french.almanar.com.lb/164811                                                                                                                                                                                                        

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Anneke Lucas, violée et torturée par des chefs d'états européens et membres de familles royales (partie 2) Mardi 27 décembre 2016

Publié le par S. Sellami

 
 
Pour ceux qui n'ont pas lula première partie, je vous invite à la découvrir d'abord. Dans ce témoignage initialement paru sur le cite Global Citizen, Anneke Lucas donne plus de détails que dans sa vidéo. Il faut d'ailleurs avoir le cœur bien accroché pour lire son témoignage jusqu'au bout. On y apprend entre autre que, lors de son calvaire, elle est "tombée sur des V.I.P., des chefs d'états européens et même un membre de la famille royale." 


Je remercie au passage tous les blogs indépendants spécialisés dans le sujet de la pédocriminalité. Ils ne sont pas nombreux mais font un travail difficile et remarquable. Je pense notamment à Donde VamosPédopolis ainsi que le très bon site MK-Polis qui a traduit ce témoignage. Saluons également le courage exceptionnel de cette femme qui, malgré les traumatismes sévères et les sévices répétés qu'on lui a fait subir, a réussi à se reconstruire et à aller de l'avant.
 
En réponse à ce témoignage, certains internautes se sont demandés pourquoi Anneke ne nomme aucun de ses bourreaux. Les raisons sont simples et elle l'explique elle-même sur Facebook: elle craint pour sa vie. Les faits sont prescrits et certains de ses violeurs  sont probablement morts mais le réseau est toujours actif et dispose d'hommes de mains pour faire taire les récalcitrants. Certains en ont déjà fait les frais apparemment. Dans le monde de la prédocriminalité de l'élite, le silence est d'or. Souhaitons qu'un jour ce silence vole en éclat une fois pour toute et ces abominables réseaux avec. Fawkes
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Quand j'étais une petite fille dans ma Belgique natale, j'ai été mise au travail en tant qu'esclave sexuelle. Ma mère me vendait et me conduisait partout où on l'appelait. Le patron de ce réseau était un ministre Belge et les clients étaient des membres de l'élite. J'ai reconnu des gens de la télévision, leurs visages étaient familiers pour la masse, tandis que j'étais confrontée au côté obscur de leur dépendance au pouvoir - le côté dont personne ne pense qu'il existe - Je suis tombée sur des V.I.P., des chefs d'états européens et même un membre de la famille royale.
 
Vers mon sixième anniversaire, en 1969, j'ai été emmenée pour la première fois dans une orgie, cela se passait dans un château. J'ai été utilisée pour un spectacle de S.M., j'étais enchaînée avec un collier de chien en fer et on me faisait manger des excréments humains. J'ai ensuite été laissée là, comme un objet brisé, je me sentais tellement humiliée. Je devais faire quelque chose pour sauver mon âme, où bien - j'en étais certaine - je me serais flétrie pour finir par mourir.
 
Je me suis levée et je me suis mise à regarder cette foule bizarre d'aristocrates habillés comme des hippies, se balançant sur de la musique en ayant différents niveaux d'interactions sexuelles, occupés à se fournir les petites pilules et les joints pré-roulés proposés sur des plateaux d'argent par de sobres serveurs. Je tremblais de peur, mais mon corps se redressait et se calmait ; et j'entendais ma voix comme si elle n'était pas la mienne, réprimandant les adultes, leur disant que c'était mauvais, que j'allais parler d'eux et qu'ils iraient tous en prison...
La musique spatiale fusait dans l'air et la plupart des gens étaient trop perchés pour me remarquer. Un homme vêtu d'un costume d'affaire a attiré mon attention. Il avait l'air effrayé mais il a soutenu mon regard pendant un bref instant et a semblé avoir de la considération pour moi. Puis il est parti, je ne l'ai plus jamais revu dans le réseau, mais des années plus tard je l'ai aperçu à la télévision, il est devenu un éminent politicien belge.
 
J'ai été amenée dans une cave. J'étais certaine que j'allais y être tuée, mais on m'a montré le corps frais d'une jeune victime. Je devais garder le silence.
Pendant la semaine j'allais à l'école. J'étais une fille timide avec peu d'amis. Je me souviens une fois, en deuxième année, avoir pris conscience du changement énergétique dans la salle et réalisé que tous les yeux étaient braqués sur moi. Le professeur m'avait appelé et j'étais trop "space out" (dans la lune) pour l'entendre. Il me demandait si j'avais la réponse à sa question et je me suis assise dans un silence embarrassant pendant que toute la classe riait.
 
J'étais non existante à l'école, mais aussi à la maison, personne ne se souciait de moi. Je recevait plus d'attention par le réseau. Cela était bon de se sentir considérer comme le parfait objet, beau et sensuel, par des hommes puissants. C'était le seul point positif de ma vie, et je m'y raccrochais comme à mon seul radeau pour éviter de me noyer dans une mer de honte et de dégoût.
 
Après 4 années de survie dans le réseau, à l'âge de 10 ans, un nouvel invité a amené son fils de 20 ans, grand, fringant blond aux yeux bleus. Il s'avança vers moi, j'ai souri et il m'a appelé "petite putain". Pour la première fois depuis quatre ans, la première fois que j'avais été amenée à une orgie, j'ai de nouveau exprimé mes vrais sentiments. J'étais furieuse ! "Tu crois que j'aime ça ?!"... Cette interaction a été le début de l'année la plus intense de ma vie, durant laquelle je me sentirais plus que jamais aimée, regardée et comprise, et plus que jamais abusée par ce même jeune homme. Un an plus tard, je n'étais plus d'aucune utilité au réseau et devais être tuée. Quand ma torture commença, ce jeune homme resta debout en riant. C'était la troisième fois que mon corps fut rempli par une force surnaturelle. La féroce fierté a redressé mon corps. Une cigarette allumée a été éteinte sur mon avant-bras. Mon corps énergétique s'accrocha au sien par pure défiance. La pensée "Je n'ai pas besoin de toi !" était devenue moi, et tout ce que je voyais était l'énergie derrière l'océan trouble du bleu de ses yeux, et l'amour malgré toute la douleur qu'il m'avait infligé.
 
On m'a mené dans une petite pièce et on m'a attaché sur un bloc de boucher. L'homme qui me torturait était l'un des accusés de la célèbre affaire Dutroux, qui lorsqu'elle a éclaté dans les journaux en 1996, a failli faire sauter le réseau pédophile Belge. Mais 8 ans plus tard, seul Marc Dutroux a été condamné à perpétuité. J'aurais dû mourir ce soir de 1974, sur ce bloc de boucher ; mais ma vie a été sauvée à la dernière minute.
Alors que j'étais torturée, le jeune homme avait négocié avec le politicien responsable du réseau. Ils ont fait une affaire : il travaillerait pour lui, étendrait ses services en échange de ma vie. Cette bonne action a fini par lui coûter sa propre vie. Dans ce milieu, toute faille d'humanité est une faiblesse mortelle.
 
Ma vie a donc été épargnée et on m'a dit de rester silencieuse pour toujours. Il m'a fallu 40 ans avant que je puisse parler.
 
En 1988, alors que j'avais 25 ans, je me promenais dans le centre-ville de Los Angeles, près de Skid Row. C'est alors que j'ai eu un relent de fèces humaines dans les narines : j'étais submergée par le souvenir de l'humiliation extrême dont j'ai souffert étant enfant. Ma pensée immédiate a été "Si c'est vrai, je vais me tuer."
 
Je m'identifiais trop à l'expérience et la honte était trop accablante. Je n'était pas encore prête et j'ai repoussé cette mémoire dans mon subconscient. Il m'a fallu plusieurs années de plus, beaucoup d'heures de thérapie, pour pouvoir partager cette mémoire avec une personne sûre.
 
Je partage ici publiquement cette expérience pour la première fois, ayant finalement atteint un stade de ma guérison où j'ai accès une fois de plus à la force qui est passée à travers moi lors des moments de clarté dans le réseau. Je crois aussi que le monde est plus que jamais prêt à affronter ses ténèbres. Nous devons le faire si nous voulons survivre en tant qu'espèce.
 
Tous les survivants d'inceste, d'abus sexuels, de trafic sexuel, ont ma force. Bien que je souffre d'un ESPT (stress post-traumatique) et qu'il m'arrive de souffrir de nausées à chaque fois que j'entends un certain type de musique planante, je suis devenue suffisamment consciente des déclencheurs afin qu'ils ne contrôlent plus ma vie quotidienne. Il faut tellement d'énergie pour survivre, non seulement à la violence physique, mais aussi pour endurer les conséquences psychologiques des abus - pour porter cette honte.
Juste survivre à sa vi
e quotidienne tout en essayant de guérir des abus sexuels de l'enfance demande mille fois plus de force que pour quelqu'un qui n'a qu'à poursuivre une carrière réussie. Et la société valorise la personne de carrière au détriment du survivant.
 
Les adeptes du pouvoir, les leaders mondiaux et les politiciens corrompus qui abusent des enfant sont eux-mêmes comme des enfants qui n'ont jamais grandi, poussés au pouvoir pour éviter de ressentir l'humiliation de la maltraitance, cherchant inconsciemment à se venger d'une blessure en recyclant l'abus. Ils n'ont pas le courage de guérir.
 
Ceux d'entre-nous qui ont subi des abus sexuels, l'inceste ou le trafic sexuel, nous avons besoin d'apprendre à exploiter notre force de survie en notre propre nom. Ceci afin que nous puissions guérir notre égo endommagé et canaliser cette force pour ouvrir la voie vers un avenir où les anciennes victimes vaincront par l'amour, la compréhension et la compassion pour tous.
 Temps consacré par les médias à cette information? Zéro.
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Une rescapée d'un réseau pédocriminel de l'élite témoigne : silence habituel des médias (partie 1)

Publié le par S. Sellami

Anneke Lucas est née en Belgique et a été vendue à un réseau de trafic sexuel à l'âge de six ans. Ce réseau a fait les gros titres en 2004 lors du scandale de pédophilie impliquant Marc Dutroux, qui affirmait faire partie d'"un réseau qui comprenait des membres de haut rang des forces de police et du gouvernement." A partir de 1969, Lucas a été abusée par le réseau qui a commis sur elle des actes de violences sexuelles et qui l'a torturée avant de la libérer en 1974 lorsqu'elle avait onze ans. 

Lucas affirme avoir reçu des instructions de survie par celui qui l'a sauvée qui comprenaient le fait de déménager à Londres, Paris et New York. Après avoir vécu dans les trois villes en tant que jeune adulte, elle a déménagé à Los Angeles en 1986 où elle a commencé la thérapie, le yoga et la méditation.
 
 Voici le récit de cette rescapée d'un réseau, de même type que celui évoqué dans le scandale du pizzagate, dont les médias ne veulent pas parler. La vidéo qui va suivre comporte des descriptions de sévices vraiment durent à entendre.
 
"J'ai était élevée en Belgique et ai été vendue à un réseau pédocriminel aux alentours de mon 6ème anniversaire. J'ai été abusée dans ce réseau pendant 5 ans et demi. Des hommes adultes qui faisaient partie de ce club exclusif étaient là pour des raisons très variées.
 
Il y avait beaucoup d'alcool et de drogues et les enfants servaient de marchandises, ils étaient les marchandises qui avaient le plus de valeur et étaient surtout violés mais il y a un certain nombre d'aristocrates qui faisaient parti de ce club et qui aimaient aussi tuer les enfants.
 
Puis, un jour mon heure est venue. A l'âge de 11 ans, j'allais être tuée. J'ai été torturée car quelqu'un qui m'avait protégée pendant un certain temps puis qui m'avait abusée vraiment violemment en avait fini avec moi. J'ai été attachée à un bloc de boucher. Il était noir à cause du sang de tous les enfants qui étaient passés par là avant moi.
 
 J'étais là pendant plusieurs heures. Mon corps est plein de cicatrices. Et chaque cicatrice me rappelle ce moment. Je pensais que j'allais être tué comme tous les enfants qui n'étaient pas assez appréciés pour qu'ils restent en vie. Et j'allais être oubliée moi aussi. Et je n'étais pas prête à mourir. Quelqu'un appartenant à ce réseau m'aimait suffisamment pour me sauver. Cette torture a duré plusieurs heures. 
 
Cependant, j'étais dans ce réseau pendant 5 ans et demi. Pendant cette période, j'ai été violé, beaucoup, beaucoup, beaucoup  de fois. Mes cicatrices ne permettent pas de mesurer à quel point j'ai été violé mais j'ai fais un calcul. Habituellement, il s'agissait d'une nuit entière pendant le weekend. Donc j'ai estimé que j'ai été violé environ 6 heures par semaines, 1716 heures de viols avant mes 12 ans...[...]"
On pourrait penser qu'un témoignage aussi poignant et impliquant un réseau pédocriminel de l'élite ferait le tour des médias internationaux : pas du tout. Actuellement, on ne trouve son témoignage que sur la chaine Youtube de l'emission de RT "In The Now"...et c'est tout. Son témoignage a pourtant été publié il y a 2 jours sur la toile.
 
Malheureusement, les termes "réseau pédocriminel" plus "élite" n'ont jamais fait bon ménage dans les médias qui préfèrent ne pas parler de ce sujet ou alors les faire passer pour de fausses informations. Pourtant, ces réseaux existent. Ils ne sont pas rares et cela n'a pas lieu qu'en Belgique. 
 
"Viols d'enfants : la fin du silence » est un reportage présenté par Elise Lucet sur France 3 le 27 mars 1999. Ce reportage révèle l'existence d'un réseau pédo-satanique actif sur la France en dévoilant l'enfer vécu par plusieurs enfants qui expliquent avoir été abusés au cours de cérémonies très étranges qu'ils représentent sur des dessins. 
 
Dans ce reportage et au cours du débat qui s'ensuit, il est question de viols, de meurtres rituels, de têtes coupées, de charniers d'enfants (notamment en région parisienne selon les propos du substitut du procureur Bouillon), mais il est aussi question de l'attitude étrange de la Justice qui malgré les nombreux éléments à charge du père, dont les extraits de différentes conversations éloquentes provenant d'écoutes téléphoniques, oblige ces enfants à retourner chez leur père contre leur gré et malgré leurs larmes. 
 
Les témoignages des enfants sont discrédités sous prétexte qu'ils sont doués d'un imaginaire fantasmatique particulièrement fertile alors que plusieurs psychiatres et spécialistes affirment qu'ils ne peuvent pas avoir inventé ce qu'ils racontent avoir vécu. En visionnant cette vidéo sur Internet, vous percevrez à travers leurs témoignages, l'intensité de leurs souffrances, de leurs peurs lorsqu'ils expliquent avec leurs mots d'enfant ce qu'ils ont vécu et ne veulent surtout plus vivre. Ce genre de témoignages ne permet pas de douter de la véracité des faits."

-Voir également cette vidéo édifiante:

Pédophilie et meurtres en haute sphère de l'état - Témoignage des enfants du juge Roche

Quand l'omerta médiatique cessera-t-elle enfin?

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Déclaration Choc : « J’ai été une esclave sexuelle de l’élite européenne à l’âge de 6 ans » (VOSTFR)

Publié le par S. Sellami

« Mon nom est Anneke Lucas et j’étais une esclave sexuelle de l’élite européenne à l’âge de 6 ans ». La vidéo est désormais en VOSTFR .

Si vous voulez un détail complet de ce qu’il se passe ici merci de lire l’article sur Fawkes News et de le partager en masse.

laminedinfos.fr

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L’ALGÉRIE SOUS BOUMEDIÈNE Quand le rêve était permis…

Publié le par S. Sellami

L’ALGÉRIE SOUS BOUMEDIÈNE Quand le rêve était permis…

Voxpopuli : 

«…Maintenant les enfants vont à l’école, les gens se font soigner, chose qui n’existait, ni en 1954 ni en 1962 !» (Professeur Pierre Chaulet). 
Merci, M. Chaulet pour cet avis tranché ! Voilà quelqu’un qui a milité, sa vie durant, et qui ne foule pas aux pieds tous les sacrifices consentis par de multiples générations. Il a rappelé, lors de l’hommage qui lui a été rendu en binôme avec Claudine, son épouse, au Forum d’ El Moudjahid, le combat et parfois le martyre de cette multitude d’anonymes qui ont fait de l’Algérie libre, un idéal mortel. D’ailleurs Claudine et Pierre Chaulet, n’ont-ils pas intitulé leur ouvrage : Le choix de l’Algérie, deux voix, une mémoire, qu’ils ont présenté à l’occasion de l’hommage qui leur était rendu le 18 avril 2012, par l’association Machaâl Echahid, l’Assemblée populaire communale d’Alger-Centre et le quotidien national El Moudjahid? Et comme le bonheur n’est jamais orphelin, Nassim Sidi Saïd, notre champion automobile de formule 3, a, dans une magistrale intervention le même jour à la Chaîne III, développé un discours que peu d’intellectuels, ou d’hommes dits politiques, peuvent dérouler sans se draper de cette hypocrisie qui peut les abriter dans différentes chapelles idéologiques. On fait, volontiers, remonter nos tares à l’époque de Boumediène où le pays aurait pris le mauvais virage en socialisant, contre son gré, une société façonnée par «le fait religieux et l’économie féodale et que si…». Sidi Saïd ne va pas par 36 chemins pour affirmer que ce pays qui a subi une colonisation féroce de plus de 130 ans, une guerre sans merci de plus de 7 longues années, une histoire millénaire, n’a pas à se poser, encore, des questionnements identitaires. Il faut que l’on travaille pour que dans les cinquante années à venir, nos enfants soient fiers de leur ascendance comme nous le sommes pour la nôtre qui nous a légué un beau pays. Nous, nous ne sommes pas moins que ces pays émergents du BRIC et dont les chances de décollage économique, étaient, peut-être, moindres que les nôtres ! Il affirmera sans détour, qu’il ira voter, le 10 mai prochain… pour bien marquer sa citoyenneté. Époustouflant, il ne nourrit aucune animosité envers le département tutélaire. Il reconnaît que même si l’on n’a pas encore envisagé la réalisation d’un circuit pour les courses automobiles, il n’en demeure pas moins que le pays, qui a d’autres priorités, ne tardera pas à envisager une telle structure sportive. Quant à dire que «le football prend tout !», Nassim rétorque : «Le foot est un phénomène de société mondial… il n’est pas le propre de l’Algérie.» N’est-il pas temps de regarder, sereinement, l’avenir et de se dire : «Basta ! Arrêtons de reprocher à X et à Y nos déboires passés et à venir.» Avons-nous le droit, encore, de juger ceux qui nous ont précédés ? Ce serait plutôt eux qui sont en droit de nous juger pour avoir dilapidé, disons, le peu qu’il nous aurait légué. Où sont donc passés ces grands complexes pétrochimiques que sont Arzew et Skikda ? Qu’est-il advenu des hauts fourneaux d’Annaba et du complexe tracteurs et engins de travaux publics de Constantine, des complexes électroniques et électroménagers de Oued-Aïssi et de Télagh ? Quel est le pays qui, à peine sorti d’une longue nuit coloniale, construisait des camions qui remportaient les deux premiers rallyes du Paris-Dakar, quand certains pays du Golfe n’avaient, pour seule monture, que le rustique chameau ? Peut-on, sans prendre de risques, confier à un pays nouvellement indépendant l’organisation d’un festival culturel continental, un Sommet des pays non alignés et des Jeux méditerranéens quand d’autres pays, plus avancés, n’envisageaient ou ne pensaient même pas de le faire ? L’industrie du cinéma naissant par l’intermédiaire d’un CNC (Centre national du cinéma) remportait par la coproduction ou la production propre, un Oscar, un Lion d’or et une Palme d’or. Çà ne pouvait être le fait du hasard, mais une juste récompense pour le travail accompli et une légitime reconnaissance internationale. La Mecque des révolutionnaires n’avait nullement usurpé ce titre que nulle autre ville qu’Alger n’aura hérité. Quel est le pays qui venait à peine de hisser son pavillon à la hampe de Manhattan pouvait présider une Assemblée générale des Nations unies et oserait narguer les grands de ce monde par une sortie pour le moins inattendue : un Ordre nouveau pour un monde plus juste envers les plus faibles. Dès lors, le sort des dirigeants algériens était scellé. Où est donc passé le complexe antibiotique de Médéa ou encore celui des pompes et vannes de Berrouaghia ? Qui a réalisé les complexes sportifs du 5-Juillet, de Annaba, d’Oran et d’ailleurs ? Qui a délocalisé dès 1969 les réunions du gouvernement pour les programmes spéciaux de la Kabylie, des Aurès, du Titteri, des Oasis, de la Saoura et de Saïda ? En «un règne sans partage» de 13 ans, l’Algérie aura été au-devant de la scène par : un plan triennal, deux plans quadriennaux. Les grands moments intensément politiques auront été : la nationalisation du secteur minier en 1966, des hydrocarbures en 1971, suivie de l’ordonnance portant Révolution agraire en 1972 et le débat politique sur la Charte nationale en 1976. Et ce n’est pas peu quand on sait que le pays était encore désargenté. L’enseignement supérieur se dotait, lui aussi, de l’Institut national des hydrocarbures (INH), de l’Institut algérien du pétrole (IAP), de l’Université des sciences et des technologies de Bab Ezzouar, de l’Université islamique Emir- Abdelkader avec l’apport d’Oscar Nieymeir, la légende vivante de l’architecture moderne, et l’Université des sciences et des technologies d’Oran (USTO). L’avion «Algérie» était, n’en déplaise aux baveurs, sur le tarmac, il se dirigeait vers la piste d’envol, malheureusement, les nouveaux messies illuminèrent d’autres sentiers pour le crash programmé. On proposait, ni plus ni moins, la destruction par un doux euphémisme appelé : Restructuration.
                                                                                                                           
Farouk Zahi

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