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Lui Président......

Publié le par S. Sellami

Lui Président......
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« Les Casques blancs » financés par GB/USA aident Al-Qaïda à couper l’eau à 5 millions de Syriens.

Publié le par S. Sellami

white-helmet

La coupure de l’eau de Wadi Barada qui assoiffe 5 millions de personnes à Damas prend une tournure intéressante. L’organisation des Casques blancs financée par les États-Unis et le Royaume-Uni semble y être directement impliquée. Cela augmente le soupçon que le blocage illégal de l’eau que subissent les civils de Damas fait partie d’une campagne organisée par les États-Unis. La campagne a pour but de saboter le fonctionnement des services publics dans les zones tenues par le gouvernement en représailles pour la libération d’Alep-Est.

Comme nous l’avons écrit hier:

Après la libération de la partie orientale de la ville d’Alep par les forces gouvernementales syriennes, les rebelles locaux et les habitants de la vallée de la rivière Barada étaient prêts à se réconcilier avec le gouvernement syrien. Mais les Takfiris d’al-Qaida ne le voulaient pas et ils ont pris la relève. Depuis, la zone est sous le contrôle total d’Al-Qaïda et donc en dehors du récent accord de cessez-le-feu.

Le 22 décembre, l’approvisionnement en eau de Damas a été soudainement contaminé par du diesel et n’est plus consommable. Le lendemain, les forces gouvernementales syriennes ont lancé une opération pour reprendre la zone et reconstituer les réserves d’eau.

Des photos et une vidéo diffusées sur les médias sociaux (qui ont depuis été enlevées mais que j’ai vues quand elles  ont été postées) montrait l’installation de traitement de l’eau truffée d’explosifs. Le 27 décembre, l’installation a explosé et a été en partie détruite.

Le gouvernement syrien est prêt à envoyer des équipes pour réparer les installations pour que les millions de civils de Damas puissent avoir de l’eau. Mais l’accès au site leur est refusé et l’armée syrienne tente maintenant de chasser Al-Qaïda et ses alliés de la zone.

Curieusement, certains groupes « civils » ont offert au gouvernement syrien de le laisser accéder au site aujourd’hui à plusieurs conditions (pas agréables):

Hassan Ridha @sayed_ridha – 2:10 AM – 3 jan 2017

Déclaration de Wadi Barada: nous laisserons des équipes réparer la source d’eau si l’Armée arabe syrienne et le Hezbollah cessent d’attaquer, si le siège est levé et si le cessez-le-feu est surveillé par des observateurs internationaux.

EHSANI2 @ EHSANI22 – 6:43 AM – 3 jan 2017

L’opposition offre de marchander l’accès à la source d’eau pour #Damas contre l’arrêt des opérations militaires de l’armée

Voici la pièce jointe aux deux tweets. Notez qui l’a signée:

Plus grand

Regardez les logos des organismes qui ont signé. Vous reconnaîtrez probablement celui qui est au milieu de la deuxième rangée. Le voici agrandi :

Et voici l’original de ce logo copié directement sur le site Web de l’organisation de défense civile syrienne alias les Casques blancs :

Les organisations qui offrent de lever le blocus de l’eau de Damas pensent évidemment qu’elles ont le pouvoir de le faire. On peut donc penser qu’elles sont aussi responsables du maintien du blocus. Elles doivent également avoir des relations intimes avec les combattants d’al-Qaïda qui occupent actuellement les installations d’eau endommagées.

Les Casques blancs créés et payés par les gouvernements américain et britannique sont en train de bloquer de manière « neutre, impartiale et égale pour tous les Syriens » l’approvisionnement en eau de 5 millions de Syriens à Damas. Des militaires américains et des officiers de la CIA dirigent l’insurrection depuis les « QG d’opérations » en Jordanie et en Turquie.

Cela augmente le soupçon que le blocus fait partie d’une réponse organisée par les ennemis de la Syrie à la récente libération d’Alep-Est. Comme je l’ai dit hier:

Cette coupure d’eau fait partie d’une stratégie plus large, apparemment coordonnée, visant à priver toutes les zones tenues par le gouvernement de services publics. Il y a deux jours, l’Etat islamique a fermé un important accès à l’eau d’Alep sur l’Euphrate. Les poteaux électriques à haute tension des lignes qui alimentent Damas ont été détruits et l’accès en a été refusé aux équipes de réparation, contrairement à ce qui se passait auparavant. L’approvisionnement en gaz de certaines parties de Damas est également coupé.

Même après 14 jours de crise de l’eau à Damas, aucun média « occidental » ne souffle mot du blocus imposé par al-Qaïda à 5 millions de Syriens. Nous pouvons être sûrs qu’ils n’écriront pas un mot sur les millions de civils à Damas pris illégalement en otages par leur organisation de propagande préférée, les Casques blancs. [En effet nos médias n’en ont pas parlé, ndlr]

Moon of Alabama

Article original en anglais :

white-helmet

U.S./UK Paid “White Helmets” Help Al Qaeda Blocking Water To 5 Million Thirsty Syrians

Traduction de l’anglais par Dominique Muselet

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Le blocus des "Casques blancs" est une réponse de l’Empire à la libération d’Alep

Publié le par S. Sellami

Le 22 décembre, l’approvisionnement en eau de Damas a été soudainement contaminé par du diesel et n’est plus consommable.

 

La coupure de l’eau de Wadi Barada qui assoiffe 5 millions de personnes à Damas prend une tournure intéressante. L’organisation des Casques blancs financée par les États-Unis et le Royaume-Uni semble y être directement impliquée. Cela augmente le soupçon que le blocage illégal de l’eau que subissent les civils de Damas fait partie d’une campagne organisée par les États-Unis. La campagne a pour but de saboter le fonctionnement des services publics dans les zones tenues par le gouvernement en représailles pour la libération d’Alep-Est.

[...]

Les organisations qui offrent de lever le blocus de l’eau de Damas pensent évidemment qu’elles ont le pouvoir de le faire. On peut donc penser qu’elles sont aussi responsables du maintien du blocus. Elles doivent également avoir des relations intimes avec les combattants d’Al-Qaïda qui occupent actuellement les installations d’eau endommagées.

Les Casques blancs créés et payés par les gouvernements américain et britannique sont en train de bloquer de manière «  neutre, impartiale et égale pour tous les Syriens » l’approvisionnement en eau de 5 millions de Syriens à Damas. Des militaires américains et des officiers de la CIA dirigent l’insurrection depuis les « QG d’opérations » en Jordanie et en Turquie.

Cela augmente le soupçon que le blocus fait partie d’une réponse organisée par les ennemis de la Syrie à la récente libération d’Alep-Est. Comme je l’ai dit hier :

Cette coupure d’eau fait partie d’une stratégie plus large, apparemment coordonnée, visant à priver toutes les zones tenues par le gouvernement de services publics. Il y a deux jours, l’État islamique a fermé un important accès à l’eau d’Alep sur l’Euphrate. Les poteaux électriques à haute tension des lignes qui alimentent Damas ont été détruits et l’accès en a été refusé aux équipes de réparation, contrairement à ce qui se passait auparavant. L’approvisionnement en gaz de certaines parties de Damas est également coupé.

Même après 14 jours de crise de l’eau à Damas, aucun média « occidental » ne souffle mot du blocus imposé par Al-Qaïda à 5 millions de Syriens. Nous pouvons être sûrs qu’ils n’écriront pas un mot sur les millions de civils à Damas pris illégalement en otages par leur organisation de propagande préférée, les Casques blancs.

Lire l’intégralité de l’article sur mondialisation.ca

 

Rappel : qui sont les « Casques blancs » ?

Rappel : François Hollande reçoit le président des « Casques blancs » à l’Élysée le 19 octobre 2016

http://www.egaliteetreconciliation.fr/
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ETATS-UNIS. Donald Trump, le président-élu, à la solde des Russes ou le dernier enfumage des perdants démocrates

Publié le par S. Sellami

MamAfrika TV | Par Allain Jules

PARIS, France (18h22) – Un pseudo rapport, dévoilé par les services secrets américains dit que Donald Trump est à la solde des Russes qui le font chanter avec des informations compromettantes. On parle notamment d’une sextape. Moscou dément en indiquant que les démocrates font feu de tout bois pour empêcher le président élu à amorcer un rapprochement avec Moscou. Bien pas, une astuce savamment orchestrée pour surtout faire obstruction à sa présidence à venir.

Donald Trump est donc obliger de prendre le taureau par les cornes et de nettoyer en profondeur les écuries d’Augias. Il s’agit des services secrets ou de renseignement américains, minés par la fraude et le mensonge, d’où les difficultés américaines dans sa politique extérieure. Le prochain président américain doit, dès le 21 janvier prochain, juste un jour après sa prise de fonction, débuter l’un des douze travaux d’Hercule.

« Les services de renseignement n’auraient jamais dû laisser cette fausse information « fuir ». Un dernier coup de feu sur moi. Vivons-nous dans l’Allemagne nazie ? », écrit Donald Trump sur son compte Twitter.

 

Intelligence agencies should never have allowed this fake news to "leak" into the public. One last shot at me.Are we living in Nazi Germany?

 

En réalité, sur le piratage, notamment russe ou chinois, le président élu, lors d’une conférence de presse aujourd’hui, sa première, a indiqué que les Etats-Unis sont n°17 en matière de protection informatique donc perméable. Il a promis renforcer sa sécurité. Il a accusé les service de renseignement, qu’il trouve néanmoins utile, de faire fuiter les informations dans les médias.

Il a réaffirmé qu’il se rapprochera de la Russie, notamment pour combattre Daesh, ajoutant que la Russie respectera les Etats-Unis avec lui à sa tête. Il a par ailleurs indiqué qu’il se donne 90 jours pour réussir…

http://www.mamafrika.tv/
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Thierry Mariani témoigne de sa rencontre avec Bachar El Assad en Syrie

Publié le par S. Sellami

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Fadi al-Qanbar connaissait le châtiment collectif qui était réservé à sa famille

Publié le par S. Sellami

« Pourquoi le dernier agresseur palestinien à Jérusalem n’a-t-il pas reculé ? »

Fadi al-Qanbar connaissait toutes les conséquences de ses actes – il les avait vues bien des fois auparavant – mais les Palestiniens considèrent les représailles israéliennes comme faisant naturellement partie de la politique générale à leur égard, et non comme une riposte.

Que Fadi al-Qanbar ait préparé son attaque au camion dimanche à Jérusalem ou qu’il l’ait décidée sur un coup de tête, il connaissait exactement le châtiment collectif qui était réservé à sa famille.

Il savait que son corps ne serait pas rendu à sa famille pour les funérailles – un coup particulièrement humiliant et douloureux. Il savait que ses proches allaient être arrêtés immédiatement et battus lors de leur arrestation. Que certains pourraient être licenciés de leur emploi à Jérusalem-Est. Et que des femmes de sa famille, sans pièces d’identité israéliennes mais mariées à des résidents de Jérusalem pourraient être expulsées de leur maison et séparées de leurs enfants. Tout cela, il le savait depuis des mois, voire des années, il savait que sa famille serait harcelée par la police et par les autorités de l’État. Il savait aussi que la maison de sa famille serait démolie. Toutes ces choses étaient arrivées aux autres agresseurs palestiniens de Jérusalem-Est.

Durant les six derniers mois de 2015, dans son seul quartier de Jabal Mukkaber, Israël avait démoli trois maisons et en avait « fermé » deux autres. Toutes appartenaient à des familles de « terroristes ». « Fermer » signifie verser du béton à l’intérieur de la maison jusqu’à quelques centimètres sous le plafond.

Selon Hamoked – le Centre de défense de l’individu –, entre juillet 2014 et décembre 2016, Israël a démoli 35 maisons palestiniennes et en a “fermé” 7 autres ; parmi ces maisons, six et quatre, respectivement, se trouvaient à Jérusalem-Est.

Le fait que les parents, enfants, grands-parents, nièces et neveux qui avaient perdu leur maison n’avaient rien à voir avec l’agression n’a aucune importance. Israël et ses juges à la Cour suprême considèrent les démolitions comme des châtiments légitimes et comme un moyen de dissuasion efficace pour les personnes qui envisagent un attentat terroriste [1].

Qui plus est, Qanbar savait certainement que ses enfants ne souffriraient pas seulement la perte de leur père, mais qu’ils deviendraient soit violents soit renfermés, repliés sur eux-mêmes. Et s’ils sont en âge scolaire, leurs notes vont s’en ressentir, de même que leur santé. Pourtant, il n’a pas reculé.

La dissuasion a échoué

Commentateurs et hommes politiques ont imaginé toutes sortes de raisons pour expliquer que la dissuasion n’a pas marché dans le cas de Qanbar : le groupe État islamique; la reproduction d’un attentat type; le fait d’avoir été un ancien prisonnier (un affirmation apparemment fausse inventée par le Hamas et que les Israéliens se sont empressés de reprendre); l’incitation de la part de l’Autorité palestinienne à propos du déménagement possible de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem. Comme d’habitude, les explications sont erronées et déplacées.

Un groupe de soldats en uniforme n’a rien d’une spectacle neutre, pour quelque Palestinien que ce soit. C’est l’aspect et l’habillement de ceux qui font irruption dans des dizaines de maisons palestiniennes chaque nuit, de ceux qui exécutent des femmes et des mineurs d’âge aux check-points, de ceux que l’on envoie à l’assaut dans la bande de Gaza et qui accompagnent les équipes de l’Administration civile pour détruire les citernes d’eau, les toilettes portables, les cabanes en tôle et les tentes. Le fait que les Israéliens ont effacé ces actions de leur agenda ne signifie pas qu’elles n’existent pas.

Sans nul doute, les Israéliens diront que, sans les mesures de dissuasion, le nombre d’agresseurs palestiniens serait plus élevé. Ou le contraire – qu’il faudrait intensifier les mesures répressives. Toutefois, les Palestiniens perçoivent les représailles israéliennes comme faisant naturellement partie de la politique générale à leur égard, et non comme une riposte. Quand Israël ne démolit pas en guise de mesure répressive, il détruit en n’autorisant ni la construction ni le développement. Quand il n’arrête pas des gens pour des attaques mortelles ou pour des plans d’agression supposés, il arrête des enfants pour essayer d’étouffer la lutte populaire. Avec ou sans agres­sions mortelles, il étend ses colonies, étrangle l’économie palestinienne et planifie les expulsions forcées des Palestiniens de leurs villages et de leurs maisons à Jérusalem.

Ainsi donc, les raisons pour lesquelles ces troubles émanant de particuliers, non organisés ne se transforment pas en un soulèvement plus large ne seront pas trouvées dans l’incapacité inhérente d’Israël de provoquer une douleur sans cesse croissante. Autant le Hamas tente de faire passer cette agression comme une preuve que l’« Intifada de Jérusalem » n’est pas morte, autant il est évident que le large public n’est pas intéressé par la chose. En dépit de la dispersion géographique et sociale et en dépit de dirigeants faibles et qui ne cessent de se chamailler, il y a bel et bien la maturité du public palestinien, qui sait qu’un soulèvement est inévitable mais qu’il doit attendre un moment plus approprié pour le déclencher.

Amira Hass | 9 janvier 2017 | Haaretz
Traduction : Jean-Marie Flémal

[1] L’art. 4, §2 du “Protocole additionnel aux Conventions de Genève du 12 août 1949 relatif à la protection des victimes de conflits armés non internationaux” prévoit que :“Toutes les personnes qui ne participent pas directement ou ne participent plus aux hostilités, qu’elles soient ou non privées de liberté, ont droit au respect de leur personne, de leur honneur, de leurs convictions et de leurs pratiques religieuses. Elles seront en toutes circonstances traitées avec humanité, sans aucune distinction de caractère défavorable. Il est interdit d’ordonner qu’il n’y ait pas de survivants.  Sans préjudice du caractère général des dispositions qui précèdent, sont et demeurent prohibés en tout temps et en tout lieu à l’égard des personnes visées au paragraphe 1 :
a) les atteintes portées à la vie, à la santé et au bien-être physique ou mental des personnes, en particulier le meurtre, de même que les traitements cruels tels que la torture, les mutilations ou toutes formes de peines corporelles ;
b) les punitions collectives ;
c) la prise d’otages ;

Amira Hass est une journaliste israélienne, travaillant pour le journal Haaretz.

Source: http://www.pourlapalestine.be/pourquoi-le-dernier-agresseur-palestinien-a-jerusalem-na-t-il-pas-recule/

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Après l’attentat de Jérusalem, Droite, PS et FN à l’unisson !

Publié le par S. Sellami

Le drapeau blanc à bandes bleues et à l’étoile de David a été projeté de 19h30 à 23 heures, le 10 janvier.@ CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP

Le 8 janvier 2017, une opération de la résistance palestinienne a coûté la vie à quatre soldats de l’armée d’occupation israélienne, dont trois jeunes femmes. Quatre morts de trop dans ce terrible conflit, bien sûr. Mais cette action n’est pas la première que mènent des Palestiniens réduits à se battre contre l’occupant avec leurs faibles moyens. Utilisant un camion-bélier, cette opération meurtrière, à la différence des actions précédentes, n’a frappé que des militaires. Et elle s’est déroulée sur la « promenade de Talpiot », un nouveau quartier juif de Jérusalem érigé sur des terres arrachées aux Palestiniens durant la guerre de juin 1967.

Ni le mode d’action, ni le lieu choisi n’étaient donc indifférents. A Jérusalem-Est annexée, plus qu’ailleurs, le peuple palestinien est soumis, sur son propre sol, à une occupation et à une colonisation condamnée par le droit international. Dans l’indifférence générale, il subit les humiliations infligées par un occupant surarmé qui bénéficie de la complicité des puissances occidentales et de la passivité des régimes arabes. L’opération du 8 janvier, par conséquent, est le fruit amer de cette cruelle dépossession du peuple palestinien, de la négation de ses droits les plus élémentaires. C’est bien la violence de l’occupation qui génère celle de la résistance, et cette résistance est légitime.

Les forces politiques françaises ont-elles pris la mesure d’un tel événement et de ce qu’il signifie ? Après cet attentat, considéré par de nombreux observateurs comme le plus grave depuis le déclenchement de « l’Intifada des couteaux », ont-elles médité la phrase célèbre du général de Gaulle accusant Israël, le 27 novembre 1967, d’organiser « sur les territoires qu’il a pris une occupation qui ne peut aller sans oppression, répression et expulsions » et prophétisant la naissance d’une « résistance qu’Israël, à son tour, qualifiera de terrorisme » ?

Loin de là. Au lieu de susciter une analyse objective, l’événement a provoqué une épidémie de mauvaise foi. Championne hors catégorie du soutien à Tel Aviv, Anne Hidalgo a organisé un rassemblement silencieux et illuminé l’Hôtel de Ville de Paris aux couleurs d’Israël. « Ce soir nous sommes face à l’Hôtel de Ville de Paris illuminé en mémoire des victimes de l’attentat de Jérusalem #TousUnisContreLeTerrorisme », a tweeté de son côté le Conseil représentatif des institutions juives de France. Chef de la diplomatie française, Jean-Marc Ayrault ne pouvait demeurer en reste. Il a dénoncé un « acte ignoble » et exprimé la « solidarité de la France avec Israël ».

A cette belle harmonie entre le PS et le CRIF, la droite n’a pas manqué d’apporter sa contribution. Son chef de file, François Fillon, a immédiatement réagi : « Solidarité avec le peuple israélien après l’attentat de Jérusalem. Soyons unis contre le terrorisme ». Visiblement frappé d’amnésie gaulliste, le candidat des Républicains à l’élection présidentielle a perdu de vue la distinction entre le terrorisme et la résistance à une occupation illégale. Celui que l’on créditait un peu vite d’un certain courage sur les questions internationales vient aussi de déclarer, sur Bfm/Tv, que « Bachar Al-Assad est un dictateur et un manipulateur ». Pour peu, on aurait presque oublié qu’il fut le premier ministre de Nicolas Sarkozy, passé à la postérité comme le fossoyeur de l’héritage gaulliste.

Au Front national, enfin, même son de cloche. « Soutien au peuple israélien après le terrible attentat islamiste de Jérusalem », a twitté le 9 janvier la présidente du Front national. Une fois de plus, l’opération du 8 janvier est qualifiée dans des termes qui en interdisent toute intelligibilité. L’islamisme supposé de cette action armée agit comme un mot-écran, qui dispense de toute analyse politique sur l’oppression coloniale en Palestine. Il est vrai que la famille Le Pen n’a jamais été très ardente dans la lutte contre le colonialisme. Et si l’on est, en principe, pour l’indépendance de la France, on sait aussi faire des exceptions. Tous ceux qui s’imaginent que la présidente du FN s’affranchit de tous les communautarismes, et pas seulement de celui qu’elle prête aux musulmans, en seront pour leurs frais.

Bruno Guigue | 11/01/2017

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سلاك الواحلين - الاستاذ محمد الهادي الحسني

Publié le par S. Sellami

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وقعت في بعض الولايات حركات احتجاج وأعمال تخريب قام بها بعض الشبان، وربما بتحريض من الذين "يعكرون الماء ثم يصطادون"، كما تقول إحدى المسرحيات.. وكان الداعي إلى هذه الاحتجاجات في الظاهر هو "كانون" المالية الذي رفع الأسعار فتحولت حياة الشعب إلى سعير، حيث ستشرب دمه، وستذيب شحمه، وستأكل لحمه، وستدقّ عظمه، حتى يهزل فلا يساوم العمل معه، والاستثمار في ذلك أفلس المفلسين.

وقد اقترحت هذه الأسعار حكومتنا "الرشيدة"، وأقرها برلماننا "الشعبي"، ووقّع عليها "رئيسنا" (....) ، كل أولئك تحت شعار "من الشعب إلى الشعب"، الذي سيصبح "أحجيّة". وعندما وقع ما وقع تذكرت الحكومة "الرشيدة" أو ذكّرت أن هناك "دواء" تعتبره "مهدئا" يسمى "الدين"، الذي ثبت أن الشعب الجزائري لا يلقي السمع إلا له، وقد قال الوالي العام الفرنسي الأخير الذي زلزلت الجزائر في عهده في نوفمبر 1954، قال هذا الوالي: "إن الفلاح الجزائري (وكلنا فلاحون أو أبناء فلاحين) لا يعرف أية سلطة إلا سلطة الله الواردة في القرآن". (جريدة المنار الجزائرية في 14 نوفمبر 1952. ص1).

من أجل ذلك أمر من بيده مقاليد الجزائر وزارة الشؤون الدينية أن تكون خطبة الجمعة (7 – 1- 2017) في جميع المساجد عن مزايا الهدوء، وفوائد الاستقرار، وأضرار التخريب، وأخطار الفتنة، التي اعتبرها الله – العليم الخبير – في كتابه الحكيم، الهادي إلى الصراط المستقيم "أشد من القتل".. وقد أسرعت الوزارة فلم تعص للآمر أمرا. 

ولكي تكون الخطبة الجمعيّة، والدروس المسجدية، ذات تأثير إيجابي على الناس، ويتقبلوها من دون أن يجدوا في صدورهم حرجا، يجب أن يروا الدولة كلها ملتزمة بتعاليم الإسلام الحنيف، أوامره ونواهيه، لا أن تنهي عن خلق وتأتي مثله..

كيف يتقبل الشعب ويتحمل الآن رفع الأسعار وقد رأى من قبل سفاهة في إنفاق الحكومة إنفاق من لا يخشى الفقر على مهرجانات السفاهة والسفهاء، وعلى ما نعلمه وما لا نعلمه.. 

إن الدين الإسلامي ليس "مهدئا"، وهو ليس "مكملا غذائيا" فقط، بل هو "شفاء" تام من جميع الأمراض النفسية، والآفات الاجتماعية، شريطة أن يؤخذ كله، لا أن "يؤمن" ببعضه، و"يكفر" ببعضه، ويتخذ عضين... 

إن الشعب الجزائري لا يلقي السمع للخطاب الديني "الرسمي"، وهو يرى حكومته "الرشيدة" تحرمه من البنوك الإسلامية التي تسمح بها حتى بعض الدول الأوربية المسيحية، ويرى الدين أهون شيء عند كثير من المسؤولين الحاليين والسابقين، ويرى العلماء أحقر الفئات الاجتماعية...

فيا أيتها الحكومة إنك لست على شيء حتى تأمري بالمعروف وتأتيه، وتنهى عن المنكر ولا تأتيه، وعندها يكون "الدين" "سلاّك الواحلين

الاستاذ محمد الهادي الحسني
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Les bébés disparus d’Israël

Publié le par wikistrike.com

Cet article est reposté depuis une source devenue inaccessible.

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L'emission Quotidien avec Yann Barthès,Hugo Clément et ce fameux Ismael.

Publié le par S. Sellami

La clique de Yann Barthès traite le courageux humanitaire Pierre Le Corf…de propagandiste professionnel

L'emission Quotidien avec Yann Barthès m'a révolté pour voir continuellement interviewé avec Hugo Clément ce fameux Ismael ces derniers mois, un innocent civil sous les bombes qui dénonçait des "massacres, génocide," encourageant indirectement le maintient sous contrôle de l'Est par les terroristes. Continuellement entouré sur les réseaux sociaux de terroristes ou partisans. Pendant ce temps les roquettes pleuvaient ici et les hôpitaux débordaient littéralement de morts et blessés. J'ai envoyés des messages a des journalistes de l'émission mais je n'ai jamais eu de réponse.

Personne n'a jamais vraiment investigué comme il apparaissait principalement en France. Il y a eu 6 pauvres indépendants ou civils désemparés comme Bilal Abdul Kareem (qui faisait l'interview du chef d'une branche d'Al Qaïda il n'y a pas si longtemps) ou Lina Shamy (qui publiait un hommage à la mort de Zahran Alloush leader de Jaysh al-Islam et appelait au massacre des Alaouites) avec full abonnement 3G internet quand les gens ne pouvaient même pas s'acheter de pain, à monopoliser la bande passante Skype pour témoigner des massacres sur toutes les chaines TV sans même faire une photo. Ismael apparait en photo dans les bâtiments d'un groupe de casques blancs qui dépendais de Jabhat Al Nusra, vous reconnaîtrez l'endroit sur la récente vidéo que j'ai postée à propos des casques blancshttps://www.facebook.com/pierrelecorf/videos/10155071651979925/

Oui les gens ont souffert des bombardements, d'un côté comme de l'autre, mais ils ont surtout souffert de ceux qui ont apporté avec eux la guerre, les bombes et les combats.

Pendant ce temps j'étais à proximité des couloirs humanitaires ou les gens s'enfuyaient, pas tous car certains avaient en effet été abattus pour avoir essayé de s'échapper par les terroristes. Vous savez ce qui me révolte? C'est que ces gens appellent la mort et parlent au nom de gens qui sont l'otage de leur "cause", ce drapeau à 3 étoiles qui prône une révolution, non seulement l'Est à l'époque, mais tout Alep ! Je ne veux pas juger trop facilement ce garçon ni l'émission qui s'est attaché au sort des Syriens sans distinction (je l'espère) et peut être sans savoir dans quoi ils mettaient les pieds (pourtant c'était gros) mais c'est une faute que de lui avoir donné uniquement la parole pour témoigner à la place des VRAIS civils sans appartenances a des groupes surtout quand il fait parti de ceux qui font tout pour mener en longueur cette guerre ! Les gens sont morts ici à cause du temps qu'ils arrivaient à gagner en en manipulant les souffrances des gens qui eux ne se sont étrangement jamais exprimés à la TV.

Je n'aime pas entrer dans ce genre de débat mais je suis sur le terrain et fait de mon mieux pour aider des gens qui meurent, souffrent, voyagent ou essayent de vivre à cause de cette propagande visant faire croire à un guerre civile, à pérenniser cette guerre, chaque trêve permettant aux terroristes de se réarmer et de faire pleuvoir la mort tous les jours.

Comme eux n'ont pas Skype, je vous partage au quotidien les témoignages des familles et civils que je rencontre, faites-vous votre opinion, je suis fatigué, bonne nuit.

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