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Exploitation sexuelle ? Des vidéos de Biden touchant des fillettes censurées par Twitter

Publié le par S. Sellami

Toutes ces images publiques étaient extraites de médias officiels.

Source : RT, 14 septembre 2020

Traduction : lecridespeuples.fr

Des images de C-Span [chaîne publique américaine diffusant les interventions gouvernementales] de Joe Biden interagissant avec des filles sont signalées par Twitter comme ayant enfreint leur politique contre l’exploitation sexuelle des enfants après être apparues en ligne lors d’une discussion sur le personnage du politicien.

Le différend sur les réseaux sociaux a vu l’activiste progressiste texan Johnny Graz chercher à faire valoir que le candidat démocrate à la présidence devrait faire l’objet d’une enquête pour agression sexuelle.

Un autre commentateur, surnommé Jake Koenig, a cherché à soutenir l’argument de Graz en publiant une compilation vidéo de Biden touchant diverses jeunes filles lors de séances photos lors des cérémonies d’assermentation de leurs parents au Congrès en 2015.

Cependant, le commentateur n’a pas été en mesure de publier les images publiques officielles de la procédure parce que « Twitter l’a signalé pour avoir tenté de publier des images d’agression sexuelle contre des enfants ».

 

 

J’ai essayé de répondre avec une vidéo de preuves sur la façon dont Biden interagit avec les femmes et les petites filles, mais Twitter m’a signalé pour avoir essayé de publier des images de pédophilie hahahahahahhaha. J’en déduis que Twitter est d’accord avec @jvgraz

L’affirmation de Koenig était facilement vérifiable, car Twitter identifie en effet très rapidement la vidéo comme un contenu « interdit » qui « viole [leur] politique contre l’exploitation sexuelle des enfants ». De plus, le site Web bannit le compte de quiconque poste ces vidéos jusqu’à ce qu’il ait supprimé les images.

Les images tristement célèbres montrent l’ancien vice-président touchant les filles et les petites-filles des législateurs américains. À divers moments, il semble maintenir certaines filles en place et se pencher étroitement pour chuchoter quelque chose à leurs oreilles.

 

 

La discussion autour du comportement de Biden a été en grande partie alimentée par une série d’accusations de plusieurs femmes selon lesquelles il les avait « touchées de manière inappropriée ». Plus particulièrement, en mars, une ancienne membre du personnel du sénateur Biden, Tara Reid, s’est publiquement manifestée en disant qu’il l’avait agressée sexuellement en 1993.

Les allégations n’ont pas attiré beaucoup d’attention des médias, même si elles ont coïncidé avec la montée en puissance du mouvement très médiatisé « MeToo », chargé de faire en sorte que les hommes puissants rendent compte des abus sexuels à l’égard des femmes. Les plus grandes personnalités de l’organisation ne semblaient pas intéressées par le cas de Reid, qui a conduit à des luttes intestines et à des accusations de partisanerie.

Biden lui-même a nié les allégations, affirmant que « rien de tel ne s’est jamais produit », et a même ajouté qu’il ne se souvenait pas de la femme.

***

Mise à jour : Twitter a immédiatement censuré le Tweet renvoyant à cet article et a bloqué mon compte, au prétexte de la violation de la politique concernant l’exploitation sexuelle des enfants. Voilà la procédure qu’il m’a fallu suivre pour le réactiver.

Compte bloqué 15-9

Compte bloqué 15-9 2-3

Compte bloqué 15-9 3-3

Le tweet renvoyant à cet article reste invisible. En toute probabilité, les algorithmes de Twitter ont réagi à l’image accompagnant l’illustration, à la vidéo jointe et/ou au contenu de l’article.

Tweet supprimé

On ne peut que se féliciter que la protection de l’enfance soit prise au sérieux. Mais lorsqu’elle empêche des faits si importants d’être connus du public à la veille de l’élection présidentielle, on peut se demander s’il ne s’agit pas avant tout de protéger Joe Biden, candidat favori du système (ce qui ne fait certainement pas de Trump un candidat anti-système, mais un second couteau tout aussi asservi à l’Etat profond ; voir Le mythe persistant selon lequel Trump serait anti-impérialiste et anti-système).

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♦ La mémoire entêtée 

Publié le par S. Sellami

Passion ravivée, cordon ombilical, relation passionnelle, histoire commune. Que de qualitatifs inappropriés ! Seules les blessures et les meurtrissures sont ravivées. La relation entre l’Algérie et la France ne sera que ce que continuera de révéler l’avenir, une page sombre d’une monstrueuse épopée jalonnée de génocides et de crimes commis et auxquels aucun substitut ne pourra être trouvé. Pas même ces prétendus drames de ceux qui sont partis, certains  fuyant la folie meurtrière de l’OAS, d’autres leurs propres crimes où d’autres encore qui s’allièrent au colonialisme contre leurs propres frères de sang et qui ne purent pour beaucoup embarquer dans ces bateaux en partance vers des contrées où ils ne furent jamais les bienvenus.Passion ravivée, cordon ombilical, relation passionnelle, histoire commune. Que de qualitatifs inappropriés ! Seules les blessures et les meurtrissures sont ravivées. La relation entre l’Algérie et la France ne sera que ce que continuera de révéler l’avenir, une page sombre d’une monstrueuse épopée jalonnée de génocides et de crimes commis et auxquels aucun substitut ne pourra être trouvé. Pas même ces prétendus drames de ceux qui sont partis, certains  fuyant la folie meurtrière de l’OAS, d’autres leurs propres crimes où d’autres encore qui s’allièrent au colonialisme contre leurs propres frères de sang et qui ne purent pour beaucoup embarquer dans ces bateaux en partance vers des contrées où ils ne furent jamais les bienvenus.

Le rapport Stora est un non évènement. Juste probablement une volonté de faire encore parler de soi et d’essayer de reprendre pied en Algérie, aidé en cela par ceux qui osent ici nous parler encore de cordon ombilical. Mais de quoi parle-t-on au juste ? L’Algérie n’est pas née de la France tout comme la France de l’Algérie ! L’Algérie fut une aventure dont beaucoup ne voulurent pas vers une terre qui appartenait à d’autres. Les richesses y furent pillées, les femmes violées, les hommes  mutilés, bannis, conduits au bagne, expropriés et souvent liquidés. Les enfants qui furent victimes et témoins de tout cela constituèrent au final le vivier du nationalisme algérien renaissant.

Il est regrettable qu’un historien qui jouit pourtant d’une certaine estime et d’une certaine crédibilité de ce côté-ci de la Méditerranée se soit approprié les thèses de prédilection des historiens révisionnistes français et des revendications en la matière des ténors de l’extrême droite française et se soit ainsi enfermé dans les limites imposées par l’état profond français dont tout le monde connait non seulement la haine viscérale pour l’Algérie indépendante mais aussi l’agitation permanente devenue le leitmotiv comme faire diversion et parasiter la volonté des forces nationales algériennes de diversifier le partenariat international de ce pays et de scruter d’autres horizons.

Les juifs qui surent si habilement négocier, obtenir et profiter de leur statut de supériorité aux indigènes de ce pays grâce au décret Crémieux et qui quittèrent ce pays le firent souvent de leur propre gré où sous l’effet de leurs propres crimes comme ceux commis par ceux d’entre eux qui furent des membres actifs et des miliciens de ces fameux commandos Delta de l’OAS. Les autres, d’authentiques juifs algériens, prirent par contre fait et cause pour leurs frères de combat et s’allièrent à la cause algérienne. Maurice Audin fut l’un d’entre eux.

Soyons précis. La demande algérienne de repentance de la France officielle pour ses crimes commis en Algérie n’est justifiée que par les légitimes réparations matérielles et autres indemnisations qu’elle induira. Il ne s’agit pas d’espérer de jours meilleurs mais juste d’une relation d’égal à égal entre deux entités souveraines et distinctes comme pourrait l’être une relation avec une autre partie tierce. A cet effet, le recensement des genocides et crimes commis, des pillages effectués et la reparation des effets devastateurs des essais nucléaires conduits et ceux d’élaboration de substances chimiques qui continuent  d’amputer des personnes et de polluer des sols est le premier pas qu’il est nécessaire d’effectuer.

Le contentieux fondamental entre l’Algérie et la France a été réglé. Il a été signifié par l’indépendance de l’Algérie, elle-même actée par le combat liberateur du peuple algérien. L’Algérie se doit d’être aujourd’hui consciente de son envergure et du rôle majeur dans la region qui lui incombe du fait de sa puissance en devenir et de ses alliés traditionnels et historiques comme  la Russie, la Chine, l’Iran, la Corée du Nord, Cuba, l’Afrique du Sud  et bien d’autres encore sans omettre de citer ces  pays européens avec lesquels des partenariats bilatéraux pourront sans complexe être envisagés et construits.

L’implication récente de certaines monarchies du golfe dans des actes hostiles à l’Algérie nous renseigne aussi de la nécessité pour l’Algérie  de faire désormais le tri de ses  partenaires dans cette région du monde. L’Afrique, ce fabuleux continent auquel l’Algérie appartient et auquel elle a beaucoup donné, constitue désormais sa profondeur stratégique et ce côté vers lequel sa générosité et sa coopération se doivent d’être décuplées et déployées afin que jonction soit faite avec cet autre allié, l’Afrique du Sud, pour qu’enfin les richesses de l’Afrique bénéficient aux seuls africains et que ce continent soit mis à l’abri de ces puissances qui n’ont enfanté que misère et esclavage. Oui, l’ordre du monde est plus que jamais bousculé et qui peut dire quelles seront les puissances de demain et lesquelles ne le seront plus ?

De grâce que l’on ne nous prenne plus pour plus naïfs que nous sommes.  Ce rapport Stora dont on nous parle ces jours-ci ne nous concerne au final que très peu. Il s’imbrique plutôt dans le contexte politique franco-français, des affrontements politiques qui s’annoncent avec l’arrivée probable de l’extrême droite aux manettes de l’hexagone et des échéances électorales françaises qui viennent. Pour notre part, nous attendons impatiemment ce qu’écriront nos historiens et  experts afin que la réalité de ce que fut vraiment la longue nuit coloniale soit enfin portée à la connaissance de la conscience humaine.

Salim METREF

Le Quotidien d’Algérie

La mémoire entêtée -operanewsapp

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♦ France-Algérie : le rapport Stora « en deçà de ce qu’on aurait pu attendre »

Publié le par S. Sellami

Le refus français de présenter des « excuses » concernant la période coloniale en Algérie jette un doute sur l’avancement des questions mémorielles entre les deux pays
Pour un ancien ministre algérien, le rapport Stora ne prend pas en compte « la reconnaissance par la France des crimes commis par la colonisation » (AFP)
Pour un ancien ministre algérien, le rapport Stora ne prend pas en compte « la reconnaissance par la France des crimes commis par la colonisation » (AFP)                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       La publication du rapport de l’historien français Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d’Algérie n’a encore suscité aucune réaction officielle à Alger, mais certains médias et personnalités déplorent que le principe d’ « excuses », exigées par les anciens combattants algériens, ait été écarté.

« La France ne veut ni s’excuser… ni se repentir », résume en une le quotidien arabophone El Khabar.

« Le président [Macron] ferme le dossier des ‘’excuses’’ de la France », renchérit un autre journal arabophone, Echourrouk, qui accuse le chef de l’État français de renier ses engagements.

« Le président Macron ne tient pas, encore une fois, ses promesses de candidat, lui qui avait déclaré ici en Algérie que la colonisation était un crime contre l’humanité. Il préfère jouer sur tous les tableaux pour ne pas tout perdre », regrette le quotidien conservateur.

Le rapport Stora permettra-t-il une « paix des mémoires », s’interroge, de son côté, le quotidien francophone Liberté, à l’approche du 60e anniversaire de l’indépendance en 2022, en soulignant que l’historien, spécialiste reconnu de l’Algérie, a tenté de « trouver un équilibre entre les exigences historiques et les susceptibilités politiques ».

Archives de la guerre d’Algérie : un double discours français ?
Lire

Le même quotidien fait réagir plusieurs historiens, algériens et français.

Olivier Le Cour Grandmaison estime, pour sa part, que le rapport Stora « demeure en deçà de ce qu’on aurait pu attendre » sur deux points essentiels.

D’abord la question des archives : « Le rapport recommande d’appliquer la loi de 2008, mais il reste muet sur les dispositions actuelles qui entravent l’accès aux archives. »   

Ensuite, l’historien regrette aussi qu’il n’y ait pas de reconnaissance des crimes coloniaux. « Benjamin Stora les euphémise sinistrement en les qualifiant d’exactions ».

Pour l’ancien ministre et ex-diplomate Abdelaziz Rahabi, « le rapport Stora ne prend pas en compte la principale demande historique des Algériens, la reconnaissance par la France des crimes commis par la colonisation. Il ne s’agit ni de repentance, notion étrangère aux relations entre États  ni de fonder une mémoire commune, les deux pays étant héritiers de deux mémoires antagoniques sur cette question ».    

Les harkis mécontents

Pour l’écrivain Kamel Daoud, « ce rapport est une thérapie française avant de prétendre être une thérapie de couple. Il permettra à la France d’avancer. En effet, si des Français ne comprennent pas l’exigence algérienne et si des Algériens ne s’expliquent pas le refus de responsabilités chez des Français, c’est parce qu’une partie de l’Histoire n’a pas été racontée autrement que par des hurlements et des silences. Un trop-plein de mémoires ‘’communautarisées’’ en France, face à un trop-plein d’histoire officielle des apparatchiks en Algérie ».

« Le président de la république [française] va faire son marché dans le rapport de Benjamin Stora en fonction de ses intérêts politiques et électoraux et il va choisir des propositions qui ne vont pas le mettre en danger politiquement », analyse, pour Liberté, l’enseignant d’histoire et cofondateur du site 1000autres.org, Fatrice Riceputi.

Car côté français, les résistances ne manquent pas.

Le comité national de liaison de harkis (CNLH), des anciens combattants auxiliaires de l’armée française pendant la guerre d’indépendance, a accusé samedi l’historien Benjamin Stora de « minimalisme » dans son rapport,  rapporte l’AFP.

« L’historien minimaliste s’est abstenu de tout débat ou avis contradictoire, pourtant nécessaire en démocratie », accuse le CNLH dans un communiqué.

« Le président de la république [française] va faire son marché dans le rapport de Benjamin Stora en fonction de ses intérêts politiques et électoraux »

- Patrice Riceputi, enseignant d’histoire et cofondateur du site 1000autres.org

« Ce qui compte vraiment c’est que la France reconnaisse définitivement le mal qu’elle a fait. En cachant cette partie de l’histoire, elle fausse l’histoire », insiste Mohamed Badi du CNLH. Une revendication appuyée dans le communiqué qui réclame « la vérité, la reconnaissance, la justice, la réparation ». 

Le CNLH souhaite « la reconnaissance par l’État français de sa responsabilité et de sa faute dans le désarmement, l’abandon et le massacre des harkis, après les accords d’Évian et le cessez le feu du 19 mars 1962 ». 

Sur sa page Facebook, l’historien algérien Hosni Kitouni, renvoie, pour sa part, la balle à la partie algérienne.

« Le rapport de M. Stora indique de manière claire que le France n’est pas prête à faire une vraie avancée sur la question du passé colonial et celle de la mémoire. L’éléphant a accouché d’une souris. Mais même avec ces limites, il met cependant au pied du mur la partie algérienne qui, d’une part, n’a pas fait avancer le dossier d’un iota, et d’autre part, se retrouve privée de la feuille de vigne derrière laquelle elle a jusque-là caché son indigence politique : il n’y aura pas de repentance de la part de la France », explique-t-il.

En parallèle de la nomination de Benjamin Stora par Emmanuel Macron pour se charger de la rédaction de ce rapport, le président algérien Abdelmadjid Tebboune avait nommé son conseiller et directeur des Archives nationales, Abdelmadjid Chikhi, de suivre ce dossier.

Ce dernier n’a pas encore réagi à la publication du rapport Stora. Le quotidien El Watan se demande d’ailleurs : « L’Algérie va-t-elle avancer sur ce dossier relatif aux questions mémorielles en l’absence d’‘’excuses’’ ? ».                                                                                                              Par  
Published date: Dimanche 24 janvier 2021    
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♦France-Algérie : Paris promet des « actes symboliques », mais il n’y aura « ni repentance ni excuses »

Publié le par S. Sellami

Le rapport sur la colonisation et la guerre d’Algérie remis par l’historien Benjamin Stora à Emmanuel Macron propose une série d’actions pour déminer l’histoire et la mémoire algéro-françaises
 Des Algériens arrêtés lors d’une opération militaire dans la région de Tablat et Bir Rabalou (centre du pays), le 21 avril 1956 en Algérie (AFP)
Des Algériens arrêtés lors d’une opération militaire dans la région de Tablat et Bir Rabalou (centre du pays), le 21 avril 1956 en Algérie (AFP)

L’historien français Benjamin Stora a remis ce mercredi 19 janvier à Emmanuel Macron son très attendu rapport sur la colonisation et la guerre d’Algérie (1954-1962) pour tenter de « décloisonner » des mémoires divergentes et douloureuses entre les deux pays, aux relations aussi étroites que complexes.

Spécialiste reconnu de l’histoire contemporaine de l’Algérie, Benjamin Stora a été chargé en juillet par le président français de « dresser un état des lieux juste et précis du chemin accompli en France sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », qui reste un épisode très douloureux dans les mémoires des familles de millions de Français et d’Algériens.

En Algérie, le président Abdelmadjid Tebboune a chargé son conseiller et directeur des archives nationales, Abdelmadjid Chikhi, de travailler sur la question mémorielle, de concert avec Benjamin Stora.

Le président français participera à trois journées de commémoration dans le cadre du 60e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie en 1962

Des « actes symboliques » sont prévus mais il n’y aura « ni repentance ni excuses », a d’ores et déjà annoncé la présidence française.

« On a déjà reçu des demi-excuses. Il faut faire un autre pas […] On le souhaite », avait souhaité le président algérien Abdelmadjid Tebboune en juillet 2020 dans une interview à France 24. « Cela va permettre d’apaiser le climat et le rendre plus serein pour des relations économiques, pour des relations culturelles, pour des relations de voisinage », avait-il plaidé.

« Il y aura des mots » et « des actes »

C’est « une démarche de reconnaissance » mais « il n’est pas question de repentance » et « de présenter des excuses », précise-t-on à l’Élysée en s’appuyant sur l’avis de Benjamin Stora, qui cite en exemple le précédent des excuses présentées par le Japon à la Corée du Sud et à la Chine concernant la Deuxième Guerre mondiale, lesquelles n’ont pas permis de « réconcilier » ces pays.

L’Élysée a par ailleurs souligné qu’Emmanuel Macron ne « regrettait pas » ses propos prononcés à Alger en 2017 dénonçant la colonisation comme « un crime contre l’humanité ». « Que pouvait-il dire de plus ? Il n’y a rien à dire de plus, en revanche, il y a beaucoup à faire », affirme-t-on à l’Élysée.

Le président français participera en 2022 à trois journées de commémoration dans le cadre du 60e anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie : la journée nationale des harkis (supplétifs algériens de l’armée française) le 25 septembre, la répression d’une manifestation d’Algériens à Paris le 17 octobre 1961 et les accords d’Évian du 19 mars 1962 mettant fin à la guerre, a précisé l’Élysée.

Macron « s’exprimera en temps et en heure » sur les préconisations de ce rapport et de la commission qui sera chargée de les étudier, a précisé la présidence. « Il y aura des mots » et « des actes » du président dans « les prochains mois », a-t-elle assuré, en indiquant que s’ouvrait « une période de consultations ».

« Plutôt que de ‘’repentance’’, la France devrait donc reconnaître les discriminations et exactions dont ont été victimes les populations algériennes : mettre en avant des faits précis. Car les excès d’une culture de repentance, ou les visions lénifiantes d’une histoire prisonnière des lobbys mémoriels, ne contribuent pas à apaiser la relation à notre passé », explique Stora dans son rapport.

Pour Benjamin Stora, la France « doit accepter sa défaite dans la guerre d’Algérie »
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Dans son rapport, que Middle East Eye a consulté, Benjamin Stora propose une série de préconisations « à mettre en œuvre pour une possible réconciliation mémorielle entre la France et l’Algérie ».

L’historien propose d’abord la constitution d’une commission « Mémoires et vérité » qui serait « chargée d’impulser des initiatives communes entre la France et l’Algérie sur les questions de mémoires ».

Cette commission, selon Stora, pourrait être constituée par différentes personnalités engagées dans le dialogue franco-algérien, comme Fadila Khattabi, qui préside le groupe d’amitié France-Algérie de l’Assemblée nationale, Karim Amellal, ambassadeur, délégué interministériel à la Méditerranée, mais aussi des intellectuels, médecins, chercheurs, chefs d’entreprise et animateurs d’associations (comme Coup de soleil).

Cette commission pourrait notamment proposer de poursuivre les commémorations comme celle du 19 mars 1962, date du cessez-le-feu.

Rendre hommage à l’émir Abdelkader

« D’autres initiatives de commémorations importantes pourraient être organisées autour : de la participation des Européens d’Algérie à la Seconde Guerre mondiale ; du 25 septembre, journée d’hommage aux harkis et autres membres de formations supplétives dans la guerre d’Algérie ; de la date du 17 octobre 1961, à propos de la répression des travailleurs algériens en France. À tous ces moments de commémorations pourraient être invités les représentants des groupes de mémoires concernés par cette histoire », précise le rapport.

« Cette commission pourrait recueillir la parole des témoins frappés douloureusement par cette guerre, pour établir plus de vérités, et parvenir à la réconciliation des mémoires », lit-on encore.

Le rapport préconise d’inclure dans le décret de 2003, instituant une journée nationale d’hommage aux morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, « un paragraphe dédié au souvenir et à l’œuvre des femmes et des hommes qui ont vécu dans des territoires autrefois français et qui ont cru devoir les quitter à la suite de leur accession à la souveraineté ».

Il est aussi recommandé la construction d’une stèle en hommage à l’émir Abdelkader, chef religieux et militaire algérien qui mena la lutte contre la conquête de l’Algérie par la France au milieu du XIXe siècle, à l’occasion du 60e anniversaire de l’indépendance algérienne en 2002, ainsi que la restitution de l’épée de l’émir à l’Algérie.

Le rapport préconise également la création d’une commission franco algérienne d’historiens chargée d’établir l’historique du mythique canon « Bab Merzoug » ou « La Consulaire », emporté en 1833 par la France pour le faire ériger à Brest, « et de formuler des propositions partagées quant à son avenir, respectueuses de la charge mémorielle qu’il porte des deux côtés de la Méditerranée ». Comprendre : étudier la possibilité de restituer ce canon à l’Algérie.

Stora propose aussi que la France reconnaisse officiellement l’assassinat de l’avocat Ali Boumendjel durant la bataille d’Alger en 1957, « à la suite de la déclaration concernant Maurice Audin ».

Stora propose aussi que la France reconnaisse officiellement l’assassinat de l’avocat Ali Boumendjel durant la bataille d’Alger en 1957

Le 13 septembre 2018, Emmanuel Macron a reconnu dans une déclaration à la veuve de Maurice Audin, mathématicien français qui avait rejoint le combat des Algériens, que l’État colonial était responsable de la disparition de son mari, dans le cadre d’un « système » entraînant « des actes de torture ». 

Le rapport appelle aussi à la réactivation du groupe de travail, créé en 2012, chargé de la localisation des sépultures des disparus algériens et français de la guerre d’indépendance afin d’élaborer un « Guide des disparus » de la guerre d’Algérie.

Une autre préconisation concerne l’identification des « emplacements où furent inhumés les condamnés à mort exécutés pendant la guerre ».

« À la fin des années 1960, dans un mouvement symétrique à celui qu’effectuait alors l’État français, l’État algérien a demandé à récupérer les corps des Algériens morts en France pendant la guerre. Or, les démarches entreprises sont inabouties. On pourrait se centrer sur la situation des condamnés à mort exécutés qui doivent être distingués dans la mesure où il s’agit de décisions de justice et d’exécutions officielles, ce qui devrait permettre une identification plus aisée », poursuit le rapport.

L’épineuse question des harkis

Concernant les essais nucléaires français au Sahara et les mines aux frontières est et ouest de l’Algérie, le rapport propose de poursuivre le travail conjoint entamé depuis quelques années.

Benjamin Stora préconise aussi l’achèvement des travaux du comité mixte d’experts scientifiques algériens et français chargés d’étudier les restes humains de combattants algériens du XIXe siècle conservés au Muséum national d’histoire naturelle.

En juillet 2020, les restes de 24 résistants algériens à la colonisation française, cédés par des collectionneurs au Musée de l’homme à Paris en 1880, où ils se trouvaient jusqu’à maintenant, ont être rapatriés en Algérie.  

Une autre mesure souhaitée par Stora, qui risque de heurter les autorités algériennes, concerne la « possibilité de faciliter le déplacement des harkis et de leurs enfants entre la France et l’Algérie ». En raison de leur implication aux côtés de l’armée coloniale française pendant la guerre, ceux-ci ne sont en effet pas les bienvenus en Algérie.

Gilles Manceron : « Les archives sur la guerre d’Algérie peuvent recéler des choses inavouables »
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En novembre 2020, Abdelmadjid Chikhi, chargé de travailler sur la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie, côté algérien, avait affirmé, dans une interview à la revue de l’armée algérienne, que « certains dossiers [étaient] hors de discussion, tels que le sujet des harkis, d’autant que leur départ en France a été un libre choix ».

Le rapport propose aussi « la mise en place d’une commission mixte d’historiens français et algériens pour faire la lumière sur les enlèvements et assassinats d’Européens à Oran en juillet 1962, pour entendre la parole des témoins de cette tragédie ».

Il sera question également de la question des quatre camps d’internement pour Algériens sur le territoire français afin d’en faire des lieux de mémoire.

Quatre camps accueillirent des milliers d’Algériens, rappelle Stora : le camp du Larzac (Aveyron), celui de St-Maurice-l’Ardoise (Gard), celui de Thol (Rhône) et celui de Vadenay (Marne).

« Le camp du Larzac fut le plus important. Celui de St-Maurice-l’Ardoise a la particularité d’avoir vu s’y succéder, pendant la guerre, des suspects algériens puis des membres de l’OAS [organisation clandestine défendant la présence française en Algérie], puis des harkis rapatriés et leurs familles. Des plaques, apposées à proximité de chacun de ces camps, pourraient rappeler leur histoire », note le rapport.

Sur un autre volet, le rapport remis à Macron souhaite que soit encouragée « la préservation des cimetières européens en Algérie (travaux, entretiens, réhabilitations des tombes), ainsi que des cimetières juifs (comme par exemple ceux de Constantine et de Tlemcen) [et que soit] financé l’entretien des tombes des soldats algériens musulmans ‘’morts pour la France’’ entre 1954 et 1962 et enterrés en Algérie. »

Ces tombes ne reçoivent aucun soin spécifique de la part de l’État français puisqu’elles n’ont pas été regroupées au sein de la nécropole nationale française du Petit Lac, à Oran, avec celles des autres militaires français, explique l’historien. « Avec l’accord des familles, un recensement de ces tombes et une aide pour leur entretien pourraient être proposés. »

Archives : la pomme de discorde

Le rapport aborde ensuite la délicate question des archives, appelant à la reprise des travaux du groupe de travail conjoint institué en 2013, qui ne n’est plus réuni depuis 2016.

« Par la multiplication des gestes politiques et symboliques, on pourra de la sorte s’éloigner d’une mémoire devenue enfermement dans un passé, où se rejouent en permanence les conflits d’autrefois »

- Benjamin Stora, historien

L’accès aux archives de la colonisation, déménagées en France après l’indépendance de l’Algérie en 1962, est une des principales revendications des anciens combattants algériens.

« Ces archives appartiennent à l’Algérie. Il s’agit de négocier pour les récupérer. Personne n’a évalué ni le volume ni la quantité. Mais ce qui a été rendu est véritablement insignifiant », avait regretté Abdelmadjid Chikhi.

« Le groupe de travail sur les archives devra faire le point sur l’inventaire des archives emmenées par la France, et laissées par la France en Algérie. Sur la base de ce travail d’inventaire, certaines archives (originaux) seraient récupérées par l’Algérie. Celles laissées en Algérie pourront être consultées par les chercheurs français et algériens », propose Benjamin Stora.

Un « Comité de pilotage » pourrait « proposer la constitution d’un premier fond d’archives commun aux deux pays, librement accessible. Ce comité pourrait également demander l’application stricte de la loi sur le patrimoine de 2008 en France [selon laquelle les documents d’archives publiques sont par principe librement communicables à toute personne qui en fait la demande] », poursuit l’historien.

« Concrètement, il s’agit de revenir dans les plus brefs délais à la pratique consistant en une déclassification des documents ‘’secrets’’ déjà archivés antérieurs à 1970 – étant entendu qu’il revient à l’administration de procéder à la déclassification des documents postérieurs à cette date avant leur versement. »

Il est aussi proposé de mettre en œuvre plusieurs mesures visant à faciliter la recherche historique, en Algérie et en France, au profit d’étudiants et de chercheurs travaillant sur l’histoire franco-algérienne.

Samia Henni : « Ce qui s’est passé est un crime contre l’humanité »
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D’autres mesures sont proposées dans la perspective d’une meilleure diffusion d’une histoire apaisée, comme la création d’une collection « franco-algérienne » dans une grande maison d’édition, la création d’un fonds permettant la traduction, du français vers l’arabe et de l’arabe vers le français, d’œuvres littéraires et à caractère historique, et surtout, « accorder, dans les programmes scolaires, plus de place à l’histoire de la France en Algérie ».

L’idée est aussi avancée de créer « un Office Franco-Algérien de la Jeunesse, chargé principalement d’impulser les œuvres de jeunes créateurs », ainsi que la réactivation du projet de Musée de l’histoire de la France et de l’Algérie, prévu à Montpellier et abandonné en 2014.

Et pour poursuivre l’initiative de Macron visant à renommer des rues de France de manière à rendre hommage à des personnes issues de l’immigration et de l’outre-mer, le rapport préconise « l’inscription [en France] de noms de Français particulièrement méritants, en particulier médecins, artistes, enseignants, issus de territoires antérieurement placés sous la souveraineté de la France ».

Gisèle Halimi au Panthéon ?

Le rapport propose l’organisation, courant 2021, d’un colloque international dédié au refus de la guerre d’Algérie par certaines grandes personnalités (François Mauriac, Raymond Aron, Jean-Paul Sartre, André Mandouze, Paul Ricœur, mentor philosophique d’Emmanuel Macron) et d’une exposition au Musée national de l’histoire de l’immigration (que dirige Benjamin Stora) ou encore d’un colloque sur les indépendances africaines.

Enfin, le rapport conseille de faire entrer au Panthéon, qui accueille les héros de l’Histoire de France, l’avocate et féministe Gisèle Halimi, « grande figure féminine d’opposition à la guerre d’Algérie », décédée le 28 juillet 2020.

Auparavant, un hommage solennel devrait lui être rendu aux Invalides au printemps, « quand les circonstances sanitaires le permettront », précise l’Élysée.

« Par la multiplication des gestes politiques et symboliques, on pourra de la sorte s’éloigner d’une mémoire devenue enfermement dans un passé, où se rejouent en permanence les conflits d’autrefois. Motif de discorde, la mémoire peut aussi se révéler puissance créatrice, face à ceux qui voudraient effacer les pages sombres du passé. Il faut donc trouver la ‘’juste mémoire’’, comme le dit le philosophe Paul Ricœur, entre les écueils de la répétition des guerres anciennes dans le présent, et celui de l’effacement de faits pouvant ouvrir à un négationnisme généralisé », conclut Benjamin Stora dans son rapport.

Par Adlène Meddi                                                                                                                https://www.middleeasteye.net/fr/actu-et-enquetes/france-algerie-histoire-benjamin-stora-rapport-repentance-colonisation                                                       

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♦ LISTE DE TOUS LES SÉNATEURS QUI ONT VOTÉ LE CONSENTEMENT SEXUEL À 13 ANS.

Publié le par S. Sellami

Ce qu’ils appellent « PROTECTION » c’est de toujours plus descendre vers l’enfance le Consentement sexuel afin de PROTEGER LES PEDOCRIMINELS.

 

http://senat.fr/scrutin-public/2020/scr2020-57.html

Publié le  par                                                         https://profidecatholica.com/2021/01/24/liste-de-tous-les-senateurs-qui-ont-vote-le-consentement-sexuel-a-13-ans/     

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♦Jack Lang, jusqu’à la nausée…

Publié le par S. Sellami

Il est merveilleux, ce  ! Il n’assume rien ! Quand, en pleine affaire l’excellente Sonia Mabrouk lui rappelle, au micro d’Europe 1, qu’il a signé une tribune « avec des grands noms mais aussi Gabriel Matzneff, pour décriminaliser les rapports sexuels avec les enfants », et qu’il ne l’a « jamais regretté », que répond-il ? « C’était une connerie », et il ajoute qu’il était, à l’époque, « porté par une sorte de vision libertaire… euh… fautive […]. » L’ambassadeur des élégances progressistes, habillé gracieusement durant des années par Smalto, va même faire un lapsus dont tous les copains lui seront à coup sûr reconnaissants : « Aujourd’hui, nous sommes en lutte les uns et les autres contre l’ et… les atteintes (sic) à la . »

En 2009, Antoine Compagnon, professeur au Collège de France, revenant sur le décret du 10 mai 1982 de Jack Lang qui remplaçait celui du 24 juillet 1959 d’André Malraux, reprocha au ministre de Mitterrand d’avoir dévalué l’idée même de culture en en faisant une sous-catégorie du culturel. Que répondit celui-ci ? « Selon moi, ce décret fut improvisé et rédigé entre deux portes ; je n’en suis pas particulièrement fier et je ne crois pas, d’ailleurs, à l’utilité de ces textes. » Inutile, cette pétition de 1977 ? Inutile, ce décret de 1982 ? Non, Monsieur le Ministre, ces textes ne sont pas inutiles, ils sont toxiques !

Avoir soutenu la décriminalisation de la pédophilie, « connerie ». Dont acte ! Avoir signé un décret démagogique dévaluant la culture, pas de quoi être « fier ». Dont acte ! De quoi est-elle donc fière, notre conscience culturelle nationale ? Le prix unique du livre, la fête de la Musique… On est fatigué de ces énumérations qui noient le poisson !

Plug anal place Vendôme, Vagin de la reine à Versailles, Scène géante de zoophilie devant le Centre PompidouChrist plongé dans un verre d’urine à Avignon, Scènes de masturbation tournant en boucle au CAPC de Bordeaux, la liste est longue. Qui a bien pu encourager « fièrement » toutes ces « conneries » ?

Aujourd’hui, on découvre que le plasticien Claude Lévêque fait l’objet d’une enquête préliminaire depuis le printemps 2019 pour « viols et agressions sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans ». Qui est ce Claude Lévêque ? Les deux Pneus de tracteur dorés à la feuille d’or et installés à l’Opéra Garnier en pleine crise des gilets jaunes, c’est lui. Le tapis dans le bureau d’ à l’Élysée, c’est encore lui. Les enseignes lumineuses, « Mon cul, ma vie, mes couilles »« Je suis une merde »« Ta gueule », c’est toujours lui.

Les collectionneurs et les conservateurs sont fort embarrassés. À l’Élysée, on s’inquiète de la « radioactivité » du fameux tapis. Dans son édition du 28 novembre 2019, Le Point nous apprenait qu’Emmanuel Macron, qui aurait voulu faire de la culture un levier social, se désespérait en ces termes : « Il me manque un Jack Lang ! »

Dans une lettre ouverte datée du 1er février 2019, je suggérais au président du Sénat qu’une commission d’enquête puisse se pencher sur l’histoire de ces pneus de tracteur installés à l’Opéra. Il ne s’agissait nullement que les parlementaires entrent dans je ne sais quel débat esthétique, mais qu’ils reprennent étape par étape le processus de décision depuis l’idée de fêter le 350e anniversaire de l’intégration de la danse dans l’Académie royale de musique jusqu’à l’établissement et au règlement des factures.

La question esthétique, sans qu’on ait eu à l’aborder, en eût été éclairée et, avec elle, la question plus générale de l’art contemporain. Les soupçons auraient été, bien entendu, à vérifier par la commission d’enquête dont les travaux auraient été retransmis par La Chaîne parlementaire. S’il n’y a plus de culture française, il y a toujours des citoyens français qui ont le droit de s’en effarer jusqu’à la nausée.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                               Jérôme Serri                                                                                                                                                                                                                                                                                          https://www.bvoltaire.fr/jack-lang-jusqua-la-nausee/?      

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♦Faut-il rendre la France à l’Algérie ?

Publié le par S. Sellami

Pour la petite histoire… parce que je n’ai rien à raconter sur la grande, qui m’a toujours parue dérisoire… Non, je ne vais pas me mettre à pleurer sous prétexte que ça déplairait au consistoire qui ne veut pas entendre parler du bétail comme d’un détail. Faille que faille, vaille que vaille, raille qui raille ! Je crois que je déraille… et que je vais finir par me retrouver sur la paille avec mes ouailles… aïe ! Aïe ! Aïe ! Pour la petite histoire… aucun élément d’aucun ensemble n’a jamais accepté d’être considéré comme un élément non essentiel… ciel, je suis essentielle ! L’extermination pour un juif, l’esclavage pour un noir, le colonialisme pour un algérien… Aucun des trois ne vous donne le droit de retoucher la grande histoire… sous peine d’avoir des histoires… que vous soyez révisionniste ou divisionniste, il ne faut pas plaisanter avec la sacro sainte mémoire. Devoir de mémoire… Macron vient de demander à Stora de revisiter la story de l’Algérie… en lui murmurant au creux de l’oreille : « tu ne chercherais pas si tu ne m’avais déjà trouvé ». Il prend Alexandre Benalla pour Ben Bella, le feu leader algérien. On ne peut pas l’accuser de ne pas vouloir s’excuser celui-là. Ou il est rusé ou il a quelque chose à se faire pardonner ? Ou peut être qu’il se dit qu’il va falloir un jour ou l’autre, rendre la France à l’Algérie ! Oui, j’ai bien dit l’Algérie. Parce que c’est le seul pays qui a vraiment les moyens de la racheter ou d’assurer son salut. Je ris ? Peut-être bien que oui… peut-être bien que non… comme tous les ressortissants algériens qui rient de tout et de rien, lorsqu’ils voient leurs enfants grandir en France et brandir le drapeau algérien… car ils ont tous natifs de ce mariage forcé entre France et Algérie et célébré en 1830. La France, c’est le père matrice, l’Algérie, c’est la mère patrie… ils n’ont jamais pu se passer l’une de l’autre même si le conflit a toujours fait leur lit, leur rapport a toujours été contre nature… chacun ou chacune se prend pour l’homme et prend l’autre pour sa femme… un combat d’avant-garde puisque aucun, aucune ne veut de la garde des enfants de l’autre… C’est Mabrouk qui écrit la chanson d’Enrico Macias : « j’ai quitté mon pays, j’ai quitté ma maison… » C’est bon, c’est bon ! Il faut se faire une raison depuis que les algériens lui ont ramené en bateau sa maison et l’ont installé à la Plaine Saint Denis en lui disant : « Aïcha ! Aïcha ! Ne t’en va pas… tu es ici, chez toi… » Cheb Mami l’a mieux décliné je crois avec son cœur au pays des merveilles… la France ou l’Algérie ? Désolée mais on ne peut pas l’obliger à choisir entre son mère et sa père… comme me l’a dit un enfant berbère qui s’efforce de parler français

   une info scénario

 #Algérie #Stora #Macron #France                                                                                                                                                                                                      ♦Faut-il rendre la France à l’Algérie ?

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♦ ISRAËL RECONNAÎT L’ORIGINE KHAZAR DES JUIFS ASHKÉNAZES

Publié le par S. Sellami

Le projet secret d’un « deuxième Israël » en Ukraine

Le rôle joué par les personnalités juives et l’État d’Israël dans la crise ukrainienne n’est pas passé inaperçu, sachant que cette communauté représente moins d’un pour cent de l’ensemble de la population. Cependant, l’administration Netanyahou a en sa possession un rapport confidentiel confirmant que les juifs ashkénazes ne sont pas originaires du Levant, mais sont les descendants des Khazars, ce peuple mal connu fondateur d’un empire juif au dixième siècle sur les rives de la mer Noire. Ceci explique pourquoi certains sionistes voient en l’Ukraine un possible second Israël.

                 le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk (Thetan opérant de niveau 6 au sein de l’Église de scientologie) en pleine discussion avec le mafieux Ihor Kolomoïsky, qu’il a nommé gouverneur de l’oblast de Dnipropetrovsk. Ce dernier est impliqué dans le massacre d’Odessa du 2 mai 2014 à la tête de sa propre armée, le bataillon Dnipro-1. Il s’est attaché les services de R. Hunter Biden (fils du vice-président états-unien Joe Biden) et de Devon Archer (président du Comité de soutien à la campagne présidentielle de l’actuel secrétaire d’État, John Kerry) en tant que membres du conseil d’administration de sa holding d’infrastructures gazières.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                      Le Times of Israel, journal israélien indépendant dont le comité de rédaction compte des anciens journalistes du quotidien Ha’aretz, a publié un papier passionnant qui n’a pourtant pas fait grand bruit. L’article en provenance de Jerusalem et Zhitomir, daté du 16 mars 2014 et écris par Hirsh Ostropoler et I. Z. Grosser-Spass, correspondants russes et ukrainiens du journal, fait mention d’un rapport confidentiel remis au gouvernement israélien [1]. Ce rapport, établi par un comité d’experts en histoire juive et reposant sur des sources universitaires,parvient à la conclusion que les juifs européens descendent en réalité des Khazars, peuple guerrier d’origine mongole et tatare ayant dominé l’Ukraine et la Russie méridionale et s’étant converti en masse au judaïsme au VIIIè siècle.

Les sionistes prétendent depuis longtemps que la terre revendiquée d’Israël revient de droit au peuple juif, que les conquêtes successives de différents empires ont évincé et dispersé, ce que l’on a appelé la diaspora. Apporter la preuve que les ashkénazes, qui forment l’essentiel de la population israélienne, ne sont pas historiquement liés à la Palestine remettrait en question le principe même d’Israël comme étant la patrie millénaire du peuple juif.

Les journalistes israéliens ont souligné que toute discussion entre Khazars et l’État d’Israël avait toujours été méprisée par les responsables israéliens. Ils citent ainsi le Premier ministre Golda Meir, qui aurait déclaré : « Khazar, Schmazar. Il n’y a pas de peuple khazar. Je ne connais pas de Khazars à Kiev. Ni à Milwaukee. Montrez-les moi, ces Khazars dont vous parlez. » Les preuves génétiques d’une population khazare migrante venue d’Europe et qui revendique aujourd’hui des origines ancestrales en Palestine disqualifient sérieusement les prétentions sionistes sur cette terre.

L’établissement du fait que les juifs d’Europe centrale et d’Europe de l’est n’ont pas de légitimité historique en ce qui concerne leurs revendications sur la Palestine a créé bien des remous en Israël et ailleurs. La Knesset se prépare à voter une loi présentée par le gouvernement faisant d’Israël une « nation » juive. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, après avoir lu le rapport confidentiel au sujet des Khazars, a déclaré qu’Israël était « l’État nation du peuple juif. » Les prétentions ashkénazes en Israël étant diminuées, pour ne pas dire plus, Netanyahou, ses amis du Likoud, ses alliés du parti orthodoxe juif comme les colons de Cisjordanie n’ont pas d’autre choix que de jouer la carte de la revendication nationaliste, non seulement pour Israël, mais aussi pour la Cisjordanie (ou « Judée-Samarie », comme l’appelle les nationalistes juifs).

Toutefois, certains juifs, en Israël comme ailleurs, ne souhaitent pas prendre de risques. Une des raisons principales pour qu’Ihor Kolomoïsky —le richissime magnat juif ukrainien et gouverneur de la province de Dnipropetrovsk, qui est aussi citoyen israélien et chypriote— dépense des dizaines de millions de dollars pour recruter des nationalistes ukrainiens de droite et des néo-nazis venus d’ailleurs en Europe pour combattre la majorité russophone de la région du Donbass en Ukraine orientale, c’est la peur de voir capoter le projet de transformation de l’Ukraine en « Israël-bis ». Les mesures de protection prises par la Russie vis-à-vis de la région du Donbass, tout comme son intégration à la Crimée par voie référendaire (cette région étant convoitée par les nationalistes khazars juifs renaissants) menacent la transformation de l’Ukraine en deuxième patrie pour les juifs ashkénazes qui, déjà, s’inquiètent au sujet de leur emprise sur la terre d’Israël.

Le papier retentissant du Times of Israel à propos des origines khazares des juifs ashkénazes a aussi mis en lumière qu’Israël, ayant conscience qu’un État palestinien est inévitable compte tenu des pressions européennes en ce sens, se prépare à déplacer ses colons ashkénazes de Cisjordanie en Ukraine. La recherche de pointe dans le domaine de la génétique en Israël a permis d’établir un lien direct entre les ashkénazes d’Israël et les Khazars qui se sont jadis dispersés en Europe de l’est et en Europe centrale après la conquête de l’empire khazar par la Russie au XIè siècle.

 

Les Israéliens et leurs alliés sionistes du monde entier ont toujours accusés les tenants du lien génétique entre ashkénazes et Khazars d’antisémitisme primaire. Cependant, les éléments de recherche génétique contenus dans le rapport confidentiel israélien ne font que confirmer ce qu’avait révélé l’historien juif Shlomo Sand dans son livre Comment le peuple juif fut inventé. Le concept de descendance khazare, lui, avait été pour la première fois évoquée en 1976 par l’historien hongrois Arthur Koestler dans son livre La Treizième tribu.

Les journalistes du Times of Israel relayent les révélations d’un assistant anonyme de Netanyahou au sujet des projets d’émigration israélienne vers l’Ukraine. « Nous avons d’abord pensé que reconnaître être des Khazars serait une façon pour nous de contrer l’inflexibilité d’Abbas (le président de l’autorité palestinienne) sur l’impossibilité d’une présence juive dans un État palestinien. Nous tentions sans doute ce faisant de nous raccrocher à ce que nous pouvions. Mais son incapacité à accepter la chose nous a poussés à chercher des solutions plus ingénieuses. L’invitation au retour des juifs en Ukraine fut une véritable aubaine. Mais le déplacement rapide de tous les colons d’Israël n’irait pas sans poser problème au niveau logistique et économique, et Il va de soi que nous ne souhaitons pas revivre une expulsions des colons semblable au plan de désengagement de Gaza. »

Ostropoler et Grosser-Spass rapportent aussi les propos d’une source israélienne anonyme selon laquelle « Il ne s’agit pas de renvoyer tous les ashkénazes en Ukraine. Cela n’est, de toute évidence, pas faisable. Comme souvent, les médias exagèrent et font dans le sensationnel… C’est bien pourquoi il faudrait une censure militaire. »

Le Projet conjoint d’Israël et de l’Ukraine consiste à déplacer les colons de Cisjordanie en République Autonome de Crimée (Russe), et ce après une éventuelle rétrocession de la péninsule à l’Ukraine, comme ils l’espèrent. Pour les sionistes ukrainiens comme Kolomoïsky, ou leurs alliés états-uniens tels que Victoria Nuland (secrétaire d’État adjointe, déléguée aux Affaires européennes et eurasiennes) et Geoffrey Pyatt (ambassadeur US en Ukraine), l’objectif ultime consiste à établir une région juive autonome en Crimée et à redonner à la péninsule son nom khazar d’origine, Chazerai. Comme les Tatars qui vivent aujourd’hui en Crimée, et ailleurs, sont en majorité musulmans, le projet de création d’une nation khazare en Ukraine reposerait aussi probablement sur un fort prosélytisme de la part des Israéliens et des Ukrainiens déterminés à réinstaurer la Khazarie comme alternative à l’État d’Israël. Le prosélytisme juif (qui se concentre actuellement sur les « crypto-juifs » métis catholiques au Mexique, les chrétiens, hindous et bouddhistes en Inde, les orthodoxes russes et les bouddhistes de Birobidjan en Sibérie, les musulmans du Pakistan et d’Afghanistan, les chrétiens, musulmans et animistes d’Ouganda, du Ghana, du Mali du Nigeria du Zimbabwe, du Mozambique et du Malawi et sur quelque groupes de descendants juifs supposés en Chine, à Sao Tomé-et-Principe, à Tahiti, au Suriname, au Vietnam, au Brésil et au Pérou) traduisent la volonté d’Israël de renforcer la présence juive dans un but de colonisation en dehors des territoires illégalement occupés que sont le Cisjordanie et le plateau du Golan. Outre l’Ukraine, le nord de l’Irak, l’est de la Libye, la ville d’Alexandrie en Égypte, certaines parties de la Turquie, la Patagonie en Argentine ainsi que l’Ouganda sont tous des territoires qui ont été envisagés comme colonies juives en remplacement ou en complément de la Cisjordanie. Les Bnei Menashe des États de Manipour et de Mizoram au nord-est de l’Inde, ces soi-disant « tribus perdues d’Israël », sont considérées par la majorité des Indiens, non comme des juifs, mais comme des migrants économiques à la recherche d’une vie meilleure en Israël. Les expansionnistes israéliens veulent tellement gonfler leurs rangs et développer leurs prétentions territoriales qu’ils ont fait réaliser des études génétiques douteuses en vue de classer comme « tribus perdue » d’Israël les Sorbes d’Allemagne de l’est, l’ethnie Bantou Lemba (au Zimbabwe, Malawi et Mozambique) et aussi certains Italiens du sud, certains Arméniens, et certains Grecs.

                      Carte de l’empire khazar au Xè siècle tirée du livre de Koestler.

Carte de l’empire khazar au Xè siècle tirée du livre de Koestler.

En Ukraine, ce prétendu « deuxième Israël », Kolomoïsky et le pouvoir de Kiev ont enrôlé des ex-membres des Forces de défense israéliennes dans leurs bataillons de volontaires, notamment le bataillon Azov. Une des unités israéliennes, commandée par un certain « Delta » est connue sous le nom des « Casques bleus de Maidan » [2]. Si Israël n’avait pas un intérêt direct à développer son influence en Ukraine, le pays pourrait facilement empêcher ces unités de se rendre sur place.

On trouve aussi en Cisjordanie des colons juifs sépharades qui sont les descendants des juifs Marranos d’Espagne sous domination musulmane, qui furent chassés de la péninsule ibérique au cours de l’inquisition espagnole et portugaise du XVè siècle et qui n’ont aucun lien avec les ashkénazes ou les khazars. Récemment, dans une démarche similaire à l’invitation des ashkénazes de Cisjordanie à venir s’installer en Ukraine, l’Espagne et le Portugal ont promulgué des lois permettant aux juifs sépharades du monde entier en mesure d’attester de leurs origines Marranos d’acquérir la nationalité dans les deux pays.

Certains russophones du Donbass en ont assez des intentions des pro-Israéliens au sein du gouvernement de Kiev. Curieusement, Kolomoïsky a fait appel à un certain nombre de néo-nazis d’Ukraine occidentale et d’Europe pour rejoindre les rangs de ses bataillons et il faut savoir que les organisations droitistes auxquelles ils appartiennent ont toujours défendu l’idée d’une « mêlée générale » opposant la Russie aux descendants des Khazars d’Israël, d’Ukraine, de Pologne et de Géorgie pour venger la victoire de l’Empire Russe sur l’empire khazar au XIè siècle.

Israël a mis à disposition du gouvernement géorgien de Mikheil Saakachvili (dont un certain nombre de représentants ont la double nationalité israélo-géorgienne et sont d’origine khazare) une aide au niveau militaire comme au niveau du renseignement dans la guerre de 2008 contre l’Ossétie du sud et L’Abkhazie. Les Israéliens ont également tissé des liens étroits avec l’Azerbaïdjan, pays qui, à l’instar de la Géorgie et de l’Ukraine, est historiquement lié à la Khazarie par le biais des Subbotniks, un groupe indigène de juifs azéris.

Les journalistes du Times of Israel racontent aussi pourquoi, selon l’assistant anonyme de Netanyahou, le gouvernement israélien s’efforce de mettre en place une implantation israélienne massive en Ukraine : « Comme l’a dit le Premier ministre, personne ne saurait dire aux juifs où ils doivent vivre en tant que peuple souverain. Il est prêt à faire d’importants sacrifices au nom de la paix, même si cela implique de renoncer à notre terre biblique de Judée-Samarie. Par contre, il faut s’attendre à ce que nous fassions valoir nos droits historiques ailleurs. Nous avons décidé que cela se ferait sur les rives de la mer Noire, là où nous fûmes un peuple autochtone pendant plus de 2 000 ans. L’historien non-sioniste Simon Dubnow lui-même a déclaré que nous étions en droit de coloniser la Crimée. Tous les livres d’histoire en parlent. Vous pouvez vérifier par vous-même. »

Cet anonyme a aussi révélé aux deux journalistes que Netanyahou avait beaucoup d’estime pour la vigueur des anciens Khazars et rapporte ces propos, qu’il aurait tenu : « Nous sommes un peuple ancien et fier dont l’histoire remonte à 4 000 ans. » Mais l’assistant ajoute : « On peut dire la même chose des Khazars… en Europe, mais pas sur une période aussi étendue. Mais jetez un œil à la carte : les Khazars n’ont pas eu à vivre dans les « frontières d’Auschwitz »….

Pour les personnes mal renseignées, dont font apparemment partie le président Barack Obama et son secrétaire d’État John Kerry, l’actuelle volonté de créer une nouvelle identité nationale israélienne est directement liée aux activités des dirigeants ukrainiens (Petro Porochenko, Arseni Iatseniouk, Ihor Kolomoïsky) et à celles de leurs soutiens états-uniens (Victoria Nuland et Geoffrey Pyatt), occupés à préparer une terre d’accueil, temporaire ou pas, pour les ashkénazes de Cisjordanie. Grâce aux révélations du Times of Israel au sujet du rapport confidentiel sur les Khazars et l’Israël contemporain, les manœuvres des États-uniens et de l’Union Européenne visant à déstabiliser l’Ukraine sont à présent on ne peut plus évidentes.

Wayne Madsen

Traduction : Erwann

[1] “Leaked report : Israel acknowledges Jews in fact Khazars ; Secret plan for reverse migration to Ukraine”, Jim Wald, The Times of Israel, March 16, 2014.

[2] « Des soldats israéliens étaient camouflés place Maidan », Réseau Voltaire, 3 mars 2014. Et « Le nouveau Gladio en Ukraine », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 18 mars 2014.

Source : http://www.voltairenet.org/article186319.html

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Affaire Duhamel: le directeur de Sciences Po était au courant des accusations d’inceste

Publié le par S. Sellami

«Je n’ai pas percuté. Je suis prêt à l’entendre et à en subir les conséquences». Crédits photo: CHARLES PLATIAU/AFP

Frédéric Mion a reconnu avoir été alerté par l’ancienne ministre Aurélie Filippetti. Les syndicats étudiants réclament sa démission.

 

          C’est un nouvel épisode dans l’affaire Duhamel, et il risque une nouvelle fois d’ébranler toute l’institution de Sciences Po Paris. Le directeur de la grande école parisienne, Frédéric Mion, était au courant depuis 2019 des accusations d’inceste dont le politologue Olivier Duhamel est accusé dans le livre de Camille Kouchner «La familia grande», révèle Le Monde dans un article publié hier soir. Il avait été mis au courant par l’ancienne ministre de la culture, Aurélie Filippetti, qui enseigne à Sciences Po depuis la rentrée 2017.

elle-ci, raconte Le Monde, avait appris par deux proches du politologue les abus dont le président de la Fondation nationale des sciences politiques (FNSP) se serait rendu coupable sur son beau-fils à la fin des années 1980. Elle décide alors d’informer Frédéric Mion. Ce dernier lui répond qu’il «ne peut pas faire grand-chose». Il consulte ensuite l’avocat Jean Veil, associé d’Olivier Duhamel, qui lui assure qu’il ne s’agit en fait uniquement de rumeurs. Malgré ces accusations, Olivier Duhamel garde donc la confiance de Frédéric Mion, qui lui confie même la leçon inaugurale de la rentrée 2020.

«Je n’ai pas percuté. Je suis prêt à l’entendre et à en subir les conséquences»

Lors des révélations sur cette affaire, lundi 4 janvier, le directeur de la grande école réagit dans une missive à l’adresse des étudiants. Il évoque sa «stupeur» d’apprendre ces «faits très graves» par «des articles de presse». Dans Le Monde, il admet finalement avoir été mis au courant et s’être «laissé berner». «C’est vrai, je n’ai pas réagi après avoir été contacté par cette enseignante. Je n’ai pas percuté. Je n’ai pas entendu ce que cette personne cherchait à me dire. J’aurais dû aller trouver Olivier Duhamel. C’était un devoir élémentaire», avoue-t-il. Et de conclure: «Je prends toute la responsabilité de ce manque de prudence, mais la faute s’arrête à moi. J’ai été inconséquent: je suis prêt à l’entendre et à en subir les conséquences».

«Il doit démissionner»

Dans un communiqué de presse publié ce matin, l’Unef Sciences Po a vivement réagi à ces dernières informations. «À deux reprises, il (Frédéric Mion) a consciemment menti à toute la communauté de Sciences Po. Nous vivons cette révélation comme une trahison. Il se dit prêt à en subir les conséquences, il doit démissionner», réclame l’organisation étudiante. La réaction est également sans détours du côté du syndicat étudiant Nova, pour qui la démission du directeur de Sciences Po est «indispensable (...) compte-tenu des révélations et du double-discours qu’il a entretenu».

Même stupéfaction du côté de l’UNI: «Tout d’abord, on nous dit que personne n’est au courant. Ensuite, le directeur avoue qu’il savait ces rumeurs. Que va-t-on encore apprendre? D’autres personnes de Sciences Po savaient-elles? Nous voulons que la lumière soit faite sur tout cela», réclame Côme Gojkovic, responsable de l’UNI à Sciences Po Paris.

Des étudiants manifestent devant Sciences Po

Ce matin, une petite cinquantaine d’étudiants se sont réunis devant l’établissement, rue Saint Guillaume, pour manifester. Ils ont arboré des pancartes réclamant la démission de Frédéric Mion. «Comment se sentir en sécurité dans notre institution quand ce genre d’affaire est couverte? Comment est-on censé avoir confiance?», s’exclamait notamment l’un des étudiants.

En début d’après-midi, ces mêmes étudiants ont publié une lettre sur les réseaux sociaux. Une missive dans laquelle ils déclarent avoir «honte» et réclament la démission de leur directeur. «Nous ne tolérons pas la moindre complaisance ni complicité avec les pédocriminels et les violeurs», écrivent-ils notamment.

Par Wally Bordas •                                                                                                                                 Affaire Duhamel: le directeur de Sciences Po était au courant des accusations d’inceste - Le Figaro Etudiant

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♦Il est important de souligner que la première phase d’ATEMI a été menée à bien. ATEMI est un mouvement ou une technique de combat qui consiste à détourner l’attention de l’adversaire.

Publié le par S. Sellami

♦Il est important de souligner que la première phase d'ATEMI a été menée à bien. ATEMI est un mouvement ou une technique de combat qui consiste à détourner l'attention de l'adversaire.

                                                                                                                                                                                                                                                                       Publié: 9 janvier 2021                                                                                               Editeur: Goran Krstić

Comme il y a eu de nombreuses questions dans le passé sur les raisons pour lesquelles nous n’écrivons pas abondamment sur ce qui se passe en Amérique, ou pourquoi nous n’entrons pas dans les détails des opérations de l’Alliance, il est important de savoir que nous devons sélectionner soigneusement les informations que nous publions. en ce qui concerne l’actualité, une attention particulière est portée au fait que les annonces elles-mêmes ne modifient pas le cours des événements ou certaines actions.

Il est important de souligner que la première phase d’ATEMI a été menée à bien .

Le nom de la première phase d’ATEMI est un terme tiré de l’art martial japonais de l’Aikido. ATEMI est un mouvement ou une technique de combat qui consiste à détourner l’attention de l’adversaire.

Dans le combat, un tel coup est donné afin d’attirer l’attention de l’adversaire, qui serait alors momentanément désorienté et concentré sur ce coup qui n’était pas attendu, ainsi l’autre camp gagne du temps et donne le coup final à l’adversaire.

C’est exactement ce qui est arrivé aux démocrates qui sont tombés dans le piège à la toute fin du combat.

Le but de cette phase était de créer une grande illusion si grande que les kabbalistes démocratiques ne se rendraient pas compte que tout cela était une illusion avant ce qui allait arriver.

L’Alliance, avec Trump et son administration, y est parvenu.

Lorsque Donald Trump est arrivé à la présidence, il avait pour tâche de démanteler et de détruire «l’État profond» de l’intérieur, qu’il a mis en œuvre avec succès.

Son mandat comprenait des tâches et des activités telles que:

  •  Résiliation des accords préjudiciables et des accords entre les États-Unis et d’autres pays,
  •  Retrait des États-Unis des organisations mondiales telles que l’Organisation mondiale du commerce, l’Organisation mondiale de la santé,
  • Sortie de l’accord de maîtrise des armements,
  • Arrêt du financement de l’OTAN,
  • Résiliation des traités et autres accords militaires entre les États-Unis et le Royaume-Uni afin que les États-Unis cessent d’être une société dirigée par le directeur – la reine Elizabeth II Windsor
  • Changement de politique étrangère au Moyen-Orient,
  • Rétablissement des relations diplomatiques entre la Corée du Nord et les États-Unis,
  • Changement de politique étrangère envers l’Europe et la Chine,
  • Fermeture de hotspots au Moyen-Orient,
  • Fermeture des bases militaires américaines dans le monde et retrait des troupes américaines du Moyen-Orient, du Kosovo, des pays européens, etc., aux États-Unis,
  • Établissez le contrôle de la Réserve fédérale et arrêtez d’imprimer des dollars sans couverture.
  • Trump a divisé l’armée et a ainsi empêché les démocrates de faire quoi que ce soit avec l’armée américaine lorsqu’ils sont arrivés au pouvoir.
  • De plus, Trump avait pour tâche de réconcilier les parties en conflit et d’éteindre les points chauds partout où les États-Unis sont intervenus et ont déclenché des guerres, laissant des dommages irréparables dans ces pays (Irak, Afghanistan, Libye, Syrie, Israël, etc.).

Au cours des quatre années de son mandat, Donald Trump a réussi ce que l’Alliance avait visé, qui était d’empêcher l’Amérique d’être un gendarme mondial, d’exercer une influence à travers les institutions mondiales et de s’immiscer dans les affaires intérieures d’un certain État souverain.
L’Amérique n’est plus ce qu’elle était et ne s’interrogera plus sur les enjeux mondiaux, sans inclure d’autres puissances comme la Russie, la Chine, l’Inde, la France, etc. Trump a donné le pouvoir économique aux États-Unis, mais en même temps, il a neutralisé son influence militaire dans le monde et a radicalement changé sa politique étrangère.

Il a formé des forces cosmiques et a ainsi ouvert la voie à des changements cardinaux au niveau mondial.
La chose la plus importante qu’il a faite pendant son mandat a été de lancer le protocole de la Déclaration sur l’existence d’autres civilisations et de divulguer la coopération des gouvernements américains avec d’autres civilisations qui ont eu lieu à travers l’histoire.

Ce que Trump a fait, c’est qu’il a réussi à effondrer l’État profond de l’intérieur et à laisser aux démocrates un GRAND RIEN. Lorsque les démocrates arriveront au pouvoir, ils ne comprendront que l’ampleur de ce que Trump a fait. Trump a neutralisé les leviers de pouvoir et d’influence militaire dans le monde à tel point qu’il faudrait aux kabbalistes démocratiques une dizaine d’années pour renouveler l’infrastructure de l’État profond comme elle l’était à l’époque de Barack Obama. En outre, plus important encore, l’Alliance a établi le contrôle de l’ensemble des armes nucléaires des États-Unis, c’est-à-dire qu’elle a accès à l’arsenal nucléaire de la même manière que le Président des États-Unis, et la position des kabbalistes démocratiques sera en outre neutralisée.

PHASE ATEMI

La phase ATEMI a signifié que Donald Trump a utilisé sa position présidentielle et ses pouvoirs afin de collecter le matériel compromettant nécessaire qui ne soutient pas les kabbalistes démocratiques pendant tout son mandat en coopération avec l’Alliance.

Trump savait que la kabbaliste démocrate Nancy Pelosi introduirait un nouveau logiciel pour les machines à voter du système du Dominion par l’intermédiaire de ses organisations, qui visait à manipuler le nombre de bulletins de vote et permettait délibérément aux kabbalistes démocrates de mettre en œuvre leur plan de vol lors de l’élection présidentielle.

Le but est que les kabbalistes démocratiques, en particulier ceux de haut rang tels que Nancy Pelosi, Adam Schiff, Mitt Romney, etc., commettent une grave infraction inconstitutionnelle, et c’est un vol de masse lors des élections présidentielles.

Il n’était pas du tout prévu que Donald Trump remporte cette élection présidentielle et obtienne un autre mandat de quatre ans, il était prévu d’entrer dans l’opposition et d’entraver l’ensemble du Parti démocrate de cette position. Les démocrates n’avaient pas cette conscience de ce que l’Alliance prévoyait réellement.

L’Alliance a réussi à créer une grande illusion à laquelle les démocrates ont cru, jusqu’au moment de la session du Sénat et du Congrès le 6 janvier 2021. quand les électeurs ont été confirmés, les démocrates ont réalisé qu’ils étaient tombés dans un piège.

Le soir des élections, toutes les preuves témoignant du vol massif des élections en Pennsylvanie, au Michigan, en Arizona, en Géorgie et au Wisconsin ont été recueillies avec succès. Cette action faisait partie de la phase ATEMI.

Dans la panique, les démocrates ont commis des omissions et des erreurs graves et cardinales et se sont enterrés encore plus.

Au cours de cette phase, Donald Trump a eu une rhétorique différente, créant une grande illusion supplémentaire à laquelle les kabbalistes démocratiques croyaient aveuglément.

Pendant ce temps, parallèlement à l’élection présidentielle, jusqu’à il y a quelques mois, la marine américaine (qui est également la branche militaire la plus influente de l’armée américaine) était entièrement du côté des démocrates et menaçait d’activer des dormeurs à travers le pays ainsi qu’Antifa pour déclencher des troubles civils. . En outre, elle a également menacé Trump et son administration de faire exploser le pays, ce qui entraînerait des conflits militaires internes, une guerre civile et la panique parmi les citoyens américains.

De cette manière, la marine américaine a fait chanter Trump afin de céder afin que les kabbalistes démocratiques puissent gagner pacifiquement le pouvoir.

Ce que l’US Navy ne savait pas, c’est que les amiraux de Trump ont infiltré son Conseil des amiraux. La marine américaine était sérieusement divisée, alors Trump a réussi à affaiblir considérablement la marine en croisant 1/3 de la marine américaine à ses côtés.

Il n’est donc pas étonnant qu’il y a deux semaines, le porte-avions USS NIMIC du Moyen-Orient, qui patrouillait jusqu’à présent près de l’Iran, ait reçu un ordre de retour aux États-Unis afin de protéger l’État et le président, puis cette décision a été rapidement annulée. Ce porte-avions est en fait toute une flottille qui a décidé de rentrer chez lui, c’est-à-dire aux États-Unis, et cette flottille représente 1/3 de la marine américaine qui s’est tournée vers Trump. L’USS NIMIC était censé retourner aux États-Unis en cas de scénario où Trump prendrait encore la présidence. Cependant, les circonstances étant différentes, la décision a été annulée et la flotte est restée au Moyen-Orient mais sans action opérationnelle.

Alors que la marine américaine menaçait ouvertement Trump d’activer des missiles nucléaires et de cibler des silos nucléaires aux États-Unis afin de permettre aux démocrates de gagner du temps et de quitter le pays au milieu du chaos, l’Alliance a demandé à la Fédération galactique d’accéder directement à son arsenal nucléaire. Les États-Unis, et qu’à l’avenir, ils auront un contrôle complet sur l’arsenal en disposant des intrants nécessaires pour le contrôle.

La Fédération a examiné la demande et a convenu que l’Alliance surveillerait et contrôlerait l’arsenal nucléaire et, si nécessaire, réagirait en entrant directement dans le système informatique central de contrôle des armes nucléaires et en interrompant l’activation des missiles nucléaires lancés par la marine américaine et les démocrates.

Sur cette base, l’Alliance a obtenu un accès direct au système informatique central de l’Agence américaine de sécurité nucléaire (de nombreux médias mondiaux ont écrit à ce sujet et ont blâmé les Russes pour avoir mené l’attaque des pirates informatiques). De plus, les forces nucléaires, sur ordre de Donald Trump, ont abaissé l’arsenal nucléaire restant dans les silos d’un autre étage sous le sol, c’est-à-dire sous les silos nucléaires, dans le but de ne pas s’activer en cas de frappe nucléaire rapprochée.

Ce qui est important, c’est que Trump a réussi à neutraliser complètement 90% de l’arsenal nucléaire qui se trouve sur les sous-marins américains. Après que l’Alliance ait reçu la permission de la Fédération de contrôler son arsenal nucléaire, Trump a publié une directive pour que tous les sous-marins nucléaires plongent et restent dans les profondeurs de l’océan, coupés de tout le monde, même de la partie de la marine américaine qui soutient les démocrates. De cette manière, les sous-marins ont été empêchés de lancer des missiles nucléaires à ces profondeurs.

Alors que la marine américaine coordonne les centres de formation et de programmation individuels ainsi que l’organisation Antifa, il y avait un grand danger que la marine, à la demande des démocrates, active toutes les traverses du pays, ce qui créerait un problème majeur pour l’administration Trump. . Donald Trump, en coopération avec l’Alliance, a permis aux forces spéciales russes d’entrer via Cuba depuis la base de Cienfuegos avec leurs canaux (individus qui ont la capacité de lire le champ d’énergie personnel ou le champ d’information morphique de quelqu’un) et dont la tâche est de localiser les traverses et d’être neutralisés par les forces spéciales américaines. Les forces spéciales russes avec leurs chaînes ont reçu la citoyenneté américaine temporaire afin de s’acquitter de la tâche sans entrave.

En outre, les forces spéciales ont travaillé à la localisation des dirigeants de l’organisation Antifa. L’organisation Antifa a été formée par les kabbalistes démocratiques et est financée par Hollywood, c’est-à-dire des magnats des médias influents, des acteurs et des réalisateurs hollywoodiens.

LA VICTOIRE DES DÉMOCRATES DE PYR

Ce qui s’est passé le 6 janvier 2021, lors de la session conjointe au Sénat et au Congrès pour la confirmation de l’électorat, était conforme au plan de l’Alliance lors de la finalisation de la phase ATEMI.

À ce moment-là, la possibilité d’aller à un autre tour de collecte de matériel supplémentaire qui témoignerait du vol massif des élections présidentielles était à l’étude. À savoir, le plan initial était pour le vice-président américain Mike Pence, qui présidait la session conjointe du Sénat et du Congrès à l’époque, de prendre en compte les plaintes des sénateurs concernant la manipulation des résultats de l’élection présidentielle et de renvoyer les électeurs douteux dans les États pour réexamen. irrégularités cardinales (Pennsylvanie, Géorgie, Michigan, Wisconsin, Arizona). Cela conduirait à un autre cycle de collecte de preuves supplémentaires sur le vol de masse, et les démocrates feraient des omissions et des erreurs supplémentaires.

Cependant, une partie de la marine américaine a fait chanter Trump en informant l’Alliance et lui que Washington était miné, c’est-à-dire que des explosifs étaient placés dans des endroits clés et stratégiques tels que l’approvisionnement central en eau, les institutions et les bâtiments résidentiels qui s’effondreraient lorsque les explosifs seraient activés.

Les démocrates étaient convaincus de l’illusion que Donald Trump veut à tout prix rester président des États-Unis et prolonger son mandat.

Donald Trump a alors informé le vice-président Mike Pence juste avant le début de la session conjointe du Sénat et du Congrès de laisser partir les démocrates, afin que Pence n’accepte pas les plaintes du sénateur concernant les manipulations lors des élections présidentielles et confirme tous les électeurs.

Mike Pence a ensuite informé tous les sénateurs, membres du Congrès et kabbalistes démocrates présents avant la session conjointe avec ces mots:

« Le président Donald Trump vient de m’ordonner d’introniser le candidat Joe Biden, la balle est dans votre cour maintenant triste Commençons! »

L’essence du message aux démocrates est que ce n’est pas la fin mais seulement le début.

Puis les démocrates se sont rendu compte qu’ils étaient tombés dans un piège et que tout ce que Trump et l’Alliance faisaient entre-temps était une grande illusion et ATEMI-DÉTERMINATION de l’attention du plan essentiel, et c’est la deuxième phase – Valeria, c’est-à-dire le début d’un compromis ouvert. sur les fonctions et pleinement exposé aux attaques publiques.

Ce qui n’était pas prévu, c’est l’intrusion des manifestants dans le Sénat et le Congrès.

À savoir, des membres d’Antifa se sont infiltrés parmi les partisans de Trump afin d’accélérer la session et la confirmation de l’électorat, ils ont incité à des émeutes devant la Chambre des représentants, mais les partisans de Trump ont réalisé qu’ils étaient des individus d’Antifa et se sont affrontés avec eux. Les membres du service de renseignement américain faisant également partie des partisans de Trump, ils ont été chargés de pousser la masse des citoyens et de s’introduire par effraction dans les locaux de la Chambre des représentants afin d’arrêter temporairement la session conjointe du Sénat et du Congrès.

TRUMP STORM

Après la finalisation de la première phase d’ATEMI, les démocrates se sont rendu compte qu’ils se trouvaient dans une position extrêmement difficile. À savoir, pendant toute la durée du mandat de Trump, l’Alliance a mis en place l’infrastructure nécessaire en parallèle, comme une nouvelle maison de médias qui a reçu une fréquence nationale, des réseaux sociaux alternatifs et d’autres infrastructures qui permettront à Trump de compromettre ouvertement les démocrates en coopération avec l’Alliance. sera alors au bureau exécutif.

En tant que président, Donald Trump ne doit pas dépasser ses pouvoirs présidentiels, tels que la divulgation de documents compromettants et l’arrestation ouvertement de l’opposition ou du Parti démocrate pendant qu’il est président.

Aux yeux du public américain et du monde entier, il serait un dictateur qui abuserait de ses pouvoirs pour s’imposer à tout prix en tant que président. Il est toujours plus difficile de se défendre que d’attaquer quand on est complètement exposé, c’est pourquoi les démocrates ont constamment attaqué en tant qu’opposition et ont entravé le travail de la présidence Trump.

La phase suivante – Valeria – est l’activation des médias alternatifs, des réseaux sociaux et la publication de documents compromettants sur le vol électoral et les activités criminelles de Nancy Pelosi, Joe Biden, Kamala Harris, etc.

Les démocrates paniquent désormais car ils sont dans une position difficile.

Le président intronisé Joe Biden est dans un état de santé grave et a la forme de la maladie d’Alzheimer, il ne sera donc pas en mesure de diriger l’administration.

En cas de décès, le vice-président Kamala Harris ne pourra pas reprendre les pouvoirs présidentiels et présenter l’intégralité du mandat, considérant que la Bible maçonnique sur laquelle les maçons ou les kabbalistes prêtent serment ne prévoit ni n’autorise une femme à être présidente des États-Unis.

Ce serait un cercle fermé, car encore une fois, au cas où quelque chose arriverait au vice-président, selon la Constitution américaine, les pouvoirs présidentiels seraient repris par le président du Congrès, et c’est Nancy Pelosi en ce moment.

Nancy Pelosi, chef des démocrates et présidente du Congrès, a eu deux accidents vasculaires cérébraux, qui ont également développé la maladie d’Alzheimer.Elle ne pourra donc pas terminer le mandat de présidente du Congrès, car son état de santé se détériore rapidement.

Ce que l’Alliance prévoit avec Trump et ses généraux, c’est de commencer à publier des documents compromettants après l’intronisation de Joe Biden et Kamala Harris, après quoi les démocrates au pouvoir seront pleinement exposés et seront attaqués par le public américain et le monde, le soi-disant nouveau Watergate. Le peuple américain sera furieux et exigera la destitution du parti au pouvoir. Après cela, le Parti démocrate, les médias américains et les réseaux sociaux perdront définitivement la confiance et le soutien du public américain, de sorte qu’ils ne se remettront jamais.

Au vu de tout cela, l’épilogue serait la démission du vice-président Kamala Harris (en cas de décès prématuré de Biden) et la convocation de nouvelles élections présidentielles, qui cette fois seraient remportées sans heurts par Donald Trump et ainsi introniser la présidence et poursuivre les réformes pour changer le système. des pays.

Posté dans: Presse Indépendante                                                                                                                                                                                                             Il est important de souligner que la première phase d’ATEMI a été menée à bien. ATEMI est un mouvement ou une technique de combat qui consiste à détourner l’attention de l’adversaire. » BeesBuzz Social Networking Community

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