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Cash investigation - Affaire Sarkozy/Kadhafi : Soupçons sur des millions

Publié le par S. Sellami

Cash investigation - Affaire Sarkozy/Kadhafi : Soupçons sur des millions

La rédaction de Cash s’est plongée dans une histoire de cash, d’argent liquide, de valises de billets qui auraient alimenté une campagne présidentielle française.

Au cœur de ce dossier : Nicolas Sarkozy, récemment mis examen par trois juges du pôle financier pour « corruption passive, financement illégal de campagne électorale et recel de détournements de fonds publics libyens ». Mouammar Kadhafi, l’ex-dictateur libyen, a-t-il financé la campagne du candidat de l’UMP en 2007 ? Scandale d’Etat ou « allégation folle » comme le déclare l’ancien Président de la République ?
Pendant un an et demi, le journaliste Nicolas Vescovacci a enquêté sur ce dossier tentaculaire où se mêleraient raison d’Etat, intérêts personnels, petites mains et grosses valises de cash. Dans cette affaire, certains témoins parlent pour la première fois. Vous allez notamment comprendre comment l’un des plus proches collaborateurs de l’ex-chef d’Etat est soupçonné d’être au cœur d’un montage financier sophistiqué impliquant un fonds d’investissement libyen. 
De la Libye à l’Afrique du Sud, des palais de la République à l’ancien bunker de Kadhafi, Elise Lucet et son équipe sont parties sur la trace de deux mystérieux intermédiaires qui œuvrent dans l’ombre pour le compte de politiques français. Mardi 22 mai, révélations sur le train de vie de certains fidèles de Nicolas Sarkozy. 
Après la diffusion du documentaire, Elise Lucet recevra sur le plateau de Cash les témoins et les experts de cette affaire. 

Présenté par Elise Lucet 
France 2

Cash investigation - Affaire Sarkozy/Kadhafi : Soupçons sur des millions

La rédaction de Cash s’est plongée dans une histoire de cash, d’argent liquide, de valises de billets qui auraient alimenté une campagne présidentielle française. Au cœur de ce dossier : Nicolas Sarkozy, récemment mis examen par trois juges du pôle financier pour « corruption passive, financement illégal de campagne électorale et recel de détournements de fonds publics libyens ». Mouammar Kadhafi, l’ex-dictateur libyen, a-t-il financé la campagne du candidat de l’UMP en 2007 ? Scandale d’Etat ou « allégation folle » comme le déclare l’ancien Président de la République ? Pendant un an et demi, le journaliste Nicolas Vescovacci a enquêté sur ce dossier tentaculaire où se mêleraient raison d’Etat, intérêts personnels, petites mains et grosses valises de cash. Dans cette affaire, certains témoins parlent pour la première fois. Vous allez notamment comprendre comment l’un des plus proches collaborateurs de l’ex-chef d’Etat est soupçonné d’être au cœur d’un montage financier sophistiqué impliquant un fonds d’investissement libyen. De la Libye à l’Afrique du Sud, des palais de la République à l’ancien bunker de Kadhafi, Elise Lucet et son équipe sont parties sur la trace de deux mystérieux intermédiaires qui œuvrent dans l’ombre pour le compte de politiques français. Mardi 22 mai, révélations sur le train de vie de certains fidèles de Nicolas Sarkozy. Après la diffusion du documentaire, Elise Lucet recevra sur le plateau de Cash les témoins et les experts de cette affaire. Présenté par Elise Lucet France 2 #cashinvestigation

Publiée par Arma 16 sur mardi 29 mai 2018
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Raoul Hedebouw, le député fédéral demande l'éxpulsion de Simona Frankel, ambassadrice d'Israël

Publié le par S. Sellami

Un député belge demande au gouvernement Expulsion de Simona Frankel, ambassadrice d'Israël sur sa déclaration sur RTBF Info

Raoul Hedebouw, le député fédéral et porte-parole national du PTB demande au gouvernement Expulsion de Simona Frankel, ambassadrice d'Israël sur sa déclaration sur RTBF Info

Publiée par Mermez sur dimanche 20 mai 2018
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Les 7 péchés capitaux de la hasbara sioniste

Publié le par S. Sellami

Marc Lamont Hills’attache ici à rétablir la vérité sur 7 mythes qui servent souvent d’arguments aux partisans de l’entité sioniste.

Un pense-bête utile pour tous ceux qui ont à cœur la cause de la Palestine

7 mythes sur le conflit israélo-palestinien

Par Marc Lamont Hill, The Huffington Post (USA) 17 mai 2018 traduit de l’anglais par Djazaïri

 

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Mark Lamont Hill

Lundi, un jour avant le 70e anniversaire de la fondation d’Israël, l’administration Trump a tenu sa promesse de déplacer l’ambassade des Etats Unis à Jérusalem . Cet événement a été suivi par des manifestations palestiniennes en Cisjordanie et à Gaza, les soldats israéliens tuant plus de 50 Palestiniens, y compris des enfants, et en blessant plus de 1.000 autres. Depuis lors, les débats font rage entre les experts, les décideurs et les citoyens ordinaires au sujet du conflit entre Israël et la Palestine. Malheureusement, beaucoup de ces discussions mobilisent les mêmes points de discussion périmés et problématiques. Voici sept des plus dommageables :

  1. Ces gens se battent depuis toujours.

C’est un des arguments les plus souvent répétés et inexacts sur le conflit. La vérité est que les Arabes et les Juifs ne se battent pas depuis toujours. Au contraire, on peut dater la confrontation à la fin du 19ème siècle ou, plus précisément, au début de la période du mandat britannique après la Première Guerre mondiale. En plus d’être historiquement inexacte, une telle affirmation pose le problème comme étant quelque chose d’insoluble et d’inextricable, en plus de renforcer les vieilles idées sur les Arabes qui seraient barbares et fondamentalement violents.

  1. C’est un conflit religieux

Cela aussi est inexact. Les Palestiniens ne sont pas un monolithe religieux. Bien que majoritairement musulmane, la communauté palestinienne a toujours compris des musulmans, des chrétiens et des juifs. En outre, avant la colonisation sioniste à la fin de l’Empire ottoman, la diversité religieuse était une caractéristique de la Palestine historique. Même après le début de l’immigration juive, les colons sionistes étaient principalement laïques [au sens de non pratiquants ou non particulièrement engagés dans l’action religieuse NdT], tout comme les indigènes palestiniens.

Mais ce n’est pas seulement une question d’exactitude historique. En définissant le conflit comme religieux, nous sommes incités à le considérer comme une querelle intestine entre deux partis tout aussi fervents qui sont en possession de textes religieux concurrents ou d’interprétations scripturaires divergentes. Pour le dire simplement, cela ne concerne pas la religion. Il s’agit de vols de terres, d’expulsions et de nettoyage ethnique par des colons étrangers sur des terres indigènes.

  1. C’est très compliqué.

D’une certaine manière, le problème est en effet compliqué. Après plus d’un siècle de conflit, il y a certainement beaucoup de subtilités autour des diverses, revendications de la vérité, politiques et solutions. Trop souvent, cependant, l’affirmation que « c’est compliqué » sert d’excuse pour éluder une réalité très simple : il s’agit de 70 ans de lutte d’un peuple qui a été expulsé, assassiné, volé, emprisonné et occupé. Bien qu’il y ait certainement un besoin de traiter les points les plus subtils du conflit, nous ne devons jamais perdre de vue ce point fondamental et d’une grande simplicité.

  1. Les Palestiniens persistent à refuser des offres équitables.

Cet argument présume à tort que tout accord qui inclut le partage de terres volées avec les victimes de ce vol pourrait être équitable. Mais même en termes relatifs et pragmatiques, ce n’est pas vrai. Repensez à la proposition disproportionnée de partage des Nations Unies de 1947 qui accordait 55% de la terre à la population juive, alors même qu’elle ne représentait que 33% de la population et possédait 7% de la terre. Ou regardez les négociations de 2008 entre le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, et l’ancien Premier ministre israélien, Ehud Olmert, qui ne permettaient pas l’établissement d’un territoire palestinien contigu ni un véritable règlement de la dispute sur Jérusalem. Les Palestiniens ne se sont jamais vu offrir un accord qui permette un Etat véritablement indépendant, fertile, viable et sûr.

  1. Les Palestiniens ne veulent pas la paix

Cet argument joue sur les récits orientalistes qui représentent les Arabes comme étant intrinsèquement violents, irrationnels, prémodernes et indignes de la démocratie ou de la diplomatie occidentale. L’argument blâme également les Palestiniens pour avoir résisté à la brutalité de l’occupation et de la répression. Les personnes sous occupation ont le droit légal et moral de se défendre. Leur demander de ne pas résister c’est leur demander de mourir en silence. Les Palestiniens veulent la paix. Mais la justice est toujours une condition préalable de la paix.

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A l’image de ce jeune qui joue de la guitare sur les ruines de sa maison à Gaza, le peuple palestinien est un peuple résilient

  1. Israël a le droit d’exister !

Cette revendication est un produit de la hasbara, ou propagande, américaine et israélienne. Premièrement, cet argument n’est mobilisé que de manière rhétorique par rapport à Israël, par opposition à la Palestine ou à pratiquement tous les autres États-nations. Après tout, personne ne demande systématiquement qu’Israël et ses soutiens reconnaissent le «droit à l’existence» de la Palestine en tant qu’idée abstraite, espace physique ou nation indépendante. Plus important encore, cependant, cette revendication obscurcit une vérité plus fondamentale : aucun pays n’a le droit d’exister, seuls les peuples ont ce droit. En naturalisant l’idée que les États-nations ont un « droit d’exister », nous réduisons notre capacité à proposer une critique morale de l’histoire de son origine par Israël (ou de toute colonie).

Si un pays a un droit naturel d’exister, il est plus difficile de contester les moyens par lesquels ce pays obtient des terres, comment il interagit avec les populations autochtones ou respecte la règle de droit au niveau international et national. Après tout, il avait le droit d’exister, n’est-ce pas ? L’argument du «droit d’exister» réifie aussi l’État-nation, faisant oublier son émergence relativement récente en tant que construction politique imaginaire. En d’autres termes, l’idée des nations et du nationalisme est relativement nouvelle. (C’est pourquoi l’ensemble de l’argument « il n’y a jamais eu un pays appelé Palestine » est à la fois anhistorique et malhonnête). Cet argument limite également notre capacité à imaginer le monde selon des termes différents et des formations politiques différentes, y compris la reconstitution de la Palestine historique (ou Israël contemporain) comme une démocratie unique pour TOUS les citoyens, sans distinction de race, classe, sexe ou religion.

  1. Vous êtes antisémite !

L’antisémitisme est un phénomène bien réel dans le monde entier. Et nous devons être vigilants pour traiter et détruire l’antisémitisme partout où il se manifeste. Trop souvent, cependant, cette allégation est dirigée contre quiconque critique ou proteste contre les pratiques de l’État-nation israélien.

Dans ces conditions, les allégations d’antisémitisme ne sont plus guère qu’une réaction de défense destinée à stopper la discussion. Plus important encore, c’est un élément clef de la stratégie sioniste : assimiler le judaïsme au sionisme  et à l’État israélien lui-même . Dans cette logique, critiquer Israël, c’est critiquer le judaïsme. De tels arguments ignorent également le fait que la tradition juive est une de celles qui prônent la justice et l’équité, et ses principes sont en opposition fondamentale avec les actions du gouvernement israélien.

Espérons que nous pourrons dépasser ces arguments et aller vers des discussions plus profondes et plus nuancées sur la construction de la paix, de la justice et de la liberté dans la région.

 

Marc Lamont Hill est titulaire de la chaire Steve Charles de Media, Cities and Solutions à la Temple University, commentateur politique sur CNN et ancien animateur de HuffPost Live.

https://mounadil.wordpress.com/2018/05/19/les-7-peches-capitaux-de-la-hasbara-sioniste/

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Nouveau scandale : Le procureur général de New York démissionne !

Publié le par S. Sellami

« Cette nouvelle accusation qui fait chuter le procureur de New York nous fait poser une question importante : qui est normal aux États-Unis, qui dans cette élite ne prend pas de drogue, ne fréquente pas les prostituées et ne frappe pas ses compagnes ? Il s’agit tout de même du procureur, celui qui dépose ou accepte la plainte ; il représente la loi ! »

LLP, le 8 mai 2018

REUTERS/Brendan McDermid/File Photo

« Le procureur général de New York démissionne. Eric Schneiderman, héros de la lutte contre les agressions sexuelles et champion du droit des femmes, a pris sa décision après la parution du témoignage accablant de quatre de ses anciennes compagnes, qui l’accusent de graves violences. Le procureur nie les faits, mais a remis sa démission quelques heures après la publication de l’enquête.

Lorsque le New York Times et le New Yorker ont obtenu le prix Pulitzer pour leurs révélations sur Harvey Weinstein, le prédateur sexuel d’Hollywood, Eric Schneiderman, avait salué sur Twitter le courage des femmes qui « osent dénoncer les agissements des hommes de pouvoir ».

Un mois plus tard, c’est justement l’enquête minutieuse du New Yorker qui a précipité la chute du procureur. Dans un long article publié lundi 7 mai 2018, le journal livre l’insupportable témoignage de quatre anciennes compagnes du procureur.

Elles racontent, certificats médicaux à l’appui, avoir fréquemment reçu des gifles violentes, subi des étranglements, des insultes, des crachats et disent avoir été menacées.

« Le prochain sera Schneiderman. Attendez de voir, il est pire que les autres »

« Je suis la loi », aurait lancé Eric Schneiderman à l’une d’entre elles qui tentait de protester. Terrorisées, aucune des femmes n’a porté plainte au moment des faits.

Les agissements du procureur semblaient être connus dans le microcosme new-yorkais. En 2013, après la démission de deux élus démocrates impliqués des scandales sexuels, un certain Donald Trump avait tweeté : « Le prochain sera Schneiderman. Attendez de voir, il est pire que les autres. » …

Le président devrait se réjouir de la chute du procureur ; Eric Schneiderman a activement coopéré avec l’équipe de Robert Mueller dans le cadre de l’enquête sur les ingérences russes ».

RFI, le 8 mai 2018

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2018/05/08/nouveau-scandale-le-procureur-general-de-new-york-demissionne/

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Nouveau scandale : Le procureur général de New York démissionne !

Publié le par S. Sellami

« Cette nouvelle accusation qui fait chuter le procureur de New York nous fait poser une question importante : qui est normal aux États-Unis, qui dans cette élite ne prend pas de drogue, ne fréquente pas les prostituées et ne frappe pas ses compagnes ? Il s’agit tout de même du procureur, celui qui dépose ou accepte la plainte ; il représente la loi ! »

LLP, le 8 mai 2018

REUTERS/Brendan McDermid/File Photo

« Le procureur général de New York démissionne. Eric Schneiderman, héros de la lutte contre les agressions sexuelles et champion du droit des femmes, a pris sa décision après la parution du témoignage accablant de quatre de ses anciennes compagnes, qui l’accusent de graves violences. Le procureur nie les faits, mais a remis sa démission quelques heures après la publication de l’enquête.

Lorsque le New York Times et le New Yorker ont obtenu le prix Pulitzer pour leurs révélations sur Harvey Weinstein, le prédateur sexuel d’Hollywood, Eric Schneiderman, avait salué sur Twitter le courage des femmes qui « osent dénoncer les agissements des hommes de pouvoir ».

Un mois plus tard, c’est justement l’enquête minutieuse du New Yorker qui a précipité la chute du procureur. Dans un long article publié lundi 7 mai 2018, le journal livre l’insupportable témoignage de quatre anciennes compagnes du procureur.

Elles racontent, certificats médicaux à l’appui, avoir fréquemment reçu des gifles violentes, subi des étranglements, des insultes, des crachats et disent avoir été menacées.

« Le prochain sera Schneiderman. Attendez de voir, il est pire que les autres »

« Je suis la loi », aurait lancé Eric Schneiderman à l’une d’entre elles qui tentait de protester. Terrorisées, aucune des femmes n’a porté plainte au moment des faits.

Les agissements du procureur semblaient être connus dans le microcosme new-yorkais. En 2013, après la démission de deux élus démocrates impliqués des scandales sexuels, un certain Donald Trump avait tweeté : « Le prochain sera Schneiderman. Attendez de voir, il est pire que les autres. » …

Le président devrait se réjouir de la chute du procureur ; Eric Schneiderman a activement coopéré avec l’équipe de Robert Mueller dans le cadre de l’enquête sur les ingérences russes ».

RFI, le 8 mai 2018

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2018/05/08/nouveau-scandale-le-procureur-general-de-new-york-demissionne/

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Donald Trump, l’accord sur le nucléaire iranien et l’argent

Publié le par S. Sellami

On saura bientôt, le 12 mai en principe, si Donald Trump dénonce l’accord sur le nucléaire iranien qui engage les Etats Unis mais aussi la Chine, Russie, le Royaume Uni, l’Allemagne, la France et l’Union Européenne. Un accord multilatéral donc, dont la dénonciation unilatérale décrédibiliserait les Etats Unis.

A moins évidemment que les autres puissances occidentales finissent par se rallier à leur parrain étatsunien en dénonçant à leur tour l’accord. Les signaux envoyés pour l’instant sont mitigés puisque le président français Emmanuel Macron, chargé de porter la voix de l’UEen plus de celle de la France lors de sa dernière visite à Washington a quand même parlé de discuter d’un nouvel accord, une proposition qui a fâché tout net le gouvernement iranien.  

Résultat de recherche d'images pour "accord nucléaire iran"Signé le 14 juillet 2015, l’accord sur le nucléaire iranien n’engage pas que les Etats Unis

 

Un des arguments avancés par le président Donald Trump pour critiquer l’accord avec l’Iran consiste à insister sur les dépenses occasionnées aux finances américaines avec plus de 150 milliards de dollars qui seraient passés des caisses du Trésor fédéral à celles du trésor public iranien.

Un argument de poids pour un homme d’affaires comme Donald Trump.

Et aussi pour ceux qui soutiennent le régime sioniste et rêvent de faire de l‘Iran une république bananière à défaut de vitrifier ce pays. Ces gens sont évidemment peu scupuleux du droit, à la différence des Iraniens comme on le constatera encore dans cette affaire.

Ce sont ces gens sans scrupules qui sont en réalité à la manœuvredans les couloirs de la Maison Blanche où Trump est désormais leur prisonnier en dépit de quelques manifestations de volonté propre comme quand il a désavoué Nikki Haley, sa représentante à l’ONU qui avait annoncé un nouveau train de sanctions contre la Russie.

Nikki Haley a cependant entrepris de faire payer au président l’outrage subi.

 

Associated Press (USA) 24, avril 2018 traduit de l’anglais par Djazaïri

Washington – Le président Donald Trump aime à raconter que les Etats-Unis ont versé des milliards de dollars à l’Iran dans le cadre de l’accord multilatéral qui gèle son programme nucléaire et assouplit les sanctions contre ce pays. Ce qu’il ne dit pas, c’est que la plus grande partie de cet argent appartenait à l’Iran. Le reste se rapporte à une vieille dette que les États-Unis avaient envers l’Iran.

Les chiffres et quelques détails changent dans son récit – qui remonte à la campagne électorale de 2016 – mais la chute est toujours le même : l’administration Obama a été bernée pour donner à l’Iran tout cet argent, dont une partie versée en cachette en énormes sommes d’argent liquide.

La dernière itération de cette affirmation mardi dernier et la réalité qui est derrière elle :

TRUMP: « L’accord avec l’Iran est une affaire terrible. Nous avons payé 150 milliards de dollars. Nous avons donné 1,8 milliard de dollars en liquide, de l’argent, des barils d’argent. C’est insensé. C’est ridicule.  Cet accord n’aurait jamais dû être. Mais nous allons en parler.  » – propos tenus avant une rencontre avec le président français Emmanuel Macron. Lors d’une conférence de presse mardi, il a parlé de « leur donner, à l’Iran, 150 milliards de dollars à un moment donné »

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LES FAITS: Il n’y a pas eu de versement de 150 milliards de dollars de la part du Trésor américain. L’argent dont il parle consiste en des avoirs iraniens détenus à l’étranger qui avaient été gelés jusqu’à ce que l’accord soit conclu et Téhéran a alors été autorisé à accéder à ses fonds.

Le versement d’environ 1,8 milliard de dollars est une question distincte. La chose remonte aux années 1970, lorsque l’Iran avait payé 400 millions de dollars aux Etats Unis pour du matériel militaire qui n’a jamais été livré parce que le régime [impérial] avait été renversé et que les relations diplomatiques avaient été rompues.

C e qui avait laissé des gens, des entreprises et les gouvernements de chaque pays endettés à des partenaires dans l’autre, et il a fallu des dizaines d’années de tribunaux et d’arbitrages pour traiter des réclamations complexes. Pour sa part, l’Iran a versé plus de 2,5 milliards de dollars à des citoyens et des entreprises américains.

Le lendemain de la mise en œuvre de l’accord nucléaire, les États-Unis et l’Iran ont annoncé qu’ils avaient réglé la réclamation relative à la commande d’équipement militaire des années 1970, les États-Unis acceptant de payer 400 millions de dollars avec environ 1,3 milliard de dollars d’intérêts. Les 400 millions de dollars ont été versés en espèces et transportés à Téhéran à bord d’un avion-cargo, ce qui a donné lieu aux récits spectaculaires de Trump sur l’argent contenu dans des barils ou des caisses et livré en pleine nuit. L’arrangement prévoyait un paiement ultérieur des intérêts, autrement qu’entassés dans des conteneurs.

https://mounadil.wordpress.com/2018/05/06/donald-trump-laccord-sur-le-nucleaire-iranien-et-largent/

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INTERVIEW – NACER DJABI : « LE SYSTÈME ALGÉRIEN CRAINT LES CONSÉQUENCES POLITIQUES DES GRÈVES »

Publié le par S. Sellami

                                                                        http://www.middleeasteye.net

Les syndicats de l’éducation et de la santé font monter la pression face à un système qui refuse de les considérer comme de véritables partenaires sociaux. Pour le sociologue, ils sont pourtant les seuls moteurs effectifs de la société

Manifestation des médecins résidents devant la Grande Poste à Alger, le 12 février 2018 (AFP)
1 mai 2018
 
 

ALGER – En Algérie, les syndicats autonomes ont dénoncé dimanche la volonté du gouvernement d’« entraver » leur action, après la publication d’une liste officielle de dix-sept organisations syndicales « représentatives » sur 65, seules habilitées à agir comme partenaires sociaux. Les syndicats jugés non-représentatifs n’ont plus le droit de lancer de mouvement de grève ou de participer à des négociations avec l’employeur, mais ils ont la possibilité de régulariser leur situation.

Aucun syndicat du secteur de l’éducation ne figure parmi les organisations considérées comme « représentatives », alors que le gouvernement a été récemment confronté à des grèves dans le secteur qui ont duré plusieurs semaines.

Cette décision intervient également dans un contexte de tensions alors que le bras de fer entre les autorités et les médecins résidents se durcit : refusant toutes nouvelles négociations avec le ministère de la Santé, les grévistes, qui exigent la révision du service civil obligatoire, ont décidé cette semaine de ne plus assurer les gardes de nuit. La situation dans les hôpitaux algériens, déjà assez précaire, est devenue critique.

 

Collectif Autonome Médecins Résidents Algériens@camra_2017
 

Posté sur 
À propos de l’arret de  aux CHU, recours ultime après 5 mois d’atermoiment. 

 
 

Nacer Djabi, sociologue et spécialiste du mouvement syndical algérien, qui a notamment dirigé un ouvrage de référence sur la question, Cartographie syndicale en Algérie (édité par la fondation Abdelhamid Benzine), décrypte les relations entre les syndicats autonomes et les autorités dans un climat où de nouvelles donnes politiques et économiques s’imposent.

Nacer Djabi, sociologue algérien, spécialiste du mouvement syndical (Facebook/Nacer Djabi)

Middle East Eye : Le ministère du Travail vient de publier une liste de dix-sept syndicats « conformes » à la loi et de treize autres « non-conformes » qui se voient désormais interdits de prendre part aux négociations avec la tutelle ou d’observer des grèves. Quelle lecture faites-vous de cette décision ? 

Nacer Djabi : Je crois que le système politique algérien ignore comment réagir et se comporter face aux syndicats autonomes. Il en a même peur : c’est une donne nouvelle pour lui, qui n’est habitué qu’à l’Union générale des travailleurs algériens [UGTA, ex-syndicat unique], qu’il a intégré dans le jeu politique.

Le système algérien est dominé par des élites qui, mentalement et intellectuellement, appartiennent au XIXsiècle

Le système algérien est dominé par des élites qui, mentalement et intellectuellement, appartiennent au XIXsiècle, notamment dans le domaine des idées sociétales ou ouvrières. Ces élites, de plus en plus conservatrices, ne reconnaissent pas la nécessité de l’action syndicale et de sa diversité, et veulent créer une société moderne mais sans syndicats, sans partenaires sociaux encadrés par les lois et crédibles pour mener des négociations.

MEE : Il ne s’agit donc pas seulement de tensions socio-économique qui auraient débordé les appareils de l’État ?

ND : La situation socio-économique n’explique pas, à elle seule, ces tensions. Les exigences des différents syndicats ne sont pas de l’ordre de l’impossible, et concernent des questions strictement économiques qui peuvent très normalement être négociées. Le vrai problème, c’est que le système craint beaucoup les conséquences politiques des grèves actuelles, grèves menées par des syndicats hors de son contrôle et de sa surveillance. N’oublions pas que ces mouvements de grèves impliquent aussi de nombreux fonctionnaires, qui ont comme patron, donc, l’État !

Ce sont eux qui, en partie, représentent le bras séculier du système, qui travaillent pour lui, appliquent ses consignes, votent et font des campagnes pour les élections. De quoi s’inquiète le système algérien ? Du fait que ces classes sociales, qui étaient son principale partenaire politique, se sentent de plus en plus abandonnées par l’État au profit des nouveaux riches, et s’engagent de plus en plus dans l’activisme syndical.

Le système sent que sa base sociale est sérieusement ébranlée. D’autant plus qu’il n’a pas réussi à en asseoir une nouvelle, celle des nouveaux riches

Le système, en dressant cette liste de syndicats « conformes », tente de juguler cette dynamique, car il sent que sa base sociale est sérieusement ébranlée. D’autant plus qu’il n’a pas réussi à asseoir une nouvelle base sociale, celle des nouveaux riches, ni même à assurer une transition.

Sit-in des médecins résidents dans le centre-ville d’Alger, le 12 février 2018 (AFP)

MEE : Les syndicats autonomes ne sont-ils pas devenus la véritable opposition en l’absence de vie politique crédible ? 

ND : L’absence de dynamique politique de l’opposition, la faiblesse de la classe politique et des mouvements étudiants ou féministes et l’obsolescence d’une Centrale syndicale qui est actuellement caporalisée donnent cette impression que les syndicats autonomes sont les seuls moteurs effectifs de la société algérienne.

L’opposition ne construit pas grand-chose autour de cette dynamique syndicale indépendante

C’est cela qui fait peur aux autorités. Mais l’opposition ne construit pas grand-chose autour de cette dynamique syndicale indépendante et reste même assez éloignée de cette dynamique.

MEE : Est-ce que réellement les syndicats reflètent la réalité de l’économie algérienne, dont une bonne part est informelle ?

ND : Assurément, non. La cartographie syndicale reflète la réalité de la vie économique. En Algérie, cette cartographie est composée de trois secteurs économiques qui évoluent à des vitesses différentes.

Le secteur public étatique, qui recouvre les grandes entreprises, notamment industrielles, comme Sonatrach [le géant pétrolier] et que domine l’UGTA en termes de représentation syndicale. Ensuite, le secteur de la fonction publique – santé, éducation, administration, etc. -, qui est sous le contrôle des syndicats autonomes depuis un peu plus d’une décennie. Enfin, le secteur privé, qui refuse d’intégrer les syndicats alors que c’est un secteur dominant, un employeur majeur. Si la situation perdure selon cette cartographie, alors nous nous acheminerons vers un activisme syndical plus fragile, et la société risque de devenir de moins en moins stable et équilibrée.

http://lequotidienalgerie.org/2018/05/05/interview-nacer-djabi-le-systeme-algerien-craint-les-consequences-politiques-des-greves/

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La garde à vue de Thomas Langmann prolongée

Publié le par S. Sellami

VIDÉO - Le producteur de The Artist répond aux questions des enquêteurs depuis mercredi soir. Céline Bosquet avait déposé une plainte contre son mari le 30 mars pour «menaces réitérées de violences et harcèlement».

La descente aux enfers se poursuit pour Thomas Langmann. Accusé de harcèlement par son épouse Céline Bosquet, le producteur de The Artist a été placé en garde à vue au comissariat des 5e et 6e arrondissement mercredi 2 mai d'après l'AFP. Il est entendu par la police dans le cadre d'une procédure ouverte par le parquet de Parisau début du mois d'avril. Sa garde à vue a été prolongée en début d'après-midi ce jeudi, d'après une information du Parisien . Dans son entourage, on préfère garder le silence.

http://www.lefigaro.fr/cinema/2018/05/03/03002-20180503ARTFIG00101-accuse-de-harcelement-par-son-epouse-thomas-langmann-place-en-garde-a-vue.php

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08 mai 1945 : mémoire ou menu ?

Publié le par S. Sellami

                                  sétif                                                                                                             Photo : Salim Sellami.                                                                                                                                                                                                                    Avec le temps, tout un chacun est en légitime interrogation de se dire de quelle bonne manière didactique devrions-nous commémorer cette date ? Faudrait-il en rire ou en pleurer ? Faudrait-il se suffire à l’emprisonner dans une salle, autour d’un buffet, discourir et s’évaporer ?

C’est au recueillement que l’on se sent destinés, à la méditation que l’on doit être poussé. L’appétit, le protocole et autres envies ne sont qu’automatiquement subsidiaires. L’on ne finira jamais de parler à chaque anniversaire de ce 08 mai. Le peu d’historiens d’ici et beaucoup de l’autre rive n’ont finiront pas eux aussi de disserter chacun selon son angle sur ces « évènements de Sétif » L’on ne s’arrêtera jamais de ruminer les répercussions de l’injustice au même moment où l’on persiste à vous récuser le droit à la réparation. L’on ne pourra se contenter de dire que l’acte d’écrire l’histoire est un acte qui se finit. L’histoire ne cesse de se faire. Elle ne se termine pas d’un seul trait de crayon ou se meurt au bout d’une pléiade de livres.

Dans la conscience historique de toute une population ce 08 mai était une rencontre douloureuse avec l’histoire des hommes. Un éclat rédempteur dans le sursaut final du mouvement libérateur du pays. Il était cette caravane de Sétifiennes et de Sétifiens et d’autres Algériens qui sont sortis un jour de paix et n’avaient reçu que des balles. Le massacre et la tuerie. C’était une longue marche, une grande caravane de martyrs. « Saal Bouzid est tombé, la caravane continuait sa marche, Benboulaid est tombé, elle continuait sa progression, Zabana, Lotfi,Hassiba et des milliers après sont tombés et la caravane perpétuait sans cesser tout aussi sa marche » avait tenu à affirmer un certain Wali qui a fait passionnément sienne cette date légendaire. Le 8 Mai est plus qu’un lot de sacrifices, ce fut un engagement déterminant d’un peuple qui n’aspirait qu’à un air de liberté et de dignité. Il était déjà le premier novembre qui allait en finalité consacrer la victoire de la longue marche.

La mémoire est encore vive pour garder à jamais ces événements qui caractérisent Sétif et bien d’autres régions. La fondation dédiée à cette sauvegarde de mémoire devra davantage avoir comme acte fondateur et dynamique pour faire et encore subsister cette volonté d’aller de l’avant dans le renforcement du souvenir, en dehors des commémorations uniquement festives. Elle a à maintes reprises dit-on tenté d’intenter un procès pour crime contre l’humanité contre l’occupant français. A quel stade d’évolution se trouve cette démarche ? Quelles sont les éventuelles entraves ou chances à son aboutissement ? L’on ne saura rien.

A Sétif l’épi connait sa floraison au mois de mai. Ailleurs aussi. La différence c’est que dans cette contrée où l’on compte plus de 832 chahids intra-muros, le Mai ne se compte plus comme une mensualité d’une éphéméride. Qu’il soit de calendrier grégorien ou hégirien. Ce n’est plus une chronologie, ni un repère temporel. C’est une éternité. Un arrêt mobile. Terrible et atroce, mais rédempteur. L’histoire est ici comme une hirondelle. Aux premiers bourgeons, le souvenir se lève altier pour venir pointer ses affres dans chaque cavité citoyenne. Il se réveille, en désobéissance à l’oubli et vient chaque année encore tarauder l’amnésie. Il le fait comme le fera un papillon raflant dans la stricte douceur le nectar vivifiant. Le printemps est le signe de la beauté et du merveilleux. Mais, Mai à Sétif est autre chose. Le mai d’une année qui passe sera un autre mai pour une année qui se consomme. Le 08 Mai est aussi une évocation, une science et une autre première conscience. Itérative et recommençant le décompte du 8 jusqu’à l’infini. La narration de l’évolution historique des nations a été de tout temps empreinte de hauts faits et de mémorables moments. L’histoire de l’Algérie combattante demeure dans toute sa grandeur, un enseignement de bravoure et un accord dans les énergies patriotiques variées.

Le sang avait certes coulé, des cadavres en ce jour là couvraient le sol et les pleurs des femmes, des enfants rescapés ne semblent plus se faire entendre tellement l’oubli, ce redoutable ennemi de la mémoire les entretient encore. Des lieux à Kherrata, Sétif, Guelma et ailleurs sont devenus amorphes et sans bruit ; frisant même le néant ou le rien, sauf chez ceux qui, descendants par hérédité gardent de vagues images orales. Ce jour avait connu de tragiques exactions, des tueries en masse, des viols systématiques, des dévastations de douars, des bombardements, des pilonnages.

En ce printemps noir de 1945, ce ne sont pas le fruit de l’imaginaire populaire mais des faits réels, extrêmement pénibles, vécus par les Algériens sous domination française. S’en souvenir c’est maintenir l’interaction et la complémentarité entre les générations. D’où le grand rôle de la fondation et des pouvoirs publics. L’Algérie indépendante dispose suffisamment de preuves, de témoignages et de constats pour pouvoir établir expressément que des actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances et des atteintes graves à l’intégrité physique de toute une population de surcroit sans défense ont été commis.

« …ces douloureux événements qui sont loin d’avoir livré tous leurs secrets » semblent faire resurgir outre la question de la reconnaissance par la France de ces odieux crimes mais suggèrent celle de la reconnaissance du statut de martyrs par leur propre pays. Ces victimes « sans sépulture » sont toujours sont statut juridique. La nation leur doit ce droit légitime ne serait-ce qu’au plan de la symbolique et de l’honorification. Une justice historique reste à rendre à ces milliers de martyrs.

On aurait aimé que cette journée soit un arrêt de bilan pour entre autre autres créditer davantage la lutte, sans merci, contre l’oubli, l’indifférence et l’analphabétisme historique , les pratiques obscurantistes et les déviations chrono-historiques En plus de ces fléaux, d’autres maux plus complexes viennent imprudents et parfois grossiers, tels que la menace de l’union, le chantage à la démocratie et l’altération des mœurs, agrandir la blessure du corps national. Mai 45 deviendra ainsi une relance, nonobstant son annualité apte hisser, par rétrospective le sentiment à la hauteur du sentiment national. Persévérer à faire de cette journée une simple séance de regroupement, quelques propos réchauffés en plus d’un panel d’invités dans des cloisons à n’y accéder que par invitation ira sans doute vers un déracinement mémoriel et ne cessera pas de provoquer une amnésie à même de banaliser l’histoire.

Je ne pense pas qu’un tel évènement, de cette taille, de cette dimension temporelle puisse être un simple menu gastronomique, une gerbe à déposer et quelques paumes qui par défaut d’applaudir, la séance ne s’y prêtant pas se juxtaposent pour lancer des prières.

J’en suis sûr que tout n’a pas été totalement dit. Il reste des zones d’ombre, des situations non encore élucidées, des tombes, voire des fosses communes non encore identifiées et surtout des cadavres sans linceuls, sans stèles, sans reconnaissance. La fondation est dans l’obligation de se rafraichir un peu d’un discours peu révolutionnaire en termes d’audace dans la rechercher, la collecte et l’écriture de cette glorieuse épopée. Elle ne peut le faire que si elle s’ouvre à la science et aux techniques de l’historicité et ne plus se cantonner dans un paternalisme béant et trop exclusif. Le 08 mai 1945, en tant que phase décisoire dans le processus du mouvement de la libération nationale n’est l’exclusivité d’aucune personne, ni d’aucune région. Comme le FLN, l’Emir Abdelkader, le 1 novembre 1954, les 6, les 22 etc…elle est un patrimoine commun que se partage toute la collectivité nationale.

Le 08 mai et sa célébration ne doivent pas persister à longueur d’anniversaire d’être un menu fondamental où le menu principal n’est que gastronomique. Heureusement, quelques démembrements de l’Etat ? Wali ou maire, quelques bonnes volontés, quelques citoyens fervents demeurent fidèles au rendez-vous.                                                                                                                                                                                                                                                              par El Yazid Dib  El yazid DIB                                                                                                                                  

http://www.lequotidien-oran.com/?news=5260889

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