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traitement médiatique inégal et injuste en Occident !

Publié le par S. Sellami

Voici la preuve qu'un juif pratiquant n'a pas le droit de serrer la main aux femmes mais ceci ne dérange pas les médias occidentaux le moins du monde puisqu'ils n'en parlent jamais. Au même titre d'ailleurs que la "frumka" ou voile intégral de la femme juive. On en a entendu parlé du nikab... mais jamais de "frumka" !
Il n'est pas question ici de critiquer une pratique, chaque homme est libre dans ses croyances, sa façon de manifester son amitié ou son respect à un interlocuteur etc. Il est question ici de traitement médiatique inégal et injuste en Occident !

Salim Laïbi - Lelibrepenseur.org                                                                                                          https://www.facebook.com/ArabeChlef/posts 

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De nouvelles sanctions du Congrès américain contre la Russie

Publié le par S. Sellami

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Toute l’Europe est traitée comme une colonie américaine

km. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Le 24 juillet, le tribunal local de Leipzig a désigné un liquidateur judiciaire pour l’entreprise locale de construction métallique IMO. Existant depuis 120 ans, cette entreprise employant 320 personnes est spécialisée dans les constructions en acier et réalisait, jusqu’à récemment, des affaires avec la Russie. Maintenant elle est ruinée. Les sanctions contre la Russie avaient entraîné pour l’entreprise des pertes de revenus et de profits ne pouvant plus être compensées. Si les nouvelles sanctions contre la Russie – adoptées le 25 juillet par la Chambre des représentants des Etats-Unis avec seulement 3 voix d’opposition et le 27 juillet par le Sénat avec seulement 2 voix d’opposition – entraient effectivement en vigueur est étaient appliquées, de nombreuses entreprises européennes pourraient tomber en faillite à l’instar d’IMO à Leipzig. Car, cette fois-ci, un projet important à bien des égards pour la Russie et les autres pays européens – le gazoduc Nord Stream II menant directement de la Russie à travers la mer Baltique à l’Allemagne – serait affecté. La décision de la Chambre des représentants et du Sénat (= Congrès) permettra au président des Etats-Unis d’imposer de sanctions contre toutes les entreprises participant à des projets énergétiques russes, dont Nord Stream II, explicitement mentionné.
La politique américaine a agi unilatéralement et sans consulter ses partenaires européens. Les critiques européennes concernant la nouvelle décision du Congrès sont massives. Même le gouvernement allemand a déjà déclaré en juin – à cette époque, les plans pour de nouvelles sanctions étaient connus – que ces nouvelles sanctions seraient «contraires au droit international». Sigmar Gabriel, ministre allemand des Affaires étrangères, avait ajouté: «Il n’est pas acceptable d’abuser des sanctions pour évincer du marché le gaz russe afin de mieux pouvoir vendre le gaz américain.» En fait, les Américains veulent imposer aux Européens le gaz liquéfié venant des Etats-Unis plutôt que celui venant de Russie. Le 18 juillet, Gabriel avait plaidé, contrairement au Congrès américain, dans une interview accordée au magazine Focus en faveur de la levée progressive des sanctions contre la Russie.
Les entreprises européennes concernées ont aussi pris la parole. Dans une tribune pour le «Frankfurter Allgemeine Zeitung» (24/07/17), Rainer Seele, directeur général du groupe énergétique autrichien OMV participant au projet de gazoduc, a écrit: «Le gaz liquéfié américain (LNG) est naturellement en concurrence avec le gaz russe – rien à objecter à cela. Mais il doit être clair, et le ministre allemand des Affaires étrangères Gabriel le dit clairement: l’approvisionnement énergétique de l’Europe est toujours et encore une affaire européenne et non pas l’affaire des Etats-Unis [...]. L’Amérique ainsi que la Pologne et les pays Baltes n’ont aucun droit de veto et de blocus contre les relations russo-européennes dans le domaine du gaz, y compris les gazoducs.» Non seulement pour l’OMV, mais également pour d’autres entreprises participant à ce projet de pipelines telles que BASF, E.ON, Wintershall et Shell, la mise en œuvre des sanctions du Congrès américain signifierait des pertes de plusieurs milliards. Matthias Warnig, directeur de la Société de développement du gazoduc Nord Stream II, a ajouté dans le «Handelsblatt» allemand (19/07/17): «Si les sanctions sont effectivement mises en œuvre, les effets sur l’approvisionnement en pétrole et en gaz seraient considérables. A ce stade, tous les pipelines exportant du pétrole ou du gaz de Russie y sont soumis.»
Willy Wimmer, ancien secrétaire d’Etat allemand au ministère de la Défense, s’exprime clairement. Selon lui, les nouvelles sanctions du Congrès américain représentent aussi une guerre économique contre l’Europe. Dans une interview accordée à l’agence de presse russe Spoutnik (26/07/17), il a déclaré: «Aux Etats-Unis, ces sanctions se dirigent visiblement contre leur propre président qu’on veut emmurailler. Mais elles se dirigent également contre l’Europe qu’on veut étouffer sur le plan économique.» Il observe depuis longtemps «que les Etats-Unis étendent leur propre législation sur les territoires étrangers. C’est un comportement typiquement colonialiste.» Et à l’adresse des responsables de l’UE: «Si l’UE ne peut pas se décider maintenant, parce qu’elle ne l’ose pas ou pour quelque autre raison, elle va perdre toute confiance aux yeux du public européen et de ses électeurs. Il ne s’agit pas seulement de la survie économique de l’UE, mais aussi de l’honneur politique. Il n’est pas acceptable que nous soyons gouvernés par des mesures arbitraires de Washington. [...] Nous voyons sur toute la largeur des relations avec Washington que nous sommes soumis à des éléments faisant apparaître au minimum une guerre économique. [...] Si l’Union européenne fait maintenant des génuflexions devant ces sanctions, elle risque de perdre tout son avenir économique.»
Finalement, il faut souligner que cette nouvelle décision de sanctions est une déclaration de guerre des Etats-Unis envers la Russie (cf. interview de Willy Wimmer ci-contre). Les débats au Congrès sont un mauvais exemple démontrant la démagogie et l’agressivité avec laquelle la Russie est «diabolisée» aux Etats-Unis. Les réactions officielles prudemment formulées par la Russie montrent que cela est perçu ainsi. Leonid Sluzki, chef de la Commission des Affaires étrangères de la Douma, a déclaré le 26 juillet: «L’extension des restrictions sape la possibilité de reconstruire les relations russo-américaines et les rend plus difficiles, pour un certain temps au moins [...]. Les possibilités de dénouer le nœud gordien dans le dialogue entre les Etats-Unis et la Russie sont extrêmement limitées.»     •

http://www.zeit-fragen.ch/fr/editions/2017/no-19-7-aout-2017/
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La plus longue rivière d'Espagne est sur le point de se tarir complètement

Publié le par S. Sellami

 
La rivière Tage risque de se déshydrater complètement (Rex)

La plus longue rivière en Espagne risque de se tarir complètement en raison d'une sécheresse continue dans le pays.

La rivière Tagus de 626 milles de long , qui commence dans le nord de l'Espagne et traverse Madrid avant d'entrer dans la mer à Lisbonne , au Portugal, serait menacée par une combinaison de changements climatiques, de transferts d'eau et de déchets produits par Madrid.

Nuria Hernández-Mora, membre fondateur de la Fondation pour une nouvelle culture de l'eau, a déclaré: "Tous ces problèmes découlent de la conception d'un transfert d'eau des cours d'eau d'une rivière, surestimant les ressources disponibles et rejoignant deux zones avec des cycles climatiques similaires.

 
La rivière a une longueur de 626 milles et s'étend sur l'Espagne et le Portugal (Wikipedia)

"Le transfert a servi à créer des conflits sociaux et politiques et à transformer le Tage en l'un des fleuves dans le pire état écologique de la péninsule".

L'eau du Tage est également utilisée pour approvisionner les six millions de résidents de Madrid, ainsi que pour refroidir les réacteurs nucléaires.

L'avocate de l'environnement, María Soledad Gallego, a déclaré que l'Espagne doit réfléchir à la façon dont elle utilise la rivière pour des facteurs économiques.

PLUS: Le scientifique dit que nous devons aborder le problème des méduses en les mangeant 
PLUS: London Garden Bridge officiellement mis au rebut après 37 millions de livres sterling d'argent public est «gaspillé»

Elle a déclaré: "Nous devons faire face à la réalité et traiter les implications environnementales.

"Dans le sud-est, l'agriculture est subventionnée sous la forme de transferts d'eau. Ils dépendent d'un surplus d'eau dans d'autres régions du pays et ils auront toujours des problèmes.

"Ils doivent vivre avec la réalité de ce que les bassins de Segura et Tajo peuvent fournir".

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I AM NOT YOUR NEGRO....JE SUIS PAS VOTRE NEGRO

Publié le par S. Sellami

I  AM   NOT  YOUR      NEGRO
I  AM   NOT  YOUR      NEGRO

Les Etats-Unis serait le soit disant pays de la liberté et des opportunités, la première « démocratie » ? Voilà une performance réussie de propagande, mais il faudrait ajouter au slogan idéologique : pas pour tout le monde ! Pour preuve, il faut se remémorer Une histoire populaire des Etats-Unis de Howard Zinn et le film qui en a été tiré.
Les Etats-Unis ont été fondés sur le massacre des populations indiennes et l’esclavage de populations africaines. L’extermination des Indiens, le trafic et l’asservissement des Noirs font partie de l’histoire des Etats-Unis qui en garde les traces dans les comportements au quotidien et l

I Am Not Your Negro est en fait une histoire « officielle » revue par les luttes sociales et politiques des Noir.es, un récit bien différent du roman national WASP, White Anglo-Saxon Protestant, et de son idéologie basée sur la suprématie blanche.

Raoul Peck a réalisé I Am Not Your Negro d’après les écrits de James Baldwin, qui évoque trois hommes importants dans le combat pour les droits civiques aux Etats-Unis, trois hommes assassinés, Medgar Evers, Malcolm X et Martin Luther King Jr, mais rend aussi hommage aux luttes de toutes celles et tous ceux qui ont résisté à la ségrégation. C’est du très grand cinéma documentaire avec des archives étonnantes, une voix off magnifique et une bande son à couper le souffle !

Dans la bande annonce de I Am Not Your Negro, vous entendrez James Baldwin déclarer : « Si n’importe quel Blanc dans le monde revendique la liberté ou la mort, tout le monde applaudira. Si un Noir dit exactement la même chose, il sera jugé et traité comme un criminel, et tout sera fait pour montrer à quel point c’est un mauvais nègre. L’histoire des Noirs aux Etats-Unis est l’histoire des Etats-Unis. »

Un film documentaire exceptionnel.

Publié par Patrick Granet

anarchiste individualiste

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Sans Remède

Publié le par Patrick Granet

Cet article est reposté depuis SERPENT - LIBERTAIRE.

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Le déchaînement fasciste à Charlottesville, en Virginie : ça peut arriver ici

Publié le par S. Sellami

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Après des mois de planification délibérée et de coordination avec la police, le déchaînement nazi Unite the Right (Unir la droite) à Charlottesville, en Virginie, a atteint son apogée mortel samedi après-midi, lorsqu’un admirateur de Hitler de 20 ans, de l’Ohio, a lancé sa voiture contre une foule de contre-manifestants, tuant Heather Heyer, 32 ans, un partisan de Bernie Sanders, et blessant 14 autres personnes.

La presse du grand patronat s’est concentrée sur le refus de Trump de condamner verbalement la violence de l’extrême droite. Mais les lamentations des médias américains sur les déclarations de Trump éludent le fait qu’il existe une méthode politique qui motive la folie de Trump.

Comme le Financial Times l’a noté :

La réponse de Donald Trump à la violence à Charlottesville depuis son parcours de golf à Bedminster consistait en propos rassurants sur l’ordre public et à rejeter en général la haine. Voici l’expression cruciale : « Nous condamnons dans les termes les plus forts possibles cette énorme démonstration de haine, de sectarisme et de violence venant de diverses parties, de diverses parties ». Ces trois derniers mots, répétés pour les souligner, forment indubitablement une équivalence morale entre les contre-manifestants et les suprémacistes blancs armés qui avaient passé la nuit précédente à porter des flambeaux et à chanter le slogan nazi « sang et sol » et « les Juifs ne nous remplaceront pas ».

Ces mots, ainsi que la décision du président de ne pas vouloir interpréter l’intolérance en termes raciaux, se joignent à une longue liste de signes des politiciens américains conservateurs qui s’étendent sur des décennies. Mais décrire les commentaires de M. Trump comme un « message codé », audible seulement pour un public ciblé, c’est donner au président et à son équipe plus de crédit qu’ils n’en méritent. Dans le contexte où elle a été proférée, la déclaration avait autant de subtilité qu’une matraque.

Mais comment Trump pouvait-il condamner cette opération fasciste lorsque sa propre Maison Blanche était profondément impliquée dans l’encouragement et l’appui à ses organisateurs ?

Cette émeute nazie n’est pas un événement aberrant dans la politique américaine. C’est le produit de la stratégie de Donald Trump consistant à construire un mouvement fasciste extra-constitutionnel, en dehors du cadre des deux partis qui est lui-même une expression de la putréfaction et de l’effondrement de la démocratie américaine sous le poids de niveaux vertigineux d’inégalités sociales.

Au cours des trois dernières semaines, Trump et ses conseillers – Stephen Bannon, Stephen Miller et Sebastian Gorka – ont intensifié les efforts du gouvernement pour obtenir un soutien parmi les éléments fascistes qui forment le noyau de sa base politique.

Trump a attaqué le chef de la majorité du Sénat républicain, Mitch McConnell, défiant l’une des figures législatives les plus puissantes de son propre parti. Il a fait des menaces belliqueuses, disant que les États-Unis sont « armés et prêts à tirer » pour la guerre contre la Corée du Nord et a fait appel à ses partisans milliardaires ainsi qu’à la police, aux responsables de l’immigration et du contrôle des frontières, et aux militaires pour soutenir ses politiques anti-migrants et de « répression contre le crime ».

De ce fait, il a renforcé les forces qui ont repris le contrôle vendredi du campus de 22 000 étudiants de l’Université de Virginie. Les nazis ont mené un défilé aux flambeaux sur le campus, fondé et conçu par l’auteur de la Déclaration d’indépendance, Thomas Jefferson, tout en scandant « le sang et le sol », « Sieg Heil », et « un peuple, une nation, arrêter l’immigration. »

À l’aube samedi matin, des dizaines de miliciens fascistes en uniforme armés de fusils d’assaut et de fusils de chasse ont occupé le centre-ville, établissant un contrôle militaire sur le cœur de la ville de 50 000 habitants. Une fois que la milice avait sécurisé la zone, sans ingérence policière, des fourgonnettes remplies de personnes de partout du pays ont investi le centre-ville, débarquant des centaines de nazis munis d’armes à feu, de couteaux, de chaînes, de barres métalliques, de battes de base-ball et de sprays au poivre.

Ce qui s’est passé ensuite ne peut être décrit que comme une émeute fasciste. Les policiers se sont retirés de la scène et les nazis ont commencé à attaquer des contre-manifestants dans les rues, en criant des insultes raciales et homophobes en scandant « Heil Trump ». Des contre-manifestants isolés ont été emportés dans la mêlée nazie et battus sans pitié, alors que la police observait la scène.

Brian McLaren, un pasteur qui s’est rendu à Charlottesville en tant que contre-manifestant, a déclaré à la presse que « la police s’est retirée assez loin » lors des attaques des nazis. Ensuite, au début de l’après-midi, James Fields Jr. de Maumee dans l’Ohio, a foncé dans la foule à bord de sa voiture, renversant des corps sur son capot comme des quilles.

Le gouverneur démocrate de Virginie, Terry McAuliffe, a répondu aux critiques en déclarant dimanche que la police a fait un « excellent travail » au cours du week-end. McAuliffe, ancien chef du Comité national démocrate et collecteur de fonds pour Bill et Hillary Clinton, a déclaré que le meurtre du contre-manifestant Heather Heyer n’aurait pas pu être évité. « Vous ne pouvez pas arrêter un mec fou venu de l’Ohio qui a utilisé sa voiture comme une arme », a-t-il déclaré.

Le but de la violence de ce week-end était d’envoyer un message aux détracteurs de Trump dans les partis républicains et démocrates selon lequel il a une autre base sociale à laquelle il peut faire appel. En conséquence, les nazis ont tenu leur rassemblement à seulement deux heures de Washington DC.

Une chronologie des trois semaines précédant le déchaînement de ce week-end souligne la campagne systématique et calculée de la Maison Blanche de Trump pour mobiliser les forces sociales les plus arriérées et les plus réactionnaires du pays.

  • Le 22 juillet, Trump a fait un discours belliqueux devant des marins lors de la mise en service d’un porte-avion à 13 milliards de dollars.
  • Le 25 juillet, Trump a fait un discours à Youngstown dans l’Ohio, glorifiant l’extrémisme religieux chrétien.
  • Le 26 juillet, le ministère de la justice a déposé un recours dans l’intérêt du droit (friend of the court brief) déclarant que les entreprises privées ne sont pas interdites de renvoyer les employés pour des raisons liées à leur orientation sexuelle. Le même jour, Trump a tweeté que son gouvernement allait exclure les personnes transgenres du service militaire et a désigné le gouverneur du Kansas, Sam Brownback connu pour ses positions contre les homosexuels, au poste de représentant du ministère des Affaires étrangères pour la liberté religieuse internationale.
  • Le 28 juillet, Trump a dit aux agents de la police et du service de l’immigration de Long Island, à New York, qu’il adorait regarder les suspects de crimes « jetés dans les fourgonnettes de la police ». Il les a encouragés à tabasser les gens en état d’arrestation, disant, « S’il vous plaît, ne soyez pas trop gentils ».
  • Le 2 août, Trump et les sénateurs républicains Tom Cotton et David Perdue ont annoncé une nouvelle loi intitulée Reforming American Immigration for Strong Employment (RAISE – loi sur la Réforme de l’immigration américaine pour plus d’emplois), qui réduirait l’immigration légale de moitié. Lors d’une conférence de presse qui annonçait ce projet, Stephen Miller, conseiller de Trump, s’est fait l’écho du langage antisémite du Parti nazi allemand lorsqu’il a dénoncé Jim Acosta de CNN comme ayant « une préférence pour les cosmopolites ». Le même jour, les médias ont rapporté que le ministère de la justice avait l’intention d’attaquer en justice les universités qui « discriminent contre les blancs ».
  • Le 6 août, Trump a lancé un programme de Real News sur sa pageFacebook dans une tentative de rallier du soutien autour de sa personne en dehors du cadre des médias classiques.
  • Le 8 août, le conseiller de la Maison blanche, Sebastien Gorka, qui est membre de l’ordre fasciste hongrois Vitez, a avancé que l’attentat fasciste contre une mosquée près de Minneapolis, dans le Minnesota, pourrait être « un faux crime de haine » qui serait « propagé par la gauche ». Le lendemain, Gorka a informé Breitbart News que « les suprémacistes blancs » ne sont « pas le problème », et que le terrorisme est le produit de l’Islam

Dans les jours qui ont suivi, Trump a lancé ses menaces de guerre contre la Corée du Nord et le Venezuela et a mené de nouvelles attaques contre le chef des républicains du Sénat, Mitch McConnell.

La violence nazie de ce week-end porte la marque politique de Bannon, Miller et Gorka. Le chef de la manifestation nazie, Jason Kessler, a reconnu après l’événement que les organisateurs avaient « communiqué avec la police » pendant des mois avant la provocation de « Unir la droite ».

Kessler a également rencontré plusieurs représentants républicains en préparation de la mobilisation nazie. Peu de temps après l’inauguration de Trump, Kessler a tenu une conférence de presse avec le candidat républicain pour devenir gouverneur de Virginie, Corey Stewart, pour dénoncer le projet de Charlottesville visant à retirer la statue du général confédéré Robert E. Lee.

En mars, Kessler s’est rendue à Washington DC pour rencontrer le député de Virginie Tom Garrett, qui représente la région de Charlottesville. Kessler a posté sur Facebook qu’il avait eu « une réunion très productive aujourd’hui avec le représentant Tom Garrett », et a reconnu qu’il était en discussion avec Garrett sur la façon dont les groupes nazis de Kessler pouvaient soutenir les mesures anti-immigration de Trump : « Nous avons parlé de la loi RAISE et de Stop Arming Terrorists [Stop à l’armement des terroristes] : 2 formidables lois que nous soutenons », a déclaré Kessler.

Les événements de Charlottesville et la marche de Trump visant à développer un mouvement fasciste extra-constitutionnel sont un avertissement à la classe ouvrière aux États-Unis et à l’étranger. Le programme des fascistes à la Maison Blanche et dans les rues de Charlottesville consiste en une guerre génocidaire à l’étranger, et l’internement massif et le meurtre d’immigrants, de personnes LGBT, de juifs et de socialistes à l’intérieur.

Le fascisme est l’excrétion de l’ordre social en décomposition du capitalisme américain et mondial. Dans la figure de Donald Trump qu’il a vomi, ce capitalisme a trouvé un représentant approprié. Cela ne sera pas arrêté par des appels moralistes à l’establishment politique, mais seulement par la mobilisation de la classe ouvrière unie au-delà des lignes ethniques et nationales et politiquement armée d’un programme révolutionnaire pour la réorganisation socialiste de l’économie américaine et mondiale.

(Article paru en anglais le 14 août 2017)

Par Eric London 
15 août 2017
http://www.wsws.org/fr
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Le vrai visage de Nicolas Sarkozy !!! – Espion “américain” placé à la présidence par la CIA – Dossier complet et documenté !

Publié le par S. Sellami

Le vrai visage de Nicolas Sarkozy !!! – Espion “américain” placé à la présidence par la CIA – Dossier complet et documenté !

Sarko – le vrai CV :

Nicolas Sarkozy doit être jugé à son action et non pas d’après sa personnalité.

Mais lorsque son action surprend jusqu’à ses propres électeurs, il est légitime de se pencher en détail sur sa biographie et de s’interroger sur les alliances qui l’ont conduit au pouvoir.
Thierry Meyssan a décidé d’écrire la vérité sur les origines de l’ancien président de la République« française ».

Toutes les informations contenues dans cet article sont vérifiables, à l’exception de deux imputations, signalées par l’auteur qui en assume seul la responsabilité.

Tonton Pasqua et l’arriviste. Ce pourrait être une fable de La Fontaine.

Tonton Pasqua et l’arriviste. Ce pourrait être une fable de La Fontaine.

Les Français, lassés des trop longues présidences de François Mitterrand et de Jacques Chirac, ont élu Nicolas Sarkozy en comptant sur son énergie pour revitaliser leur pays.

Ils espéraient une rupture avec des années d’immobilisme et des idéologies surannées.

Ils ont eu une rupture avec les principes qui fondent la nation française.

Ils ont été stupéfaits par cet « hyper-président », se saisissant chaque jour d’un nouveau dossier, aspirant à lui la droite et la gauche, bousculant tous les repères jusqu’à créer une complète confusion.

Comme des enfants qui viennent de faire une grosse bêtise, les Français sont trop occupés à se trouver des excuses pour admettre l’ampleur des dégâts et leur naïveté.

Ils refusent d’autant plus de voir qui est vraiment Nicolas Sarkozy, qu’ils auraient dû s’en rendre compte depuis longtemps.

C’est que l’homme est habile. 

Comme un illusionniste, il a détourné leur attention en offrant sa vie privée en spectacle et en posant dans les magazines people, jusqu’à leur faire oublier son parcours politique.

Que l’on comprenne bien le sens de cet article : il ne s’agit pas de reprocher à M. Sarkozy ses liens familiaux, amicaux et professionnels, mais de lui reprocher d’avoir caché ses attaches aux Français qui ont cru, à tort, élire un homme libre.

Pour comprendre comment un homme en qui tous s’accordent aujourd’hui à voir l’agent des États-Unis et d’Israël a pu devenir le chef du parti gaulliste, puis le président de la République française, il nous faut revenir en arrière.

Très en arrière.

Il nous faut emprunter une longue digression au cours de laquelle nous présenterons les protagonistes qui trouvent aujourd’hui leur revanche.

Secrets de famille :

À la fin de la Seconde Guerre Mondiale, les services secrets états-uniens s’appuient sur le parrain italo-US Lucky Luciano pour contrôler la sécurité des ports américains et pour préparer le débarquement allié en Sicile.

Les contacts de Luciano avec les services US passent notamment par Frank Wisner Sr. puis, lorsque le « parrain » est libéré et s’exile en Italie, par son « ambassadeur » corse, Étienne Léandri.

« votez pour moi pauv’cons ! »

« votez pour moi pauv’cons ! »

En 1958, les États-Unis, inquiets d’une possible victoire du FLN en Algérie qui ouvrirait l’Afrique du Nord à l’influence soviétiquedécident de susciter un coup d’État militaire en France.

Pauvre France nous sommes mal placés au centre de toutes ces querelles !

L’opération est organisée conjointement par la Direction de la planification de la CIA —théoriquement dirigée par Frank Wisner Sr.— et par l’OTAN.

Mais Wisner a déjà sombré dans la démence de sorte que c’est son successeur, Allan Dulles, qui supervise le coup.

Depuis Alger, des généraux français créent un Comité de salut public qui exerce une pression sur le pouvoir civil parisien et le contraint à voter les pleins pouvoirs au général de Gaulle sans avoir besoin de recourir la force.

Or, Charles de Gaulle n’est pas le pion que les Anglo-Saxons croient pouvoir manipuler.

Appel-du-18-Juin

Dans un premier temps, il tente de sortir de la contradiction coloniale en accordant une large autonomie aux territoires d’outre-mer au sein d’une Union française.

Mais il est déjà trop tard pour sauver l’Empire français car les peuples colonisés ne croient plus aux promesses de la métropole et exigent leur indépendance.

Après avoir conduit victorieusement de féroces campagnes de répression contre les indépendantistes, de Gaulle se rend à l’évidence.  

Faisant preuve d’une rare sagesse politique, il décide d’accorder à chaque colonie son indépendance.

Cette volte-face est vécue comme une trahison par la plupart de ceux qui l’ont porté au pouvoir. 

La CIA et l’OTAN soutiennent alors toutes sortes de complots pour l’éliminer, dont un putsch manqué et une quarantaine de tentatives d’assassinat.

Toutefois, certains de ses partisans approuvent son évolution politique.

Autour de Charles Pasqua, ils créent le SAC, une milice pour le protéger.

Enigme_Pasqua-b379cPasqua est à la fois un truand corse et un ancien résistant. Il a épousé la fille d’un bootlegger canadien qui fit fortune durant la prohibition. Il dirige la société Ricard qui, après avoir commercialisé de l’absinthe, un alcool prohibé, se respectabilise en vendant de l’anisette. Cependant, la société continue à servir de couverture pour toutes sortes de trafics en relation avec la famille italo-new-yorkaise des Genovese, celle de Lucky Luciano.

  • Il n’est donc pas étonnant que Pasqua fasse appel à Étienne Léandri («l’ambassadeur » de Luciano) pour recruter des gros bras et constituer la milice gaulliste.
  • Un troisième homme joue un grand rôle dans la formation du SAC, l’ancien garde du corps de de Gaulle, Achille Peretti —un Corse lui aussi—.

Ainsi défendu, de Gaulle dessine avec panache une politique d’indépendance nationale.

Tout en affirmant son appartenance au camp atlantique, il remet en cause le leadership anglo-saxon.

  • Il s’oppose à l’entrée du Royaume-Uni dans le Marché commun européen (1961 et 1967) ;
  • Il refuse le déploiement des casques de l’ONU au Congo (1961) ;
  • Il encourage les États latino-américains à s’affranchir de l’impérialisme US (discours de Mexico, 1964) ;
  • Il expulse l’ de France et se retire du Commandement intégré de l’Alliance atlantique (1966) ;
  • Il dénonce la  du Viêt-nam (discours de Phnon Penh, 1966) ;
  • Il condamne l’expansionnisme israélien lors de la Guerre des Six jours (1967) ;
  • Il soutient l’indépendance du Québec (discours de Montréal 1967) ;
  • etc.

Les discours de de Gaulle sont un vrai régal. Regardez-les et vous ne vous laisserez plus endormir par nos politichiens. Il avait la protection divine.

Simultanément, de Gaulle consolide la puissance de la France en la dotant d’un complexe militaro-industriel incluant la force de dissuasion nucléaire, et en garantissant son approvisionnement énergétique. Il éloigne utilement les encombrants Corses de son entourage en leur confiant des missions à étranger. 

Ainsi Étienne Léandri devient-il le trader du groupe Elf (aujourd’hui Total), tandis que Charles Pasqua devient l’homme de confiance des chefs d’États d’ francophone.

Conscient qu’il ne peut défier les Anglo-Saxons sur tous les terrains à la fois, de Gaulle s’allie à la famille Rothschild.

Il choisit comme Premier ministre le fondé de pouvoir de la Banque, Georges Pompidou.

Les deux hommes forment un tandem efficace.

L’audace politique du premier ne perd jamais de vue le réalisme économique du second.

Lorsque de Gaulle démissionne, en 1969, Georges Pompidou lui succède brièvement à la présidence avant d’être emporté par un .

Avant il avait vendu la France aux  Loi 1973. La France ne peut plus emprunter à la Banque de France sans intérêt et doit se tourner vers les banques privées, ce qui nous amène à l’escroquerie de la dette.

Les gaullistes historiques n’admettent pas son leadership et s’inquiètent de son tropisme anglophile.

Ils hurlent à la trahison lorsque Pompidou, secondé par le secrétaire général de l’Élysée Édouard Balladur, fait entrer « la perfide Albion » dans le Marché commun européen.

La fabrication de Nicolas Sarkozy :

Ce décor étant planté, revenons-en à notre personnage principal, Nicolas Sarkozy.

Né en 1955, il est le fils d’un noble catholique hongrois, Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, réfugié en France après avoir fuit l’Armée rouge, et d’Andrée Mallah, une roturière juive originaire de Thessalonique.

Après avoir eu trois enfants (Guillaume, Nicolas et François), le couple divorce. Pal Sarkosy de Nagy-Bocsa se remarie avec une aristocrate, Christine de Ganay, dont il aura deux enfants (Pierre-Olivier et Caroline). Nicolas ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette famille recomposée.

Achille Peretti

Achille Peretti

Sa mère est devenue la secrétaire d’Achille Peretti.

Après avoir co-fondé le SAC, le garde du corps de De Gaulle avait poursuivi une brillante carrière politique.  

Il avait été élu député et maire de Neuilly-sur-Seine, la plus riche banlieue résidentielle de la capitale, puis président de l’Assemblée nationale.

Malheureusement, en 1972, Achille Peretti est gravement mis en cause. 

Aux États-Unis, le magazine Time révèle l’existence d’une organisation criminelle secrète « l’Union corse » qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l’ et l’Amérique, la fameuse « French connexion » que Hollywwod devait porter à l’écran.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=4423.html

S’appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations, Timecite le nom d’un chef mafieux, Jean Venturi, arrêté quelques années plus tôt au Canada, et qui n’est autre que le délégué commercial de Charles Pasqua pour la société d’alcool Ricard.

On évoque le nom de plusieurs familles qui dirigeraient « l’Union corse », dont les Peretti. Achille nie, mais doit renoncer à la présidence de l’Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ». Comme quoi, la pratique n’est pas nouvelle (l’associé de DSK vient de se « suicider ». Il aurait eu des révélations à faire?

En 1977, Pal Sarkozy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie alors avec le n°2 de l’administration centrale du département d’État des États-Unis.

Elle l’épouse et s’installe avec lui en Amérique. Le monde étant petit, c’est bien connu, son mari n’est autre que Frank Wisner Jr., fils du précédent.

Les fonctions de Junior à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu’il y joue un rôle important.  

Nicolas, qui reste proche de sa belle-mère, de son demi-frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des programmes de formation du département d’État.

On nous les dé-forme avant de nous les renvoyer bien conditionnés.

À la même période, Nicolas Sarkozy adhère au parti gaulliste.

Il y fréquente d’autant plus rapidement Charles Pasqua que celui-ci n’est pas seulement un leader national, mais aussi le responsable de la section départementale des Hauts-de-Seine.

En 1982, Nicolas Sarkozy, ayant terminé ses études de droit et s’étant inscrit au barreau, épouse la nièce d’Achille Peretti. 

Son témoin de mariage est Charles Pasqua.  

En tant qu’avocat, Me Sarkozy défend les intérêts des amis corses de ses mentors. 

Il acquiert une propriété sur l’île de beauté, à Vico, et imagine de corsiser son nom en remplaçant le « y » par un « i » : Sarkozi.

L’année suivante, il est élu maire de Neuilly-sur-Seine en remplacement de son bel-oncle, Achille Peretti, terrassé par une crise cardiaque.

Jacques Martin et Cecilia. – Sarko et sa femme.

Jacques Martin et Cecilia. – Sarko et sa femme.

Cependant, Nicolas ne tarde pas à trahir sa femme et, dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec Cécilia, l’épouse du plus célèbre animateur de télévision français de l’époque, Jacques Martin, dont il a fait la connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de Neuilly.

Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.

Nicolas est le témoin de mariage, en 1992, de la fille de Jacques Chirac, Claude, avec un éditorialiste du Figaro.

Un tombeur ce mec ! mais, l’intérêt n’est jamais bien loin !

Il ne peut s’empêcher de séduire Claude et de mener une brève relation avec elle, tandis qu’il vit officiellement avec Cécilia.  

Le mari trompé se suicide (?) en absorbant des drogues.

La rupture est brutale et sans retour entre les Chirac et Nicolas Sarkozy.

En 1993, la gauche perd les élections législatives.

Le président François Mitterrand refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite. Jacques Chirac, qui ambitionne la présidence et pense alors former avec Édouard Balladur un tandem comparable à celui de de Gaulle et Pompidou, refuse d’être à nouveau Premier ministre et laisse la place à son « ami de trente ans », Édouard Balladur.

Malgré son passé sulfureux, Charles Pasqua devient ministre de l’Intérieur. 

S’il conserve la haute main sur la marijuana marocaine, il profite de sa situation pour légaliser ses autres activités en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone. 

Il tisse aussi des liens en Arabie Saoudite et en Israël et devient officier d’honneur du Mossad.

Nicolas Sarkozy, quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du gouvernement.

À Washington, Frank Wisner Jr. a pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense.

Personne ne remarque les liens qui l’unissent au porte-parole du gouvernement français.

C’est alors que reprend au sein du parti gaulliste la tension que l’on avait connu trente ans plus tôt entre les gaullistes historiques et la droite financière, incarnée par Balladur.

La nouveauté, c’est que Charles Pasqua et avec lui le jeune Nicolas Sarkozy trahissent Jacques Chirac pour se rapprocher du courant Rothschild. 

Tout dérape.

Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque Édouard Balladur se présentera contre son ex-ami Jacques Chirac à l’élection présidentielle, et sera battu.

Surtout, suivant les instructions de Londres et de Washington, le gouvernement Balladur ouvre les négociations d’adhésion à l’Union Européenne et à l’OTAN des États d’ centrale et orientale, affranchis de la tutelle soviétique.

Rien ne va plus dans le parti gaulliste où les amis d’hier sont près de s’entre-tuer.  

Pour financer sa campagne électorale, Edouard Balladur tente de faire main basse sur la caisse noire du parti gaulliste, cachée dans la double comptabilité du pétrolier Elf.

À peine le vieux Étienne Léandri mort, les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés. Mais Balladur, Pasqua et Sarkozy ne parviendront jamais à récupérer le magot.

La traversée du désert :

Tout au long de son premier mandat, Jacques Chirac tient Nicolas Sarkozy à distance.

L’homme se fait discret durant cette longue traversée du désert.  

Discrètement, il continue à nouer des relations dans les cercles financiers.

En 1996, Nicolas Sarkozy ayant enfin réussi à clore une procédure de divorce qui n’en finissait pas se marie avec Cécilia.

Ils ont pour témoins les deux milliardaires Martin Bouygues et Bernard Arnaud (l’homme le plus riche du pays).

Pas vraiment près du peuple, Sarko. C’est pas de Gaule!

Dernier acte !

Bien avant la crise irakienne, Frank Wisner Jr. et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance de Nicolas Sarkozy. 

Ils agissent en trois temps :

d’abord l’élimination de la direction du parti gaulliste et la prise de contrôle de cet appareil, puis l’élimination du principal rival de droite et l’investiture du parti gaulliste à l’élection présidentielle, enfin l’élimination de tout challenger sérieux à gauche de manière à être certain d’emporter l’élection présidentielle.

Pendant des années, les médias sont tenus en haleine par les révélations posthumes d’un promoteur immobilier. 

Avant de décéder d’une grave maladie, il a enregistré pour une raison jamais élucidée une confession en vidéo. 

Pour une raison encore plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d’un hiérarque du Parti socialiste, Dominique Strauss-Khan, qui la fait parvenir indirectement à la presse.

Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire, ils ouvrent une boîte de Pandore.

La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre Alain Juppé 

Pour protéger Chirac, il assume seul toutes les infractions pénales.

La mise à l’écart de Juppé laisse la voie libre à Nicolas Sarkozy pour prendre la direction du parti gaulliste.

Sarkozy exploite alors sa position pour contraindre Jacques Chirac à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque.

Il sera en définitive, ministre de l’Intérieur.

Erreur !  

À ce poste, il contrôle les préfets et le renseignement intérieur qu’il utilise pour noyauter les grandes administrations

Préfet Claude Érignac

Préfet Claude Érignac

Il s’occupe aussi des affaires corses.

Le préfet Claude Érignac a été assassiné.

Bien qu’il n’ait pas été revendiqué, le meurtre a immédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la République.

Après une longue traque, la police parvient à arrêter un suspect en fuite, Yvan Colonna, fils d’un député socialiste.  

Faisant fi de la présomption d’innocence, Nicolas Sarkozy annonce cette interpellation en accusant le suspect d’être l’assassin. 

C’est que la nouvelle est trop belle à deux jours du référendum que le ministre de l’Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l’île.

Quoi qu’il en soit, les électeurs rejettent le projet Sarkozy qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux.

Bien qu’Yvan Colonna ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n’a été trouvée contre lui.  

Étrangement, l’homme s’est muré dans le silence, préférant être condamné que de révéler ce qu’il sait. 

Nous révélons ici que le préfet Érignac n’a pas été tué par des nationalistes, mais abattu par un tueur à gage, immédiatement exfiltré vers l’Angola où il a été engagé à la sécurité du groupe Elf.

Le mobile du crime était précisément lié aux fonctions antérieures de Érignac, responsable des réseaux africains de Charles Pasqua au ministère de la Coopération.  

Quand à Yvan Colonna, c’est un ami personnel de Nicolas Sarkozy depuis des décennies et leurs enfants se sont fréquentés.

Dominique de Villepin et Poutine récemment.

Dominique de Villepin et Poutine récemment.

Une nouvelle affaire éclate : de faux listings circulent qui accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez Clearstream.

Parmi les personnalités diffamées : Nicolas Sarkozy. Il porte plainte et sous-entend que son rival de droite à l’élection présidentielle, le Premier ministre Dominique de Villepin, a organisé cette machination.

Il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison. 

En réalité, les faux listings ont été mis en circulation par des membres de la Fondation franco-américaine, dont John Negroponte était président et dont Frank Wisner Jr. est administrateur.  

Ce que les juges ignorent et que nous révélons ici, c’est que les listings ont été fabriqués à Londres par une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. 

Villepin se défend de ce dont on l’accuse, mais il est mis en examen, assigné à résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique.

La voie est libre à droite pour Nicolas Sarkozy.

Reste à neutraliser les candidatures d’opposition.

Les cotisations d’adhésion au parti socialiste sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de nouveaux militants. Soudainement des milliers de jeunes prennent leur carte. 

Parmi eux, au moins dix mille nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert).

Cette petite formation d’extrême gauche s’est historiquement mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide (Elle est l’équivalent du SD/ de Max Shatchman, qui a formé les néoconservateurs aux ).

Ce n’est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti socialiste.

Ils y ont notamment placé deux célèbres agents de la CIA : Lionel Jospin (qui est devenu Premier ministre) et Jean-Christophe Cambadélis, le principal conseiller de Dominique Strauss-Kahn.

Des primaires sont organisées au sein du Parti socialiste pour désigner son candidat à l’élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : Laurent Fabius et Ségolène Royal.

Seul le premier représente un danger pour Sarkozy.  

20070709.WWW000000563_30725_1Dominique Strauss-Kahn entre dans la course avec pour mission d’éliminer Fabius au dernier moment.

Ce qu’il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes » infiltrés, qui portent leur suffrages non pas sur son nom, mais sur celui de Royal.

L’opération est possible parce que Strauss-Kahn est depuis longtemps sur le payroll des États-Unis.  

Les Français ignorent qu’il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévôt de l’université, Condoleezza Rice.

Dès sa prise de fonction, Nicolas Sarkozy et Condoleezza Rice remercieront Strauss-Kahn en le faisant élire à la direction du Fonds monétaire international.

Premiers jours à l’Élysée :

Le soir du second tour de l’élection présidentielle, lorsque les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, Nicolas Sarkozy prononce un bref discours à la nation depuis son QG de campagne.  

Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet’s

La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de « l’Union corse » est aujourd’hui la propriété du casinotier Dominique Desseigne. 

Il a été mis à disposition du président élu pour y recevoir ses amis et les principaux donateurs de sa campagne. 

Une centaine d’invités s’y bousculent, les hommes les plus riches de France y côtoient les patrons de casinos.

Puis le président élu s’offre quelques jours de repos bien mérités.

Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s’y repose sur le Paloma, le yacht de 65 mètres de son ami Vincent Bolloré, un milliardaire formé à la Banque Rothschild.

Enfin, Nicolas Sarkozy est investi président de la République française.  

Le premier décret qu’il signe n’est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les casinos de ses amis Desseigne et Partouche à multiplier les machines à sous.

Il forme son équipe de travail et son gouvernement. 

Sans surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos (le ministre de la Jeunesse et des Sports) et le lobbyiste des casinos de l’ami Desseigne (qui devient porte-parole du parti « gaulliste »).

Nicolas Sarkozy s’appuie avant tout sur quatre hommes :

  • Claude Guéant, secrétaire général du palais de l’Élysée. C’est l’ancien bras droit de Charles Pasqua. 
  • François Pérol, secrétaire général adjoint de l’Élysée. C’est un associé-gérant de la Banque Rothschild. 
  • Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique. Fils de l’ancien directeur de l’Agence juive. Ambassadeur de France à l’ONU, il fut relevé de ses fonctions par Chirac qui le jugeait trop proche de George Bush.
  • Alain Bauer, l’homme de l’ombre. Son nom n’apparaît pas dans les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Ancien Grand-Maître du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique française) et ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe.

Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l’indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire : l’indépendance du Kosovo et la liquidation de la politique arabe de la France.

Kouchner a débuté sa carrière en participant à la création d’une ONG humanitaire.  

Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de Zbigniew Brzezinski en Afghanistan, aux côtés d’Oussama Ben Laden et des frères Karzaï contre les Soviétiques. 

On le retrouve dans les années 90 auprès de Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine. De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l’ONU au Kosovo.

Sous le contrôle de Wali, le frère cadet du président Hamid Karzaï, l’Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot. 

Le suc est transformé sur place en héroïne et transporté par l’US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo).

Là, la drogue est prise en charge par les hommes de Haçim Thaçi qui l’écoulent principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis. Les bénéfices sont utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA. 

Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de Bernard Kouchner, qui certainement ignore leurs activités criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés. Je ne partage pas cet avis; Kouchner est loin d’être blanc : (trafic d’organes)

Pour compléter son gouvernement, Nicolas Sarkozy nomme Christine Lagarde, ministre de l’ et des Finances.

Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie.

Au sein du Center for International & Strategic Studies de Dick Cheney, elle a co-présidé avec Zbigniew Brzezinski un groupe de travail qui a supervisé les privatisations en Pologne.  

Elle a organisé un intense lobbying pour le compte de Lockheed Martin contre l’avionneur français Dassault. Ces personnes ne travaillent pas pour la France, mais pour leur pouvoir personnel, il faut que l’on arrête de se mentir.

Nouvelle escapade durant l’été.

Nicolas, Cécilia, leur maîtresse commune et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de la propriété du président Bush. 

La facture, cette fois, est payée par Robert F. Agostinelli, un banquier d’affaires italo-new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s’exprime dans Commentary, la revue de l’American Jewish Committee.

La réussite de Nicolas rejaillit sur son demi-frère Pierre-Olivier. Sous le nom américanisé «d’Oliver », il est nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) directeur d’un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden).

Sans qualité personnelle particulière, il est devenu le 5e noueur de deals dans le monde et « gère » les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour.

La cote de popularité du président est en chute libre dans les sondages.

L’un de ses conseillers en communication, Jacques Séguélapréconise de détourner l’attention du public avec de nouvelles « people stories ».

L’annonce du divorce avec Cécilia est publiée par Libération, le journal de son ami Édouard de Rothschild, pour couvrir les slogans des manifestants un jour de grève générale.  

Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l’artiste et ex-mannequin, Carla Bruni.

Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques.

Quelques semaines encore et c’est le troisième mariage de Nicolas.

Cette fois, il choisit comme témoins Mathilde Agostinelli (l’épouse de Robert) et Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet de Édouard Balladur devenu associé-gérant chez Rothschild.

Quand les Français auront-ils des yeux pour voir à qui ils ont affaire ?

Maintenant.

Lerebelle

source:http://lesmoutonsrebelles.com/le-vrai-visage-de-nicolas-sarkozy-espion-americain-place-a-la-presidence-par-la-cia-dossier-complet-et-documente/

http://reseauinternational.net/
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Los Angeles : la route peinte en blanc pour lutter contre la chaleur

Publié le par S. Sellami

 
Capture Twitter / Greg Spotts

La municipalité de Los Angeles espère lutter contre le réchauffement climatique en peignant la route en blanc.

Un coup de pinceau pour lutter contre le réchauffement climatique. C’est ce que tente la ville de Los Angeles, qui a décidé de repeindre en blanc les routes de la commune. Dans la cité des Anges, les températures peuvent dépasser les 40 degrés en plein été.

Alors, la ville applique ce que l’on appelle les “cool pavements” ou “chaussées fraîches”, en peignant quelques rues à travers la ville avec un revêtement spécial blanc grisé. Selon les experts, le bitume noir habituel des chaussées emmagasine 80 à 95% de la lumière solaire alors que les revêtements de couleur pâle la réfléchissent, faisant baisser la température au sol de façon importante.

Une baisse de 6 à 7 degrés

“La chaleur ici, sur la surface noire… c’est 42, 43°C en ce moment. Et sur la surface sèche de l’autre côté, alors qu’on a mis une seule couche de blanc et qu’on doit encore mettre la deuxième couche, c’est 36°C. Donc on voit une différence de température de 6 à 7°C”, détaille Jeff Luzar, le vice-président de la société qui fournit l’enduit, Guartop.

Greg Spotts, directeur adjoint du bureau de maintenance des routes de Los Angeles, et le maire, Eric Garcetti, ont publié sur Twitter des photos de ce nouveau revêtement.

Un technologie abordable

Los Angeles est la première ville en Californie à tester cette “chaussée fraîche” sur une route publique, détaille Greg Spotts. “Cela a déjà été fait sur des parkings. On espère que d’autres villes seront inspirées (…) et que les fabricants vont développer des nouveaux produits”, dit-il.

Une technologie qui à l’avantage de ne pas coûter trop cher : 40 000 dollars, soit 34 000 euros, pour 1,6 km, pour une durée de 7 ans.

La peinture sera désormais à l’épreuve du temps et de l’utilisation : le passage des voitures, les coulées d’huile, d’essence, qui tâcheront ce revêtement blanc.

https://m6info.yahoo.com
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Los Angeles : la route peinte en blanc pour lutter contre la chaleur

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Capture Twitter / Greg Spotts

La municipalité de Los Angeles espère lutter contre le réchauffement climatique en peignant la route en blanc.

Un coup de pinceau pour lutter contre le réchauffement climatique. C’est ce que tente la ville de Los Angeles, qui a décidé de repeindre en blanc les routes de la commune. Dans la cité des Anges, les températures peuvent dépasser les 40 degrés en plein été.

Alors, la ville applique ce que l’on appelle les “cool pavements” ou “chaussées fraîches”, en peignant quelques rues à travers la ville avec un revêtement spécial blanc grisé. Selon les experts, le bitume noir habituel des chaussées emmagasine 80 à 95% de la lumière solaire alors que les revêtements de couleur pâle la réfléchissent, faisant baisser la température au sol de façon importante.

Une baisse de 6 à 7 degrés

“La chaleur ici, sur la surface noire… c’est 42, 43°C en ce moment. Et sur la surface sèche de l’autre côté, alors qu’on a mis une seule couche de blanc et qu’on doit encore mettre la deuxième couche, c’est 36°C. Donc on voit une différence de température de 6 à 7°C”, détaille Jeff Luzar, le vice-président de la société qui fournit l’enduit, Guartop.

Greg Spotts, directeur adjoint du bureau de maintenance des routes de Los Angeles, et le maire, Eric Garcetti, ont publié sur Twitter des photos de ce nouveau revêtement.

Un technologie abordable

Los Angeles est la première ville en Californie à tester cette “chaussée fraîche” sur une route publique, détaille Greg Spotts. “Cela a déjà été fait sur des parkings. On espère que d’autres villes seront inspirées (…) et que les fabricants vont développer des nouveaux produits”, dit-il.

Une technologie qui à l’avantage de ne pas coûter trop cher : 40 000 dollars, soit 34 000 euros, pour 1,6 km, pour une durée de 7 ans.

La peinture sera désormais à l’épreuve du temps et de l’utilisation : le passage des voitures, les coulées d’huile, d’essence, qui tâcheront ce revêtement blanc.

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La fosse à merde appelée FRANCE, vue par les Chinois ....Que de vérités

Publié le par S. Sellami

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