RÉPONSE DU PROFESSEUR ZELLAL NACIRA, AUX MAILS ET APPELS DES ÉTUDIANTS ORTHOPHONISTES, DE L’INTÉRIEUR DU PAYS (NOTAMMENT)

Publié le par S. Sellami

Nacira Zellal, le 22/09/2017

N’ayant pas le temps de répondre aux innombrables demandes d’inscriptions au Master Orthophonie Spécialité Neurosciences cognitives et au Doctorat Orthophonie Option Neurosciences cognitives et E-Therapy, en raison de leur détournement au profit d’autres cursus sans fondement scientifique, mais  récemment agréés (de plus n’ayant reçu aucune suite de la part des responsables, à mes signalements des anomalies y attenant), je suis contrainte d’apporter ces corrections par voie de presse, afin d’éviter le leurre des étudiants désireux de candidater à ce seul LMD, qui a acquis le niveau d’être exporté dans des Facultés de Médecine étrangères. Une première en Algérie depuis l’indépendance, ce qui explique les harcèlements et les fraudes, pour détourner et pervertir toutes mes Offres LMD, alors que je suis la Fondatrice de cette discipline scientifique, de son métier, de son Laboratoire de recherches, de son unité de recherche et de sa revue aux 21 numéros en ligne. Historique de la Fondation en ligne, sur le site de l’Unité  : www.urnop-alger2.com ; œuvre brevetée à l’ONDA et réunie dans le numéro 11 de la Revue électronique Sciences de l’Homme.

 

  1. Le Master Orthophonie spécialité Neurosciences cognitives, est un master académique et non professionnel et il est habilité depuis 07 ans par l’Arrêté Ministériel n° 312 du 07/09/2010, à l’Université d’Alger 2 ou du démenti

 

Ce plus ancien des Masters, est un Master académique, ce que tout le monde sait, y compris mes élèves faussaires mais néanmoins « experts » des commissions décisionnelles. Il suffit, pour le vérifier, de consulter le site de l’URNOP,  un site scientifique et officiel, puisque financé par la DGRSDT et rattaché à l’Université d’Alger 2. https://drive.google.com/file/d/0B0Et1m_2HcqualBpZTFzd1kxekE/view

 

Le LMD professionnel, à l’étranger, est mieux côté qu’un LMD « académique », dénommé, par ailleurs, « recherche » et non « académique ». En effet, même le master professionnel est académique, puisqu’il est enseigné à l’université. Ce genre d’erreurs, comme la traduction de noms de Masters et de Licences en langue arabe, est fréquent en Algérie, car nos institutions travaillent sans  consulter les experts du pays, qui créent et promeuvent la discipline.

Toutefois, le Master que je dirige depuis 2010 est à vocation académique pour une raison bien simple : par « sciences » dans « neurosciences », il faut tout bonnement comprendre « recherches ». Science = Recherches pour les pseudo-experts, qui l’ignorent visiblement. Ils « décident » à la place du Professeur d’Orthophonie depuis 27 ans (normes UNESCO), Professeur qui les a formés mais à qui ils soustraient les offres de formations, les cours et les TD, en les travestissant, par ignorance. Depuis des décennies, ils utilisent tous les moyens pour saborder mes activités scientifiques, afin de prendre possession « à l’aise », de mon œuvre. Sinon, qui publie en orthophonie et qui étale tous ses cursus et ses activités dans un site (leur bibliothèque secrète), en Algérie ?

Autre preuve du label Académique de mon Master : il est naturellement et logiquement suivi, en Algérie, depuis 2016, par son Doctorat et il est rattaché à un Laboratoire -l’URNOP-, qui portent le même nom : « ORTHOPHONIE ET (ses prolongements en recherches scientifiques en) NEUROSCIENCES ».

Ce Master est fédérateur des sciences : les « Neurosciences cognitives ». Comment donc harmoniser avec un master, qui n’a jamais existé et qui n’est que l’un des chapitres des neurosciences, bizarrement appelé « neurolinguistique » par des non spécialistes ?

Je reste Premier spécialiste en neurolinguistique, ne fut-ce que comme auteure du « MTA », seul test neuropsycholinguistique disponible en Algérie depuis l’indépendance. La responsable du master de substitution l’a même utilisé pour se promouvoir Maître de conférences, il y a 2 ou 3 ans et pour avoir ses diplômes (sous ma direction !) et aujourd’hui, elle « va me rénover » en neurolinguistique ! Jugez-en par le PV du CPND des 22-23 mai 2017, où son « master de neurolinguistique » inscrit dans la colonne « tesmiyya djadida » (« nouvelle appellation ») va rénover … et, tenez-vous bien… à mon insu (!!!), celui de « neurosciences cognitives » inscrit, lui, éfrontément, dans la colonne « tesmiyya qadima » (ancienne appellation »). Et c’est l’Arrêté de sa création (312 du 7/9/2010), qui apparaît entre les 02 colonnes, pour ensuite, dans l’Arrêté n° 835 du 27 juillet 2017, listant les masters-harmonisateurs et les masters fraîchement habilités (en 2017), figurer illégalement devant le « master neurolinguistique », afin de lui justifier et lui assurer le label harmonisation.

Ce grave détournement de documents officiels, s’assortit, dans ce même Arrêté du 27 juillet 2017 (gardé secret jusqu’au 04 septembre 2017), d’une série d’énormités, que j’analyse en termes de diffamations, de fausses déclarations et de dénonciations calomnieuses :

– la mention « P » inscrite devant le nom du master de neurosciences cognitives, voulant dire « Professionnel », alors qu’il est Académique.

– la mention « habilité en 2017 » devant le nom de ce même master, alors qu’il est habilité en 2010 par l’Arrêté 312 du 7/9/2010 ; or, c’est ce master qui doit faire justement, objet d’harmonisation à l’échelle nationale, ne fut-ce que par mesure d’économie et d’évitement de la redondance, ce qu’exigent la loi et le taqachouf.

– la mention « Harmonisation » devant le master pseudo-neurolinguistique, alors que la neurolinguistique n’est qu’un chapitre du Master de neurosciences et que les auteurs de cette offre novice ne sont pas spécialistes ; sinon, qu’ils nous publient un bel article dans la presse, définissant la neurolinguistique. Ces gens-là n’ont jamais accepté ma formation de base de linguiste, qui leur fait défaut et alors qu’elle a fait ma force en Orthophonie et aujourd’hui, ils se réclament, par la triche et manu militari, de la linguistique… on peut, toutefois, y voir une certaine capitulation.

– la mention « A » (académique) orne ce « master neurolinguistique », alors qu’il n’est même pas légal, puisque non validé par le CSF. Extrait du PV du 14/11/2016, à votre disposition.

– le comble !!! Dans cet Arrêté 835 du 27 juillet 2017, est inscrit, dans la colonne du master dit de neurolinguistique, l’Arrêté 312 du 7/9/2010. Or, cet Arrêté habilite, depuis 07 ans, mon master et non ce simulacre de master, né en 2017. Ceci est donc un détournement grave par usage frauduleux d’un document administratif : Arrêté 312 ci-joint, mentionnant le Master de neurosciences cognitives et non ce pseudo-master et inscrivant noir sur blanc, devant son intitulé, la mention « A », que mes élèves ont sciemment falsifiée dans l’Arrêté 835 du 27/7/2017. En effet, c’est cette mention « P » qui sera utilisée en ce septembre 2017, comme subterfuge, afin d’interdire l’inscription et à mon master et à mon offre doctorale (voir § 2) et ce, au motif fallacieux, selon lequel un master professionnel ne permet pas l’accès au doctorat ; des candidats sont alors, ces derniers jours, refoulés, par dizaines, bien que venus de Bel Abbes, de Médéa, d’Annaba, … sans qu’on leur dise que les sortants du  Master professionnel « Les TCC » s’inscrivent depuis 2016, au Doctorat le poursuivant, ce qui répond à la norme en LMD.

–  Mais, fort heureusement et malgré toutes ces aberrations, la grotesque farce n’a abouti qu’à moitié puisque mon master, suite à ma réaction à sa découverte grâce à l’envoi de l’offre du pseudo-master neurolinguistique, dans ma boîte-mails, par des témoins conscients du grabuge,  a finalement été reconduit pour 2017-2018. Ce grand master-là, qui est le seul à recevoir des candidatures internationales, mais qu’allait éteindre, comme par un coup de poker, mon élève, la nouvelle MC, dont la camarade, cheffe du service de la PGRS du Département d’Orthophonie, m’a demandé le 06/07/2017, de viser le PV de soutenance du magistère (sous ma direction), ce qui prouve que son dossier professionnel n’est même pas régulier.

– La magouille a eu lieu après la session du CSF du 14/11/2016, qui a validé mon offre de master, qui sera tout bonnement cachée et abandonnée dans un carton du vice-rectorat de la pédagogie et à sa place fut présentée cette bizarre offre « neurolinguistique », à la session du CPND du 25 avril 2017, doublée du mensonge selon lequel, je ne l’aurais pas déposée. Je conserve le courriel de mon élève membre expert au CPND du 25/04/2017, qui me l’a avoué.

Le PV du CPND des 22-23 mai 2017 m’insulte alors très gravement : le nom de mon offre y est inscrit dans la colonne « ancien intitulé » et celui de l’offre de substitution, auto-attribuée à mon élève (du niveau Assistante fut-elle MC), est inscrit dans la colonne « nouvel intitulé ». Autrement dit mon élève voulait « me rénover » en catimini et sans savoir ce qu’est la neurolinguistique !

Fait choquant !! Mon élève, a visé de son nom comme responsable de ce pseudo-master harmonisateur, en voulant remplacer de mon vivant et à mon insu, mon master par le sien-bout de sa thématique ! Où sont donc la gratitude, l’éducation et l’éthique ? En plus, je connais son niveau, elle n’a pas connaissance de l’adaptation des tests et elle n’a fait que plagier cette idée dans son pseudo-programme de master dit « de neurolinguistique », que d’autres personnes lui ont bricolé ! Comment le lui habiliter, de surcroît, comme « harmonisateur », par juge et partie et sans expertise légale ? Ce master « neurolinguistique » élaboré par des non spécialistes des tests, n’a jamais existé, sans compter qu’une enquête fera découvrir que ce sont des psychologues, qui, bien évidemment, ignorent tout de la linguistique clinique, qui le lui ont écrit.

La coalition contre ma personne est donc élargie même à des collègues des autres disciplines, qui se disent hypocritement « mes amis ». Ils agissent aujourd’hui, avec mes élèves contre moi, en catimini et me saluent le lendemain. Ainsi en va-t-il aussi, de la directrice du laboratoire qui « rattache », les visant toute honte bue, ces pseudo-offres d’orthophonie, à son laboratoire de psychologie sociale des généralités.

Le Master académique fédérateur des sciences du cerveau est le plus ancien des masters et son produit est tel que des doctorantes-2016-2017, issues de sa promotion 2012, touchent 02 fois mon salaire en cabinet privé et que Monsieur le Recteur a félicité en juillet 2017, une des titulaires de ce Master, lorsqu’il nous fit la bonne surprise d’assister à la soutenance du mémoire sur La chirurgie éveillée du cerveau. Comment donc mentir et dire officiellement, qu’il est nouvellement habilité en 2017, alors que le Département gère ses soutenances depuis 2012 ? Mes démarches ont imposé sa reconduction pour 2017-2018, fut-ce avec les labels illégaux, injustes, sans éthique et illogiques : « professionnel et nouvelle habilitation 2017 », au lieu d’Harmonisation avec son Arrêté 312 du 7/9/2010, qui lui a été, tout simplement volé par les mains lestes d’indélicats. Bref, un complot inouï de l’élève contre le maître, assimilable à celui de 2012, lorsque mon offre doctorale a été subtilisée et remplacée par une offre, qui produit le Néant : tenez-vous bien, lors de notre session du CSF du 14/06/2017, j’ai enfin assisté à la présentation d’un jury doctoral d’une thèse dite d’orthophonie (auquel un professeur de Paris 8 a été rejeté, faute de moyens pour l’accueillir à l’hôtel) intitulée « La violence sexuelle »… Je garde en mémoire le fou rire général.

  1. Le doctorat Orthophonie spécialité Neurosciences et E-Therapy est le seul doctorat d’orthophonie en Algérie, qui soit conforme, qui répond à la norme et qui est compètent et légal

 

J’en ai élaboré l’Offre ès Qualité (voir mon CV et mes 02 thèses de Doctorat, qui sont publiés en ligne et non cachés, Google Scholar et Google tout court). Mais les ennemis du progrès, abusant de leur place « d’experts », l’ont illégalement bloqué de 2012 à 2016, année à laquelle, vu son Apport, ses objectifs, sa teneur, sa structure, ses conventions et son Laboratoire de soutien idoine et légal et surtout vu mes dénonciations, il a été, enfin habilité comme meilleure Offre (en atteste l’appréciation du Vice-recteur, lors de notre réunion du 21/02/2017). Voir programme en ligne.

N’ayant pas pu le bloquer l’an passé, mes élèves désignés « mes experts », ont trouvé alors, cette année, la « bonne solution » en s’inventant deux ordres de « potions magiques » :

1) ils en bloquent les inscriptions après avoir « exigé le master en médecine ». Ils le discréditent en répandant la rumeur, selon laquelle les sortants de mon master n’auront plus le droit de s’y inscrire, puisqu’il serait à vocation « professionnelle » sic ! Sans compter que le titulaire du master professionnel est habilité à s’inscrire au doctorat, il faut reconnaître que ces « penseurs de triches » ont donc dû passer des nuits blanches, à monter leurs plans démoniaques, pour bloquer mes offres pour le pays !

Je reçois jusqu’à cette heure-ci, des mails, que je transfère aux responsables ainsi qu’aux faussaires, auteurs de la rumeur, émanant de ces innocents étudiants assoiffés de Qualité, qui sont refoulés, alors qu’ils se déplacent de loin. Quant à ceux du Département, ils n’ont pas, quant à eux, pu à ce jour, veille de la clôture des inscriptions, retirer leur diplôme de Master ! Et il est clair que tous les orthophonistes du pays ont droit d’accès à mon offre doctorale. Je le leur ai d’ailleurs précisé dans un mail collectif, lorsqu’on tenta de les soulever, afin de justifier la violence pour imposer l’ouverture, à la veille de la clôture des inscriptions, d’un doctorat de « amrade lougha » sans fondements ni laboratoire. Ceci me fait déboucher sur :

2) le deuxième ordre de « potions » : en effet, sans laboratoire de rattachement (le seul d’Orthophonie en Algérie étant bien l’URNOP, laboratoire que je dirige depuis 17 ans) et sans revue scientifique (voir les numéros de la RSH électronique) ni Projets nationaux et internationaux (l’URNOP, en atteste son site, regroupe une trentaine de projets nationaux et internationaux), de soutien, « mes élèves-experts » se sont magiquement offert, à une vertigineuse vitesse, il y a à peine 02 jours et à la veille de la clôture des inscriptions, un doctorat appelé bizarrement « amrade lougha » (« maladies du langage »), donc sans savoir, nous prouvant leur incompétence, distinguer, le biologique du socio-humain ! En SHS on parle d’« idtérabète » (« troubles ») et non de « maladies » !

Et c’est ce bizarroïde doctorat « Orthophonie-maladies du langage », comme si l’on disait « médecine-maladies du corps », ce qui montre, en plus, l’incapacité de trouver des spécialités de recherches en orthophonie, auto-attribué à mon élève, devenue Maître de Conférences-administratrice, qui, tout allègrement, vise à rafler les inscriptions à mon Offre doctorale « Orthophonie-Neurosciences cognitives et E-Therapy » ; cette grande et vraie Offre-là, voyez-vous, dont le programme et ses activités de soutien, font un site dont l’Algérie est si fière ! Un site qui offre visibilité et traçabilité de mon produit à l’internationale, un site que ces amateurs n’ont pas.

Leurs moyens sont les transes collectives, les hurlements, le clanisme, les intrigues de coulisses, les marches dans les halls du rectorat et le cannibalisme de mes projets ; ce ne sont ni une thèse thérapeutique (la nôtre, mondialement reconnue, publiée dans Wiley-Blackwell et Direct Science, est médiatisée en ligne dans notre site) ni un Laboratoire, fondant les objectifs de leur LMD-miracle.

Enfin, un très sérieux problème : en application de la loi 2016, la DGRSDT n’octroie pas de budget au doctorant de physique, qui vivote, voire ne met même pas les pieds dans un laboratoire de mathématiques. Les autorités de la DGRSDT, ne vont donc pas s’amuser à octroyer aux faussaires directeurs de laboratoires de psychologie, sans projets d’orthophonie (voir les officiels projets des laboratoires de ces complices du complot contre l’orthophonie), un budget pour des doctorants en orthophonie. Évaluée positivement, l’URNOP a reçu de la DGRSDT, un budget pour ses 18 doctorants LMD en juillet 2017. Ce budget a été octroyé à chaque doctorant sur étude de son lourd et très précis dossier, qui est visé par le doctorant, l’encadrant de la thèse et le directeur du Laboratoire. Comment un directeur de laboratoire qui s’occupe de la dépression et de santé mentale, va-t-il donc viser le dossier de demande de budget pour le doctorant d’orthophonie-amrade lougha ? À moins que l’autre potion magique ait déplacé le larynx de l’algérien, du cou vers la tête !

Je demande donc une confrontation publique avec ces faiseurs de LMD d’orthophonie et ces directeurs de laboratoire « d’accueil » de fortune et ce, en présence de tous les responsables et même sur un plateau de télévision, autour des neurosciences, de leur chapitre-master « neurolinguistique » et de leur « doctorat amrade lougha ». Qu’ils aient donc le courage et l’honnêteté de m’affronter sur l’estrade de la science, seul moyen noble digne d’universitaires, à même de rétablir la vérité,  au lieu de passer sa carrière à fomenter des coups tordus de l’élève contre son maître, des plans diaboliques dans le dos depuis des décennies, mais sans succès. Leur but c’est mon départ, afin qu’ils transforment « à l’aise » ma propriété intellectuelle en leur propriété privée. Cela ne marche pas, même dans la jungle.

Mes thèses de magistères et de doctorat, j’en ai lancé les vraies et licites soutenances devant des jurys médicaux, de linguistes et de biologistes et non des jurys d’arrière cuisine, en 1990 et elles sont en ligne. Je ne suis pas une novice, mon master, fruit d’un long et vrai Parcours, n’est pas improvisé en 2017 et il n’est pas professionnel, comme ils veulent le faire croire et mon doctorat, modèle de programme à suivre, est rattaché à son laboratoire légal de Filière : l’Arrêté 502 du 15 juillet 2014, dans sa liste des Filières SHS, indique bien que la Filière Orthophonie est autonome et bien distincte des Filières Sociologie, Histoire et Psychologie. Ceci veut dire que la directrice du laboratoire oisif de psychologie, qui a signé le rattachement à son laboratoire du doctorat « amrade lougha » est complice dans la fraude. Quant à la clochardisation de la licence et au vol prémédité, programmé et organisé de mes 22 thèses, afin d’acquérir grades et promotions, j’en ferai bientôt un autre dossier.

Dommage pour une chaire, qui peut faire le Département-phare en Algérie : voir mes 03 cursus algériens-internationaux du système classique et LMD, en ligne.

Monsieur le Ministre, je vous prie donc de bien vouloir re-examiner l’Arrêté 835 du 27 juillet 2017, qui induit nos étudiants en erreur et de prendre les mesures édictées par la loi, à l’encontre des faussaires.

Ci-joint en scanné l’Arrêté n° 312 du 7/9/2017, habilitant mon offre de master. La reliure à gauche prouve que le canevas-CRC pour l’Harmonisation 2017-2018, l’inclut juste après sa page de garde. Mon offre n’est pas partie au CPND et son traitement dans le PV du CPND des 22-23 mai 2017 puis dans l’Arrêté 835 du 27 juillet 2017 est un traitement fictif, donc illégal.

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